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samedi 15 novembre 2008

Informatique: NVU, le logiciel pour faire des pages Web facilement

Cette semaine, j'avais plus ou moins d'idées, mais j'ai retenu la suggestion de mon ami Patou, c'est-à-dire de parler du logiciel NVU.

NVU (à prononcer "n-view") est une application gratuite permettant de faire des pages Web. Il s'agit d'un éditeur WYSIWYG (What you see is what you get), ce qui signifie que l'usager construit sa page en insérant les éléments qu'il veut à partir d'un menu et NVU construit le code HTML automatiquement.

Points forts
  • NVU comporte une barre de menus permettant d'insérer rapidement dans la page certains éléments d'usage courant tels que des images et des tableaux. De plus, il offre également un gestionnaire de sites qui permet de mettre à jour la page sur le serveur directement. Ainsi, l'usager peut modifier son site et envoyer tout de suite le(s) fichier(s) modifié(s) en ligne pour voir le résultat final.
  • L'installation de NVU est très rapide et très simple. À titre d'exemple, il m'a fallu moins d'une minute pour installer le programme et l'ouvrir pour la première fois. L'exécutable téléchargé du site officiel n'est pas très lourd non plus. Il a une taille de 6,58 Mo.
Points faibles
  • La dernière version du logiciel a été publiée il y a déjà trois ans. Le logiciel fonctionne très bien comme il est présentement, mais il ne semble plus bénéficier de support de la part de ses auteurs.
  • Sa simplicité est à la fois son avantage et son inconvénient. En effet, ses fonctionnalités limitées sont un aspect négatif pour un usager qui voudrait bâtir ou entretenir un site un peu plus élaboré.

vendredi 7 novembre 2008

Informatique: Google Chrome, le navigateur Web de Google

Pour ma chronique de cette semaine, j’ai choisi de poursuivre au sujet des logiciels pratiques et simples. Cette semaine, j’ai donc fait l’essai de Google Chrome (Beta), un navigateur Web gratuit.

L’installation
L’installation et la configuration se font très rapidement. Une page du site de Google lance automatiquement l’exécutable et le tout ne prend pas plus de deux minutes.

La première utilisation
Google Chrome diffère des navigateurs plus connus comme Internet Explorer et Firefox de plusieurs façons. D’abord, il propose un mode « sandbox ». Concrètement, dans le cas où un site fait geler le navigateur, ce système permet de limiter le tout à l’onglet problématique. Ainsi, lorsqu’on a beaucoup de sites d’ouverts, il est possible de ne fermer que celui qui fait geler et de laisser les autres intacts.

L’accueil
Lorsqu’on lance Google Chrome, il affiche les sites plus « plus visités » selon lui. Chaque site est présenté avec une capture d’écran de la page. Il suffit de cliquer sur cette capture pour se rendre à ladite page.

Critiques
Bien que Google Chrome présente une belle interface et soit rapide à installer, je ne crois pas que le changement en vaut tant la peine. En fidèle utilisateur de Firefox que je suis depuis plusieurs années maintenant, je pense que mon Firefox fait très bien le travail et je ne pense pas l’abandonner comme navigateur courant à court terme.

Pour obtenir Google Chrome (nécessite au minimum Windows XP SP2 ou Windows Vista)


vendredi 31 octobre 2008

Informatique: AbiWord, Un éditeur de texte léger et pratique

Cette semaine, j'ai choisi la simplicité. Je parlerai d'un éditeur de texte très léger que j'ai découvert. Il se nomme AbiWord et est disponible à la fois pour Windows, Mac et Linux. Pour être franc, je l'ai découvert dans Linux (Fedora), mais je m'en sers dans Windows XP pour écrire cette chronique.

AbiWord lit les fichiers au format .doc (Word), ainsi que les fichiers HTML et RTF. Malheureusement, il n'est pas (encore) compatible avec le format Office 2007. Il peut aussi évidemment enregistrer des documents dans ces mêmes formats.

Installation

L'installation d'AbiWord est très rapide. L'exécutable se télécharge directement depuis le site officiel. Par la suite, il ne faut qu'une minute avant de pouvoir exécuter l'application.

Je considère toujours qu'OpenOffice.Org Writer est le meilleur logiciel de traitement de texte, suivi par Microsoft Word, mais je crois qu'AbiWord offre une alternative simple et rapide pour quelqu'un qui a besoin de préparer un document texte rapidement et qui ne possède pas de suite bureautique.



Téléchargement

http://www.abisource.com/download/


vendredi 24 octobre 2008

Informatique: Premiers pas en Java

J’ai décidé aujourd’hui de faire une présentation/introduction de la programmation. J’aborderai donc le Java et la programmation et je le ferai d’abord en présentant certaines notions de base.

Les variables

En Java, les variables sont « typées », c’est-à-dire qu’une variable doit être associée à un type défini de données. Il y a les types dits « primitifs ». Ce sont les plus simples et voici les principaux :

1. Une valeur booléenne (Vrai ou Faux) (boolean)

2. Un petit entier (byte) (de -128 à 127)

3. Un entier un peu plus grand (short) (de -32768 à 32767)

4. Un entier simple (int) (de -2147483648 à 2147483647)

5. Un entier long (long) (de -9223372036854775808 à 9223372036854775807)

6. Un nombre décimal (float) (de -1,4 x 10^-45 à 3,4 x 10^38)

7. Un nombre décimal plus précis (double) (de 4,9 x 10^-324 à 1,7 x 10^308)

8. Un caractère (char)

Lorsqu’il existe plusieurs types pour le même genre de données, il faut choisir en fonction de la précision désirée. Par exemple, dans le cas des nombres décimaux, « double » conserve les données de manière plus précise, mais il occupe 8 octets en mémoire comparativement à 4 octets pour « float ».

Il y a les types composés. Il s’agit dans l’ensemble d’assemblages de types primitifs. Par exemple, String, qui permet de stocker du texte simple, n’est rien de plus qu’un assemblage de caractères (« char »).

Les tableaux (« array »)

Les tableaux sont un regroupement ordonné de valeurs du même type. Bien que le concept ne soit pas propre au langage Java, la manière de l’utiliser dépend du langage employé. En Java, un tableau doit avoir une taille prédéfinie et celle-ci ne peut pas être modifiée par la suite. Pour la changer, il faut créer un nouveau tableau et y transférer les données de l'ancien. Pour régler ce problème, Java propose des types composés de données un peu plus complexes comme « ArrayList », mais plus aussi plus pratiques. Par contre, je ne m'y attarderai pas dans le cadre de cet article. Note: Le contenu d'un tableau est numéroté à partir de zéro.

Les classes

Une classe regroupe des fonctions qui ont un but commun. À titre d'exemple, définissons la classe « Echiquier ». En voici la structure:

Attributs (dans une classe, les variables sont appelées des attributs)
  • Tableau (array, capacité de 2) contenant les noms des joueurs

Méthodes (les fonctions sont appelées méthodes dans une classe)
  • DeplacerPiece ( int numeroPiece , int nouvellePosition)
  • Roquer ( int numeroPiece , int nouvellePosition )

Les méthodes
Les méthodes sont les fonctions d'une classe. Pour rendre une classe auto-exécutable, il faut qu'elle contienne une méthode "main". Java se chargera d'exécuter cette méthode de façon automatique. Une classe qui ne contient pas de méthode « main » ne peut pas être utilisée directement. En effet, elle doit plutôt être utilisée à partir d'une classe qui en contient une. Ce principe sera illustré plus clairement dans l'exemple qui accompagne cet article.

Les objets
En programmation, un objet est une instance d'une classe. En Java, on créé un objet en utilisant "new" comme dans l'exemple ci-dessous.

Echiquier jeuUn = new Echiquier ( "Seigneur101" , "Joueur deux" );

Même si deux objets ont été créés à partir de la même classe, ils sont manipulables et utilisables de manière totalement indépendante. Dans le cas ici, on pourrait donc créer plusieurs échiquiers et leur attribuer des joueurs différents.

Exemple modifié:
Echiquier jeuUn = new Echiquier ( "Seigneur101" , "Joueur deux" );
Echiquier jeuDeux = new Echiquier ( "Patou" , "Joueur quatre" );






Voici un petit programme Java qui utilise les notions présentées dans cet article


public class jeuEchecs
{

public static void main (String[] args)
{

// Les lignes de texte précédées de barres obliques // sont des commentaires.
// Elles sont ignorées par le compilateur Java.

// Affichage de texte simple
System.out.println ("Le jeu d'échecs est lancé !");

// Création d'un nouvel échiquier
// C'est ici qu'on fait appel à la classe "Echiquier".
// Comme celle-ci ne contient pas de méthode "main",
// elle doit être instanciée par une autre classe pour être utilisée

Echiquier jeuUn = new Echiquier ( "Seigneur101" , "Joueur deux" );


// Appel à la méthode afficheNomsJoueurs de la classe Echiquier
System.out.println( jeuUn.afficheNomsJoueurs() );


System.out.println ("C'est fini!");

}

}


class Echiquier
{
/*
* Ceci est une autre façon d'écrire des commentaires.
*/


/*
* Les attributs de la classe Echiquier
*/
private String[] nomJoueurs;




/*
* Une méthode qui n'a que l'attribut "public" et qui
* porte le même nom que la classe est un "constructeur".
* Cette méthode sert à instancier la classe Echiquier
* à partir d'une autre classe.
*
* x: public Echiquier ( ...
*
* Dans le cas ici, on passe comme arguments au constructeur
* les noms des deux joueurs. Toutefois, il est possible de
* faire un constructeur qui ne reçoit aucun argument.
*/
public Echiquier ( String nomUn , String nomDeux )
{
this.nomJoueurs = new String[2];
this.nomJoueurs[0] = nomUn;
this.nomJoueurs[1] = nomDeux;
}


// Méthode qui retourne le nom des joueurs
public String afficheNomsJoueurs ()
{
String ligneTexte = this.nomJoueurs[0] + " joue contre " + this.nomJoueurs[1];
return ligneTexte;
}



}

vendredi 10 octobre 2008

Expérience très scientifique: Will it blend ?

Cet après-midi, je suis retombé sur un vieux clip qui parle d'une expérience scientifique très poussée dans le domaine de l'informatique et des nouvelles technologies. Le chercheur intitule son projet "Will it blend ?" (Titre alternatif: Comment gaspiller son argent en quelques secondes)



Note: J'ai décidé de reporter ma très attendue chronique sur le langage Java par manque de temps pour cette semaine et la semaine prochaine. J'y reviendrai dans deux semaines.

vendredi 3 octobre 2008

Préface: Ma chronique informatique

Avant de commencer à écrire des chroniques sur ce blogue, j'aimerais remercier son éditeur principal de m'avoir donné la permission d'y participer. J'écrirai donc sur l'informatique et je crois que ma première chronique sera sur le Java étant donné que c'est LE sujet de l'heure.

En ce qui me concerne, j'ai fait du Java il y a deux ans, à l'automne de 2006, dans le cadre d'un cours d'introduction à la programmation que j'ai suivi à l'université. Dans ce cours, on travaillait dans Fedora Linux, mais l'usage de l'environnement de développement intégré (EDI) Eclipse n'était pas permis. Il fallait écrire le code avec un éditeur de texte classique et le recompiler à chaque fois qu'on faisait une modification.

Suite à ce cours, j'ai commencé à utiliser Eclipse sur mon ordinateur à la maison. Au printemps/été 2007, j'ai même écrit un robot pour gérer un canal de discussion entièrement en langage Java. Le robot pouvait expulser des usagers indésirables et faire des requêtes de façon totalement autonome. J'avais aussi entrepris le développement d'une interface graphique pour le gérer, mais j'ai recommencé l'école et je n'avais plus assez de temps à y consacrer.