Et voilà une phrase que tout le monde a déjà entendue.
Un article publié hier martin sur cyberpresse est très intéressant. Voici l'histoire.
C'est le 23 mai au soir, un vendredi (parce que le 23 mai était un vendredi cette année... c'est juste pour ça). Un homme se rappelle que le gros lot de la loterie Super Sept de Loto-Québec est à 27M$. Cette loterie se termine à 21h00:00 le vendredi soir (à savoir ce soir-là). À 20h58, il entre dans un dépanneur et demande s'il est trop tard pour s'acheter un billet. Il se fait dire qu'il lui reste une minute, ce qui impliquait que non. Il demande deux billets.
Chaque billet, sans surprise, vient avec un certain délai de traitement. Son premier billet a une heure précédant 21h00, mais pas le deuxième. Le deuxième a été imprimé à 21h00:07 (c'est-à-dire, à la limite, 8 secondes de retard). Croyez-le ou non, ce billet lui aurait donné le gros lot, n'eût-ce été de son heure trop tardive.
Voilà que l'homme, ne voulant pas se départir de sa part de 13,5M$ "qui lui revient" (le gros lot a été gagné, et il souhaite avoir la moitié de ce qui a été gagné, comme s'il l'avait vraiment gagné), il poursuit maintenant Loto-Québec, en soutenant que son billet est à 21h00, hormis les secondes, et qu'il doit donc être valide pour le tirage du 23 mai, pas celui du 30 mai.
Mais en fait, ce qui est pire, c'est qu'il réclame la moitié du gros lot du gagnant... en tout cas, mettez-vous à la place de l'autre.
"Ce sera à la Cour supérieure de trancher".
Questions & commentaires divers:
Un article publié hier martin sur cyberpresse est très intéressant. Voici l'histoire.
C'est le 23 mai au soir, un vendredi (parce que le 23 mai était un vendredi cette année... c'est juste pour ça). Un homme se rappelle que le gros lot de la loterie Super Sept de Loto-Québec est à 27M$. Cette loterie se termine à 21h00:00 le vendredi soir (à savoir ce soir-là). À 20h58, il entre dans un dépanneur et demande s'il est trop tard pour s'acheter un billet. Il se fait dire qu'il lui reste une minute, ce qui impliquait que non. Il demande deux billets.
Chaque billet, sans surprise, vient avec un certain délai de traitement. Son premier billet a une heure précédant 21h00, mais pas le deuxième. Le deuxième a été imprimé à 21h00:07 (c'est-à-dire, à la limite, 8 secondes de retard). Croyez-le ou non, ce billet lui aurait donné le gros lot, n'eût-ce été de son heure trop tardive.
Voilà que l'homme, ne voulant pas se départir de sa part de 13,5M$ "qui lui revient" (le gros lot a été gagné, et il souhaite avoir la moitié de ce qui a été gagné, comme s'il l'avait vraiment gagné), il poursuit maintenant Loto-Québec, en soutenant que son billet est à 21h00, hormis les secondes, et qu'il doit donc être valide pour le tirage du 23 mai, pas celui du 30 mai.
Mais en fait, ce qui est pire, c'est qu'il réclame la moitié du gros lot du gagnant... en tout cas, mettez-vous à la place de l'autre.
"Ce sera à la Cour supérieure de trancher".
Questions & commentaires divers:
- On est rendu en octobre... pourquoi est-ce que ça explose cette semaine?
- Pensez-vous vraiment que le vrai gagnant "doit" lui remettre la moitié de son lot... ?!
- Hmmm, il était clairement passé 21h00... grow up pal.
Mais la question du siècle: si le billet avait donné le gros lot du 30 mai au lieu du 23 mai, pensez-vous vraiment, honnêtement, qu'il aurait dit "21h00 c'est pas trop tard gardez votre argent" ?
C'est une question rhétorique.
C'est une question rhétorique.
1 commentaire:
En fait, j'imagine que si le gars gagnait en cours, Loto-Qc lui devrait 11.5 millions, mais qu'elle pourrait pas reprendre la somme du gagnant du 23 mai
mais de toute façon, c'est vrai qu'il était juste trop tard pour son billet, la super 7 est tirée une fois par semaine, si on fait le calcul, ça laissait au gars 6 jrs, 23h et 59m avant ce moment là pour acheter son billet, pourquoi est-ce qu'il a attendu ?
Moi je dirais que c'est à 100% son problème, pis ça finit là, il s'en voudra toute sa vie d'avoir trop attendu pour acheter son billet
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