J'ai téléchargé & regardé Swordfish aujourd'hui, film qui inclut la présence (enivrante) de Mme Halle Berry.
J'avais oublié à quel point j'aimais ce film-là.
L'histoire est cet homme, appelons-le Gabriel je pense (John Travolta), qui est une sorte de terroriste qui veut contrer les terroristes (ouais... l'ironie frappe fort, mais on l'oublie vite en voyant Halle Berry en sous-vêtements, le monde arrête à ce moment-là). En tout cas, cet homme hyper-puissant et chat-rismatique est à la tête de Dieu seul sait quel type d'entreprise qui veut voler plein de millions de dollars à une banque ou quelque chose comme ça (Halle Berry retient toute l'attention). Pour ce faire, il a recours à un hacker, qui est le personnage principal ("protagoniste" je pense... ah, Berry). Cet homme est excellent pour jouer sur un ordinateur, mais il utilise toujours les mêmes lettres sur le clavier (environ 3 lettres, e-r-t probablement... "il tape vite", bon acteur).
Mais de toute manière (vous voyez, c'est pour ça qu'il faut structurer son texte... sinon on se perd dans les méandres que sont les parenthèses), le film est très bien, et j'adore vraiment la manière que Travolta est le roi dans cette organisation quelconque (il est au contrôle de tout! Même... Halle... Hall-llé... Berré...).
Il y a des exagérations par contre: un ordinateur qui fonctionne avec 7 moniteurs, lesquels sont à la fois indépendants et reliés (!!! impossible même mon cul le sait), qui servent à se connecter sur 7 réseaux méga encryptés à genre 512 bytes ("512-bit encryption"... impossible!! même Olivier le sait). Oh, et le personnage principal arrive à rentrer sur n'importe quel réseau en moins d'une minute à partir de rien (on dirait qu'il essaie un rush de mots de passe au hasard... voir si ça marcherait pour vrai cette marde-là), et pour décrypter les plus coriaces, il construit une pyramide qui constitue des fragments de sécurité qu'il détruits, mais qui se reconstruisent seuls parfois... en tout cas, j'ai pas réellement essayé de comprendre cette partie-là parce que c'était ridicule.
Mais Halle Berry se promène en robe vraiment courte, en sous-vêtements (vraiment longtemps) ET on lui voit les seins (les mamelles!). Et elle est partout dans le film...
Excellent.
J'avais oublié à quel point j'aimais ce film-là.
L'histoire est cet homme, appelons-le Gabriel je pense (John Travolta), qui est une sorte de terroriste qui veut contrer les terroristes (ouais... l'ironie frappe fort, mais on l'oublie vite en voyant Halle Berry en sous-vêtements, le monde arrête à ce moment-là). En tout cas, cet homme hyper-puissant et chat-rismatique est à la tête de Dieu seul sait quel type d'entreprise qui veut voler plein de millions de dollars à une banque ou quelque chose comme ça (Halle Berry retient toute l'attention). Pour ce faire, il a recours à un hacker, qui est le personnage principal ("protagoniste" je pense... ah, Berry). Cet homme est excellent pour jouer sur un ordinateur, mais il utilise toujours les mêmes lettres sur le clavier (environ 3 lettres, e-r-t probablement... "il tape vite", bon acteur).
Mais de toute manière (vous voyez, c'est pour ça qu'il faut structurer son texte... sinon on se perd dans les méandres que sont les parenthèses), le film est très bien, et j'adore vraiment la manière que Travolta est le roi dans cette organisation quelconque (il est au contrôle de tout! Même... Halle... Hall-llé... Berré...).
Il y a des exagérations par contre: un ordinateur qui fonctionne avec 7 moniteurs, lesquels sont à la fois indépendants et reliés (!!! impossible même mon cul le sait), qui servent à se connecter sur 7 réseaux méga encryptés à genre 512 bytes ("512-bit encryption"... impossible!! même Olivier le sait). Oh, et le personnage principal arrive à rentrer sur n'importe quel réseau en moins d'une minute à partir de rien (on dirait qu'il essaie un rush de mots de passe au hasard... voir si ça marcherait pour vrai cette marde-là), et pour décrypter les plus coriaces, il construit une pyramide qui constitue des fragments de sécurité qu'il détruits, mais qui se reconstruisent seuls parfois... en tout cas, j'ai pas réellement essayé de comprendre cette partie-là parce que c'était ridicule.
Mais Halle Berry se promène en robe vraiment courte, en sous-vêtements (vraiment longtemps) ET on lui voit les seins (les mamelles!). Et elle est partout dans le film...
Excellent.
3 commentaires:
franchement..... c con comment que les producteurs de films utilisent la sexualité autant quils le peuvent.. regarde la derniere photo, c ridicule, a laurait pu faire la split tant qua yetre tsé lol
ouais je sais... TOP NOTCH!
ohh la MILF
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