Et quel point d'interrogation!
En début d'après-midi (ou fin de matinée?), je me suis dit que j'allais terminer mon module 1 aujourd'hui (je suis cave de même). Il y a réellement deux étapes (pour chaque module si j'ai bien compris): 1) faire ce qu'il y a à faire, et 2) rédiger un rapport final ("memorandum"). En soi, le texte à écrire devrait prendre plusieurs jours je pense... et je n'ai même pas terminé de "faire ce qu'il y a à faire" --- comme quoi l'idée était conne.
Je me suis dit que j'allais carburer au café, mais j'ai trop mangé ce soir (et je suis encore bourré), alors je ne veux pas boire de café ("je n'ai pas soif et je suis pleine"). Alors je vais probablement en prendre vers minuit et ne jamais dormir de ma vie restante.
Tantôt j'ai pris du lait au chocolat chaud. Et il y a quelque chose d'intrigant là-dedans. J'en relève immédiatement deux. Premièrement, le goût est vraiment incomparable avec le lait au chocolat froid (Quick ou quelconque, peu importe). Je veux dire... tu fais chauffer une pomme, tu t'attends à ce qu'elle goûte encore sensiblement une pomme. On dirait que c'est différent pour le lait au chocolat, et je ne sais pas vraiment si c'est parce que le chocolat (le sucre en fait) cuit, ou si c'est parce que le lait cuit, ou à cause d'un mélange des deux, ou parce que je suis handicapé et que dans le fond ça goûte pareil.
Ça c'est la première chose intrigante. La deuxième chose intrigante c'est qu'on dirait que c'est 80 000 fois plus bourratif que s'il est froid (!!!!). Et ce que je viens de dire est complètement ridicule, parce qu'il n'y a strictement rien qui puisse justifier ça. J'irais même jusqu'à dire que ça goûte plus crémeux, plus gras... mais je veux dire, la quantité d'eau qui doit s'évaporer doit être vraiment minime, pas assez pour faire genre "ah ouais on passe de 2% à 67%".
C'est donc un mystère irrésolu. Mais c'est encore plus irrésolu que la Caramilk.
Les amis, je vais vous tiendre au courant ce soir ou demain (probablement demain) (à propos du module je veux dire... pas le lait au chocolat).
En début d'après-midi (ou fin de matinée?), je me suis dit que j'allais terminer mon module 1 aujourd'hui (je suis cave de même). Il y a réellement deux étapes (pour chaque module si j'ai bien compris): 1) faire ce qu'il y a à faire, et 2) rédiger un rapport final ("memorandum"). En soi, le texte à écrire devrait prendre plusieurs jours je pense... et je n'ai même pas terminé de "faire ce qu'il y a à faire" --- comme quoi l'idée était conne.
Je me suis dit que j'allais carburer au café, mais j'ai trop mangé ce soir (et je suis encore bourré), alors je ne veux pas boire de café ("je n'ai pas soif et je suis pleine"). Alors je vais probablement en prendre vers minuit et ne jamais dormir de ma vie restante.
Tantôt j'ai pris du lait au chocolat chaud. Et il y a quelque chose d'intrigant là-dedans. J'en relève immédiatement deux. Premièrement, le goût est vraiment incomparable avec le lait au chocolat froid (Quick ou quelconque, peu importe). Je veux dire... tu fais chauffer une pomme, tu t'attends à ce qu'elle goûte encore sensiblement une pomme. On dirait que c'est différent pour le lait au chocolat, et je ne sais pas vraiment si c'est parce que le chocolat (le sucre en fait) cuit, ou si c'est parce que le lait cuit, ou à cause d'un mélange des deux, ou parce que je suis handicapé et que dans le fond ça goûte pareil.
Ça c'est la première chose intrigante. La deuxième chose intrigante c'est qu'on dirait que c'est 80 000 fois plus bourratif que s'il est froid (!!!!). Et ce que je viens de dire est complètement ridicule, parce qu'il n'y a strictement rien qui puisse justifier ça. J'irais même jusqu'à dire que ça goûte plus crémeux, plus gras... mais je veux dire, la quantité d'eau qui doit s'évaporer doit être vraiment minime, pas assez pour faire genre "ah ouais on passe de 2% à 67%".
C'est donc un mystère irrésolu. Mais c'est encore plus irrésolu que la Caramilk.
Les amis, je vais vous tiendre au courant ce soir ou demain (probablement demain) (à propos du module je veux dire... pas le lait au chocolat).
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