Je n'ai pas d'idée d'article pour ce soir.
Ben en fait, j'aurais pu parler du livre de Fight Club, mais j'aurais envie de peut-être essayer qu'il ait de l'allure (parce que si y'a une chose que je maîtrise dans cette vie de marde vécue dans un monde de marde, c'est bien Fight Club).
Dans ce monde de marde où les gens vivent une vie de marde, il y a des choses auxquelles je crois encore. Je crois encore au couple parfait. D'après moi, il est possible de rencontrer quelqu'un étant jeune, et de vivre sa vie avec cette personne-là en étant heureux jusqu'à la fin de nos jours (en supposant que cette fin soit loin sur l'horizon du temps... parce que si tu rencontres quelqu'un à 17 ans et que tu meures à 20 ans, bravo big deal je ne suis pas impressionné pour une miette).
J'ai résolu le mystère de la personne en France qui vient sur le blog: nul autre que Simon Riopel (qui est en France cette session-ci, les cours sont difficiles paraît... mais c'est Simon et il va aux HEC, alors sûrement que les cours sont moyens, mais ne lui disons pas).
Les parents de Simon se sont rencontrés quand ils étaient très jeunes (adolescents disons). Ils habitaient dans la même région rurale du Québec, peu importe c'était où (aucune espèce d'idée). Quand j'habitais à Chambly, j'avais l'habitude d'être très souvent avec Simon. Avec Simon et avec Catherine. Parce qu'on était à Chambly, et que y'avait ces deux personnes-là.
On se louait souvent des films le vendredi ou la fin de semaine et on écoutait ces mardes-là chez eux. Et après il fallait que je revienne chez nous (en auto ou à pied) vers les 1h-2h du matin, fatigué as fuck, l'ange de la mort volant au-dessus de moi, surveillant mes moindres gestes d'hurluberlu.
J'allais aussi souvent souper chez lui et tout le tralala d'amis qui habitent près et qui n'ont rien à faire. J'ai donc souvent eu le plaisir de parler avec ses parents. C'était vraiment fou, parce qu'ils étaient ensemble depuis que la Terre était née, et tout marchait encore. Tandis que mes parents ont fait le tour de la Chine au moins 20 fois.
Et c'est surtout grâce à eux (et aussi parce que Catherine était là en même temps... mais ça c'est une histoire de marde qui a posteriori n'est pas si belle que ça) que je crois en la possibilité d'avoir un couple parfait. Parce qu'on s'entend, quand t'as été aussi longtemps avec la même personne et que ça marche encore, faut que ce soit coulé dans le béton...
Ah...
Le wake-up call que j'ai eu...
Les parents de Simon se sont divorcés une semaine avant qu'il parte en France (janvier 2008 j'ose imaginer). Quand il m'a dit ça, je pensais qu'il me niaisait. Il a continué à me dire que c'était vrai et qu'il était sérieux, et j'ai encore eu longtemps de la misère à le croire. Parce que c'était un couple parfait, parce que c'était là-dessus que j'avais basé toutes mes maudites convictions à propos du couple parfait. Parce qu'ils ne se chicanaient vraiment pas tant que ça, parce qu'on aurait juré que tout était correct.
Parce que le monde n'est plus en équilibre.
Après, vous viendrez me dire en pleine face que c'est pas une vie de marde.
Mais j'y crois encore.
Ben en fait, j'aurais pu parler du livre de Fight Club, mais j'aurais envie de peut-être essayer qu'il ait de l'allure (parce que si y'a une chose que je maîtrise dans cette vie de marde vécue dans un monde de marde, c'est bien Fight Club).
Dans ce monde de marde où les gens vivent une vie de marde, il y a des choses auxquelles je crois encore. Je crois encore au couple parfait. D'après moi, il est possible de rencontrer quelqu'un étant jeune, et de vivre sa vie avec cette personne-là en étant heureux jusqu'à la fin de nos jours (en supposant que cette fin soit loin sur l'horizon du temps... parce que si tu rencontres quelqu'un à 17 ans et que tu meures à 20 ans, bravo big deal je ne suis pas impressionné pour une miette).
J'ai résolu le mystère de la personne en France qui vient sur le blog: nul autre que Simon Riopel (qui est en France cette session-ci, les cours sont difficiles paraît... mais c'est Simon et il va aux HEC, alors sûrement que les cours sont moyens, mais ne lui disons pas).
Les parents de Simon se sont rencontrés quand ils étaient très jeunes (adolescents disons). Ils habitaient dans la même région rurale du Québec, peu importe c'était où (aucune espèce d'idée). Quand j'habitais à Chambly, j'avais l'habitude d'être très souvent avec Simon. Avec Simon et avec Catherine. Parce qu'on était à Chambly, et que y'avait ces deux personnes-là.
On se louait souvent des films le vendredi ou la fin de semaine et on écoutait ces mardes-là chez eux. Et après il fallait que je revienne chez nous (en auto ou à pied) vers les 1h-2h du matin, fatigué as fuck, l'ange de la mort volant au-dessus de moi, surveillant mes moindres gestes d'hurluberlu.
J'allais aussi souvent souper chez lui et tout le tralala d'amis qui habitent près et qui n'ont rien à faire. J'ai donc souvent eu le plaisir de parler avec ses parents. C'était vraiment fou, parce qu'ils étaient ensemble depuis que la Terre était née, et tout marchait encore. Tandis que mes parents ont fait le tour de la Chine au moins 20 fois.
Et c'est surtout grâce à eux (et aussi parce que Catherine était là en même temps... mais ça c'est une histoire de marde qui a posteriori n'est pas si belle que ça) que je crois en la possibilité d'avoir un couple parfait. Parce qu'on s'entend, quand t'as été aussi longtemps avec la même personne et que ça marche encore, faut que ce soit coulé dans le béton...
Ah...
Le wake-up call que j'ai eu...
Les parents de Simon se sont divorcés une semaine avant qu'il parte en France (janvier 2008 j'ose imaginer). Quand il m'a dit ça, je pensais qu'il me niaisait. Il a continué à me dire que c'était vrai et qu'il était sérieux, et j'ai encore eu longtemps de la misère à le croire. Parce que c'était un couple parfait, parce que c'était là-dessus que j'avais basé toutes mes maudites convictions à propos du couple parfait. Parce qu'ils ne se chicanaient vraiment pas tant que ça, parce qu'on aurait juré que tout était correct.
Parce que le monde n'est plus en équilibre.
Après, vous viendrez me dire en pleine face que c'est pas une vie de marde.
Mais j'y crois encore.
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