La droite américaine strikes again, cette fois il s'agit d'un auteur du site qui avait rapporté la supposée histoire de Jesse Kilgore.
vendredi 31 juillet 2009
jeudi 30 juillet 2009
Journée exigeante
Je me ferai très bref ce soir. J'ai passé une journée relativement difficile, mais les détails qui sous-tendent cette affirmation resteront secrets encore deux ou trois semaines, le temps que j'aie tous les détails de la chose (et non, je n'ai pas encore de job).
J'ai marché, habillé en pingouin de bureau, de chez nous au métro, puis dans le métro, puis dans un autobus, et ce vers midi et vers 14h40-15h00. Je vais vous le dire, francheur exige, il faisait vraiment chaud. Quand je suis revenu ici, je dégouttais (ouais, faisait chaud).
J'ai mangé du riz (même pas instantané) pour souper.
J'ai marché, habillé en pingouin de bureau, de chez nous au métro, puis dans le métro, puis dans un autobus, et ce vers midi et vers 14h40-15h00. Je vais vous le dire, francheur exige, il faisait vraiment chaud. Quand je suis revenu ici, je dégouttais (ouais, faisait chaud).
J'ai mangé du riz (même pas instantané) pour souper.
mercredi 29 juillet 2009
Wonder Boys
Je me suis aperçu que je n'avais pas encore clairement parlé de Wonder Boys, qui est un film avec Michael Douglas, Katie Holmes et Tobey Maguire, entre autres (excellente distribution).
Le film a été fait en 2000, alors c'est relativement vieux, mais bon.
L'histoire est fuckée. C'est un professeur (Douglas) qui vient de se faire laisser là par sa femme. Ce n'est pas la première femme qui le laisse là, et ce n'est pas la première fois que cette femme-là le laisse là non plus à ce qu'on dit, mais bon (on ne la voit pas dans le film... aucune idée si elle est belle, désolé). C'est un professeur d'anglais ou de littérature ou quelque chose comme ça, dont deux de ses étudiants (Holmes et Maguire) sont d'une manière ou d'une autre éventuellement liés à lui (Holmes loue une chambre chez lui, et Maguire, well... c'est un gars fucké dans le film qui n'habite pas vraiment à quelque part et qui finit par passer plusieurs jours chez son professeur).
Le professeur est également un écrivain qui a écrit un livre qui a pogné beaucoup... il y a 7 ans. Il est en train d'écrire son deuxième roman depuis des années, mais il ne se termine simplement pas. Son "manager" arrive en ville et il veut son nouveau roman et tout le tralala, mais lui il s'en fout un peu. Il essaie de conquérir le coeur de sa maîtresse (ah oui, il a une maîtresse), qui elle-même est mariée à quelqu'un (qui incidemment travaille aussi à l'université).
J'ai beaucoup de difficulté à expliquer l'histoire. Il y a un chien qui meurt, et une partie de l'histoire tourne alentour du cadavre de ce chien qui doit être caché. Il y a un manteau qui est volé, et une partie de l'histoire tourne alentour de ce manteau qui est recherché (et que Maguire & Douglas ont). Il y a aussi l'histoire d'amour, ainsi que du flirt constant de la part de Katie Holmes (et c'est pour ça que je l'adore tellement dans ce film-là... ah maudite garce). Il y a beaucoup de drogue aussi (pilules & pot) et de désespoir et de questionnements de la vie et tout ça.
Et vous savez, la chose étrange avec ce film-là, c'est qu'on arrive à la fin, et on a l'impression que tout est bien qui finit bien... et après on essaie d'écrire sur son blog c'est quoi l'histoire et on n'en a pas la moindre idée.
Quoi qu'il en soit, ça reste un film que je recommande. Même si l'histoire est étrange et sans de réels punchs, l'histoire coule assez bien, et il y a quand même des trucs pour réfléchir un peu (du brain food).
Le film a été fait en 2000, alors c'est relativement vieux, mais bon.
L'histoire est fuckée. C'est un professeur (Douglas) qui vient de se faire laisser là par sa femme. Ce n'est pas la première femme qui le laisse là, et ce n'est pas la première fois que cette femme-là le laisse là non plus à ce qu'on dit, mais bon (on ne la voit pas dans le film... aucune idée si elle est belle, désolé). C'est un professeur d'anglais ou de littérature ou quelque chose comme ça, dont deux de ses étudiants (Holmes et Maguire) sont d'une manière ou d'une autre éventuellement liés à lui (Holmes loue une chambre chez lui, et Maguire, well... c'est un gars fucké dans le film qui n'habite pas vraiment à quelque part et qui finit par passer plusieurs jours chez son professeur).
Le professeur est également un écrivain qui a écrit un livre qui a pogné beaucoup... il y a 7 ans. Il est en train d'écrire son deuxième roman depuis des années, mais il ne se termine simplement pas. Son "manager" arrive en ville et il veut son nouveau roman et tout le tralala, mais lui il s'en fout un peu. Il essaie de conquérir le coeur de sa maîtresse (ah oui, il a une maîtresse), qui elle-même est mariée à quelqu'un (qui incidemment travaille aussi à l'université).
J'ai beaucoup de difficulté à expliquer l'histoire. Il y a un chien qui meurt, et une partie de l'histoire tourne alentour du cadavre de ce chien qui doit être caché. Il y a un manteau qui est volé, et une partie de l'histoire tourne alentour de ce manteau qui est recherché (et que Maguire & Douglas ont). Il y a aussi l'histoire d'amour, ainsi que du flirt constant de la part de Katie Holmes (et c'est pour ça que je l'adore tellement dans ce film-là... ah maudite garce). Il y a beaucoup de drogue aussi (pilules & pot) et de désespoir et de questionnements de la vie et tout ça.
Et vous savez, la chose étrange avec ce film-là, c'est qu'on arrive à la fin, et on a l'impression que tout est bien qui finit bien... et après on essaie d'écrire sur son blog c'est quoi l'histoire et on n'en a pas la moindre idée.
Quoi qu'il en soit, ça reste un film que je recommande. Même si l'histoire est étrange et sans de réels punchs, l'histoire coule assez bien, et il y a quand même des trucs pour réfléchir un peu (du brain food).
mardi 28 juillet 2009
Secret Twitter
Dans le cadre de mes lectures de hillbilly, j'ai lu quelques articles & sites qui étaient rapportés sur Cyberpresse et qui sont simplement des sites où des femmes chiâlent contre leurs maris, conjoints, etc. anonymement. Des blogs en général où la haine règne, et surtout où on entend plein d'histoires qui donnent envie de se tirer une balle (par exemple, il y en a plein qui confessent allègrement leurs ébats sexuels extra-conjugaux et qui semblent très fières, d'autres qui disent des choses assez violentes ("I'll cut your dick, fucker"), etc.). Je ne vous parlerai pas en long et en large de ça parce que franchement ça sert juste à déprimer.
Mais je vous parlerai de Secret Twitter (http://secrettweet.com/), qui est un service anonyme offert à tout le monde qui souhaite envoyer un Twitter, caché sous l'anonymat. C'est absolument excellent (le concept), mais surtout c'est de la lecture vraiment intéressante (sans farce). D'abord, je vous rappelle que les tweets ne peuvent pas excéder 140 caractères, ce qui revient à dire que chaque personne ne peut s'éterniser.
Et contrairement aux sites & poèmes que j'ai décrits plus haut, ces tweets sont, on dirait, assez random et pas très haineux. En fait, il y en a même des drôles. Comme par exemple, en ce moment, je peux voir les trucs suivants:
Il y a même des gens qui laissent des commentaires et tout ça... bref, une vraie communauté d'anonymes (quoique les commentaires ne sont pas nécessairement anonymes, mais ils peuvent l'être).
Bon, il y en a des déprimants quand même. Toujours dans la page d'accueil actuellement:
Et finalement, une remarque à part: je n'ai toujours pas compris comment les tweets sont organisés (parce que ce n'est définitivement pas par ordre chronologique, à en voir l'état de la page d'accueil actuelle).
Mais je vous parlerai de Secret Twitter (http://secrettweet.com/), qui est un service anonyme offert à tout le monde qui souhaite envoyer un Twitter, caché sous l'anonymat. C'est absolument excellent (le concept), mais surtout c'est de la lecture vraiment intéressante (sans farce). D'abord, je vous rappelle que les tweets ne peuvent pas excéder 140 caractères, ce qui revient à dire que chaque personne ne peut s'éterniser.
Et contrairement aux sites & poèmes que j'ai décrits plus haut, ces tweets sont, on dirait, assez random et pas très haineux. En fait, il y en a même des drôles. Comme par exemple, en ce moment, je peux voir les trucs suivants:
I just bought an engagment ring today for the girl I love
i've missed an important job opportunity phone call because i was masturbating.
my parents did a homemade sex video. And it got out. All my friends saw it.Everyone knows.Even my teachers look at me in a strange way
Il y a même des gens qui laissent des commentaires et tout ça... bref, une vraie communauté d'anonymes (quoique les commentaires ne sont pas nécessairement anonymes, mais ils peuvent l'être).
Bon, il y en a des déprimants quand même. Toujours dans la page d'accueil actuellement:
i am the one who reported you to child protective services. you WON'T hurt her anymore.
I feel I could have done something to prevent you from killing yourself, but there's part of me thats glad ur gone for me and the kids
My friend is dying. I'm selfishly annoyed the timing will ruin what would have been a great summer only because I can't think its real
Et finalement, une remarque à part: je n'ai toujours pas compris comment les tweets sont organisés (parce que ce n'est définitivement pas par ordre chronologique, à en voir l'état de la page d'accueil actuelle).
lundi 27 juillet 2009
Spécial "Axel a un nouvel emploi"
Aujourd'hui, Philippe me laisse la parole. Aujourd'hui, c'est un jour spécial.
J'aimerais débuter en écrivant "albinos tête de calmar dans le derrière" pour que les gens qui le googlent puissent tomber sur le blog de Philippe. Je pense qu'il s'agit de notre public cible. Vraiment.
Aujourd'hui c'était ma première journée de travail et votre ami m'a suggéré de vous en parler. Car, voyez-vous, c'est l'aboutissement d'un duel épique entre lui et moi. Jadis (il y a 2 semaines), nous avons été convoqués, moi et Philippe, a une entrevue pour un poste d'analyste en actuariat dans une compagnie d'assurance. Suite à une filtration probablement intense des CV, nous étions 5 a avoir droit à une entrevue, et il n'y aurait qu'un seul gagnant.
Ma stratégie a été efficace. Insister sur mon expérience, mes examens de la SOA et leur dire la vérité à propos de Philippe. "Vous savez, l'autre candidat, Philippe je crois, il est roux..." et je leur ai dit tout les trucs badass que fait Philippe dans sa vie badass mais dont je dois pas parler pcq ses parents lisent son blog (d'ailleurs, c'est peut-être vous).
La stratégie de Philippe alias "Spiky tits" a été moins efficace. Il a oublié la majorité de ses voyelles chez lui a et a cherché ses mots pendant une bonne partie de l'entrevue. Shit happens.
Bref, j'ai eu l'emploi. Ce qui est bien, parce-que des emplois en actuariat en ce moment, il n'y en a pas beaucoup. Ce qui est intéressant de noter c'est qu'à chaque fois que moi et philippe on a eu une entrevue au même endroit, un de nous deux a été engagé (il m'avait torché pour Axa). Sachant qu'on est la même personne, on peut dire qu'on est une sale machine!
Je suis donc analyste chez l'Excellence depuis ce matin. Un bon salaire, une trâlé d'avantages sociaux, du travail intéressant, de très bons rabais sur l'assurance auto et habitation, des gens biens, des examens payés. Seul désavantage : c'est à St-Léonard, un peu loin. Je pense que je vais m'acheter une petite voiture. Avec des néons en dessous. Et je vais me raser la tête. Et je vais arrêter aux feux rouges et faire des clins d'oeil aux bichettes dans les autres chars. Ah non, j'arrêterai même pas aux feux rouges.
Ma première journée a été relaxe. Des lectures surtout. Ce qui est perturbant c'est qu'un de leur produit s'appelle Accxel. Donc je dois m'habituer à entendre mon nom aux 5 secondes sans me retourner. Mais je peux me vanter que je travaille sur moi-même. J'ai l'air mature quand je dis ca. Je vais me mettre au pilates.
J'ai aussi eu droit au traditionnel souper de bienvenue au resto avec l'équipe d'actuariat (ils sont 3). Le serveur avait un accent italien terrible. Je comprenais un mot sur deux, mais tout les autres avaient l'air de comprendre à merveille. J'ai pas su ce que j'avais commandé avant de l'avoir devant moi. Après quoi il m'a dit "faticeillougnhi tlavoune assiette tékelk". J'ai dit oui...
Voilà! Une autre belle journée m'attend demain alors je vous quitte.
Axel
J'aimerais débuter en écrivant "albinos tête de calmar dans le derrière" pour que les gens qui le googlent puissent tomber sur le blog de Philippe. Je pense qu'il s'agit de notre public cible. Vraiment.
Aujourd'hui c'était ma première journée de travail et votre ami m'a suggéré de vous en parler. Car, voyez-vous, c'est l'aboutissement d'un duel épique entre lui et moi. Jadis (il y a 2 semaines), nous avons été convoqués, moi et Philippe, a une entrevue pour un poste d'analyste en actuariat dans une compagnie d'assurance. Suite à une filtration probablement intense des CV, nous étions 5 a avoir droit à une entrevue, et il n'y aurait qu'un seul gagnant.
Ma stratégie a été efficace. Insister sur mon expérience, mes examens de la SOA et leur dire la vérité à propos de Philippe. "Vous savez, l'autre candidat, Philippe je crois, il est roux..." et je leur ai dit tout les trucs badass que fait Philippe dans sa vie badass mais dont je dois pas parler pcq ses parents lisent son blog (d'ailleurs, c'est peut-être vous).
La stratégie de Philippe alias "Spiky tits" a été moins efficace. Il a oublié la majorité de ses voyelles chez lui a et a cherché ses mots pendant une bonne partie de l'entrevue. Shit happens.
Bref, j'ai eu l'emploi. Ce qui est bien, parce-que des emplois en actuariat en ce moment, il n'y en a pas beaucoup. Ce qui est intéressant de noter c'est qu'à chaque fois que moi et philippe on a eu une entrevue au même endroit, un de nous deux a été engagé (il m'avait torché pour Axa). Sachant qu'on est la même personne, on peut dire qu'on est une sale machine!
Je suis donc analyste chez l'Excellence depuis ce matin. Un bon salaire, une trâlé d'avantages sociaux, du travail intéressant, de très bons rabais sur l'assurance auto et habitation, des gens biens, des examens payés. Seul désavantage : c'est à St-Léonard, un peu loin. Je pense que je vais m'acheter une petite voiture. Avec des néons en dessous. Et je vais me raser la tête. Et je vais arrêter aux feux rouges et faire des clins d'oeil aux bichettes dans les autres chars. Ah non, j'arrêterai même pas aux feux rouges.
Ma première journée a été relaxe. Des lectures surtout. Ce qui est perturbant c'est qu'un de leur produit s'appelle Accxel. Donc je dois m'habituer à entendre mon nom aux 5 secondes sans me retourner. Mais je peux me vanter que je travaille sur moi-même. J'ai l'air mature quand je dis ca. Je vais me mettre au pilates.
J'ai aussi eu droit au traditionnel souper de bienvenue au resto avec l'équipe d'actuariat (ils sont 3). Le serveur avait un accent italien terrible. Je comprenais un mot sur deux, mais tout les autres avaient l'air de comprendre à merveille. J'ai pas su ce que j'avais commandé avant de l'avoir devant moi. Après quoi il m'a dit "faticeillougnhi tlavoune assiette tékelk". J'ai dit oui...
Voilà! Une autre belle journée m'attend demain alors je vous quitte.
Axel
dimanche 26 juillet 2009
Nicolas & Patrick
Hier, Nicolas, Patrick et moi sommes allés prendre une virée à Longueuil au Alfa pour manger de la méga poutine immense, puis au McDonald's pour manger des frozen treats (McFlurry!).
Après, nous sommes revenus ici et nous avons joué un peu au PS2 (NHL 2007). Pendant que les copinots jouaient, j'ai pris des photos... en voici quelques-unes! (Je me suis placé en arrière de la télévision pour les prendre, et comme Patrick savait que j'allais prendre des photos, des fois il a l'air peu naturel... pour sa part, Nicolas aurait pas plus s'en foutre que ça. Par contre, je vous présente seulement les photos qui sont bien sorties, i.e. qui étaient authentiques).
Après, nous sommes revenus ici et nous avons joué un peu au PS2 (NHL 2007). Pendant que les copinots jouaient, j'ai pris des photos... en voici quelques-unes! (Je me suis placé en arrière de la télévision pour les prendre, et comme Patrick savait que j'allais prendre des photos, des fois il a l'air peu naturel... pour sa part, Nicolas aurait pas plus s'en foutre que ça. Par contre, je vous présente seulement les photos qui sont bien sorties, i.e. qui étaient authentiques).
samedi 25 juillet 2009
The Girl Next Door
The Girl Next Door (2004) est un film décrit comme étant un teen comedy par Wikipedia qui jouait ce soir (et qui joue encore en fait) à TVA.
La description donnée par TVA est la suivante:
Je me suis dit, bon, ça peut être un peu mauvais, mais il va sûrement y avoir de la pornographie à souhait (à une heure de grande écoute comme ça, pourquoi pas), et comme c'est avec la plantureuse Elisha Cuthbert, qui avait un cul rose dans Old School (et quel cul!).
Malheureusement, le film est traduit en français de France, ce qui fait que c'est la pire marde au monde. De plus, comme on pourrait s'y attendre, l'histoire est réellement à chier et vraiment trop cucu pour que ce soit appréciable (et ça vient de moi, si ça peut vous donner une idée). Après les quelques premières minutes, disons entre 10 et 15 minutes, je me suis dis que c'était toughable. Le fait que la plantureuse Elisha soit partout dans le film aurait dû me suffire amplement pour continuer à regarder le film. Mais après plein d'expressions françaises absolument grotesques, auxquelles j'ai dû rajouter des scènes absolument pseudo-romantiques incroyablement inconfortables, j'ai jeté la serviette, levé le drapeau blanc et ai quitté le salon pour revenir à ma chambre. Il était alors 20h49, soit 19 minutes après le commencement du film.
Et puis, de toute façon, Elisha est aussi un peu partout sur Internet.
La description donnée par TVA est la suivante:
Comédie sentimentale de Luke Greenfield avec Emile Hirsch, Elisha Cuthbert et Timothy Olyphant. Un étudiant modèle aux grandes ambitions s'éprend d'une belle voisine qui se révèle être une ex-star du porno.
Je me suis dit, bon, ça peut être un peu mauvais, mais il va sûrement y avoir de la pornographie à souhait (à une heure de grande écoute comme ça, pourquoi pas), et comme c'est avec la plantureuse Elisha Cuthbert, qui avait un cul rose dans Old School (et quel cul!).
Malheureusement, le film est traduit en français de France, ce qui fait que c'est la pire marde au monde. De plus, comme on pourrait s'y attendre, l'histoire est réellement à chier et vraiment trop cucu pour que ce soit appréciable (et ça vient de moi, si ça peut vous donner une idée). Après les quelques premières minutes, disons entre 10 et 15 minutes, je me suis dis que c'était toughable. Le fait que la plantureuse Elisha soit partout dans le film aurait dû me suffire amplement pour continuer à regarder le film. Mais après plein d'expressions françaises absolument grotesques, auxquelles j'ai dû rajouter des scènes absolument pseudo-romantiques incroyablement inconfortables, j'ai jeté la serviette, levé le drapeau blanc et ai quitté le salon pour revenir à ma chambre. Il était alors 20h49, soit 19 minutes après le commencement du film.
Et puis, de toute façon, Elisha est aussi un peu partout sur Internet.
vendredi 24 juillet 2009
David Vetter
David Vetter était le petit garçon (l'une des deux personnes en fait) sur qui le film The Boy in the Plastic Bubble (1976, avec notamment John Travolta) est basé.
L'histoire est assez horrible. Il souffrait de "severe combined immune deficiency syndrome (SCIDS)", qui signifie en gros qu'on oublie le système immunitaire. Les parents avaient déjà eu un enfant qui était mort de la même chose après 7 mois, et ils se sont fait dire que s'ils avaient un autre garçon, il aurait 50% des chances d'avoir le syndrome. Par contre, ce que les médecins avaient dit, c'était qu'ils pourraient utiliser la moelle osseuse de sa soeur pour lui faire une transplantation, et qu'il finirait par guérir à l'intérieur de quelques semaines.
Les médecins vivaient dans leur monde, parce qu'ils n'ont pas pensé à tout (ou simplement vérifié deux choses):
Quand il est né, ils l'ont tout de suite placé dans une bulle stérilisée, et pendant toute sa vie il a vécu dans une bulle, en général à l'hôpital, mais vers la fin de sa vie parfois chez ses parents. La NASA lui a même confectionné un habit spécial, mais il ne l'a pas porté souvent (pas plus de 6 fois, quelque chose comme ça), parce qu'il avait peur de sortir.
Au bout du compte, avec les progrès de la science, ils ont décidé de faire une greffe de moelle osseuse provenant de sa soeur tandis qu'il avait genre 11 ou 12 ans (même si elle n'était pas compatible). Il y avait un virus (apparemment extrêmement commun et "inoffensif" parce qu'on développe une immunité) dans la moelle de sa soeur, et il s'est donc propagé un peu partout, en s'assurant de faire des partouzes de masses cancérigènes dans tout le corps de Vetter. Il est décédé à 12 ans (cancer).
L'histoire est intéressante parce qu'il y a des choses fuckées là-dedans, comme par exemple vivre dans une bulle et dans la peur en permanence. Quand il a commencé à être malade (rendu à la fin), ils ont décidé de le sortir de sa bulle pour pouvoir le soigner. L'une des premières choses qu'il a demandées, c'était du Coke (la boisson gazeuse là). Apparemment, avec toute la stérilisation et tout ça, le Coke qu'il pouvait avoir dans sa bulle ne goûtait plus le Coke, alors il voulait goûter à ça un jour. Et c'est fucké, parce que dans ma tête, la première chose que quelqu'un voudrait faire en sortant de sa bulle après y avoir passé plus de 12 ans, ce serait certainement pas boire du Coke (!). Comme quoi tout ça est très loin de notre vie banale et ordinaire (et dieu merci).
L'histoire est assez horrible. Il souffrait de "severe combined immune deficiency syndrome (SCIDS)", qui signifie en gros qu'on oublie le système immunitaire. Les parents avaient déjà eu un enfant qui était mort de la même chose après 7 mois, et ils se sont fait dire que s'ils avaient un autre garçon, il aurait 50% des chances d'avoir le syndrome. Par contre, ce que les médecins avaient dit, c'était qu'ils pourraient utiliser la moelle osseuse de sa soeur pour lui faire une transplantation, et qu'il finirait par guérir à l'intérieur de quelques semaines.
Les médecins vivaient dans leur monde, parce qu'ils n'ont pas pensé à tout (ou simplement vérifié deux choses):
- Sa soeur ne serait pas nécessairement une donneuse compatible; ils ont simplement supposé. Dans les faits, sa soeur n'était effectivement pas compatible;
- Le "quelques semaines" (3-4?) semble être arbitraire. En fait, ils ne connaissaient pas vraiment les effets de la transplantation... ils ont simplement "supposé que".
Quand il est né, ils l'ont tout de suite placé dans une bulle stérilisée, et pendant toute sa vie il a vécu dans une bulle, en général à l'hôpital, mais vers la fin de sa vie parfois chez ses parents. La NASA lui a même confectionné un habit spécial, mais il ne l'a pas porté souvent (pas plus de 6 fois, quelque chose comme ça), parce qu'il avait peur de sortir.
Au bout du compte, avec les progrès de la science, ils ont décidé de faire une greffe de moelle osseuse provenant de sa soeur tandis qu'il avait genre 11 ou 12 ans (même si elle n'était pas compatible). Il y avait un virus (apparemment extrêmement commun et "inoffensif" parce qu'on développe une immunité) dans la moelle de sa soeur, et il s'est donc propagé un peu partout, en s'assurant de faire des partouzes de masses cancérigènes dans tout le corps de Vetter. Il est décédé à 12 ans (cancer).
L'histoire est intéressante parce qu'il y a des choses fuckées là-dedans, comme par exemple vivre dans une bulle et dans la peur en permanence. Quand il a commencé à être malade (rendu à la fin), ils ont décidé de le sortir de sa bulle pour pouvoir le soigner. L'une des premières choses qu'il a demandées, c'était du Coke (la boisson gazeuse là). Apparemment, avec toute la stérilisation et tout ça, le Coke qu'il pouvait avoir dans sa bulle ne goûtait plus le Coke, alors il voulait goûter à ça un jour. Et c'est fucké, parce que dans ma tête, la première chose que quelqu'un voudrait faire en sortant de sa bulle après y avoir passé plus de 12 ans, ce serait certainement pas boire du Coke (!). Comme quoi tout ça est très loin de notre vie banale et ordinaire (et dieu merci).
jeudi 23 juillet 2009
Sam
Ah, un petit moment à part pour vous parler de Sam.
Sam ("Samuel" pour les non-initiés) est un chien de 3 ans (il me semble) qui habite au premier étage (sur trois) de notre bloc. Comme il est bien souvent sur le balcon (comme ses maîtresses d'ailleurs), nous le flattons souvent et il commence à nous reconnaître (et nous aimer faut croire).
L'affaire c'est que les voisines d'en bas sont souvent sur le balcon. J'ai de la misère à savoir qui est quoi dans ce logement-là, mais à ce que je comprends, il y a une femme et sa mère, ainsi qu'un monsieur à qui je n'ai jamais parlé et qui n'est jamais dehors.
On entretient une certaine relation avec les madames, et elles sont très sympathiques ("salut les petits gars"). Aujourd'hui, quand on est sorti du bloc, la fille (pas la mère) était à l'ordinateur et Sam était collé contre la porte patio. Quand elle nous a vu, elle a ouvert la porte pour que Sam puisse venir nous voir (il est très trognon ce Sam).
Malheureusement, ignorance oblige, je ne sais pas quelle race ou quel mixte de races il s'agit, mais tout ce que je sais c'est qu'il est vraiment très beau. Il a le poil doré mettons (mais pas comme un golden retriever), et il est assez bas sur pattes on dirait (mais pas comme un chien basset -- et il n'a pas l'air d'avoir la peau aussi pesante qu'un chien basset non plus).
En tout cas... c'est tout. C'est assez poche comme histoire, parce que vous êtes aussi ignorants que vous l'étiez il y a quelques minutes. Sachez au moins qu'il y a un chien très mignon qui nous aime et qu'on parle avec nos voisines d'en bas.
Sam ("Samuel" pour les non-initiés) est un chien de 3 ans (il me semble) qui habite au premier étage (sur trois) de notre bloc. Comme il est bien souvent sur le balcon (comme ses maîtresses d'ailleurs), nous le flattons souvent et il commence à nous reconnaître (et nous aimer faut croire).
L'affaire c'est que les voisines d'en bas sont souvent sur le balcon. J'ai de la misère à savoir qui est quoi dans ce logement-là, mais à ce que je comprends, il y a une femme et sa mère, ainsi qu'un monsieur à qui je n'ai jamais parlé et qui n'est jamais dehors.
On entretient une certaine relation avec les madames, et elles sont très sympathiques ("salut les petits gars"). Aujourd'hui, quand on est sorti du bloc, la fille (pas la mère) était à l'ordinateur et Sam était collé contre la porte patio. Quand elle nous a vu, elle a ouvert la porte pour que Sam puisse venir nous voir (il est très trognon ce Sam).
Malheureusement, ignorance oblige, je ne sais pas quelle race ou quel mixte de races il s'agit, mais tout ce que je sais c'est qu'il est vraiment très beau. Il a le poil doré mettons (mais pas comme un golden retriever), et il est assez bas sur pattes on dirait (mais pas comme un chien basset -- et il n'a pas l'air d'avoir la peau aussi pesante qu'un chien basset non plus).
En tout cas... c'est tout. C'est assez poche comme histoire, parce que vous êtes aussi ignorants que vous l'étiez il y a quelques minutes. Sachez au moins qu'il y a un chien très mignon qui nous aime et qu'on parle avec nos voisines d'en bas.
mercredi 22 juillet 2009
Tam tam
Salut très jeunes genses
Dans le cadre de ma thèse d'honneur (i.e., dans le cadre d'un projet de recherche en psychologie sociale à l'UQAM...), je dois faire remplir des questionnaires. Le questionnaire consiste en fait en une petite mise en situation, et des questions à répondre par rapport à la situation décrite -- ça tient sur une page recto (pas de verso!!! c'est un argument fort pour inciter le monde à répondre), et ça prend 5 minutes gros maximum à remplir.
Mais enfin. La fille qui est en thèse d'honneur et moi, on doit en faire remplir 270... ça c'est moins drôle. Alors il nous faut des bons spots pour trouver des gens bienveillants qui acceptent de répondre.
Et là entrent en jeu les tam tam!!! Les tam tam, c'est le dimanche après-midi sur le Mont Royal (à Montréal Beach, station Mont Royal sur la ligne orange, à 2 stations de Berri-UQAM). C'est un rassemblement "spontané" (selon un site -- de toute évidence il faut revoir la définition de spontané) de musiciens sur le Mont Royal, depuis longtemps déjà je pense, et qui jouent du tam tam pendant des heures.. jusque dans la soirée je pense. Ce n'est même pas un événement organisé par la Ville (c'est pourquoi on dit "spontané") -- mais ils envoient des policiers à chevaux une fois de temps en temps. Il y a des CENTAINES de personnes, surtout de notre âge (disons, 17-28 ans). Ils sont là juste pour vedger... ils amènent une nappe et se couchent là-dessus. Moi je regarde les culs quand je passe de nappe en nappe.
Beaucoup de bière, beaucoup de pot
Il y a beaucoup de bière là-bas. Beaucoup de pot aussi. Et voilà qui est dit. (D'ailleurs, j'y suis allé 2 fois, et au total je me suis fait offrir du pot 4 fois, par du monde pas subtil pentoute -- "tu cherches tu du weed?")
Le monde là-bas
Ce sont pour la plupart des genses plus que sympathiques. Par contre (ISSSHHHH !!!), il y a BEAUCOUP d'anglophones. En y allant, je vois BEAUCOUP de plaques de l'Ontario dans la rue, aucune idée pourquoi mais honnêtement allez-vous-en chez vous. Les anglophones sont la principale raison pour laquelle le taux d'acceptation de réponse à mon questionnaire n'est pas PARFAIT (ce n'est pas parce qu'ils sont bêtes, c'est parce que le questionnaire est en français -- ma phrase donne l'impression qu'ils sont pas parlables... dommage)
Philippe m'a dit qu'il y a beaucoup d'anglophones parce que le Mont Royal c'est un coin de riches, et que les riches au Québec ce sont des anglophones. Il a aussi dit qu'ils étaient juifs... "Juifs" ? Ça y'est, j'ai perdu intérêt.
Avant d'aller aux tam tam pour la première fois pour aller passer mes questionnaires, j'avais tenté ma chance au parc Lafontaine (Montréal), où les gens sont beaucoup plus âgés (~ 45-50 ans).. le taux de réponse doit avoir été de genre 5/10 -- et y'en a de loin que je voyais faire ce que j'appelle le camel action (ils me voyaient arriver avec ma pile de questionnaires et ils se préparaient déjà à me cracher dans la face). Laissez-moi vous dire que les tam tam, *même* si c'est plein d'anglophones, c'est pas pire pentoute après avoir fait le parc Lafontaine.
Anecdotes
Rien de très intéressant, mais quelques petites anecdotes:
Dans le cadre de ma thèse d'honneur (i.e., dans le cadre d'un projet de recherche en psychologie sociale à l'UQAM...), je dois faire remplir des questionnaires. Le questionnaire consiste en fait en une petite mise en situation, et des questions à répondre par rapport à la situation décrite -- ça tient sur une page recto (pas de verso!!! c'est un argument fort pour inciter le monde à répondre), et ça prend 5 minutes gros maximum à remplir.
Mais enfin. La fille qui est en thèse d'honneur et moi, on doit en faire remplir 270... ça c'est moins drôle. Alors il nous faut des bons spots pour trouver des gens bienveillants qui acceptent de répondre.
Et là entrent en jeu les tam tam!!! Les tam tam, c'est le dimanche après-midi sur le Mont Royal (à Montréal Beach, station Mont Royal sur la ligne orange, à 2 stations de Berri-UQAM). C'est un rassemblement "spontané" (selon un site -- de toute évidence il faut revoir la définition de spontané) de musiciens sur le Mont Royal, depuis longtemps déjà je pense, et qui jouent du tam tam pendant des heures.. jusque dans la soirée je pense. Ce n'est même pas un événement organisé par la Ville (c'est pourquoi on dit "spontané") -- mais ils envoient des policiers à chevaux une fois de temps en temps. Il y a des CENTAINES de personnes, surtout de notre âge (disons, 17-28 ans). Ils sont là juste pour vedger... ils amènent une nappe et se couchent là-dessus. Moi je regarde les culs quand je passe de nappe en nappe.
Beaucoup de bière, beaucoup de pot
Il y a beaucoup de bière là-bas. Beaucoup de pot aussi. Et voilà qui est dit. (D'ailleurs, j'y suis allé 2 fois, et au total je me suis fait offrir du pot 4 fois, par du monde pas subtil pentoute -- "tu cherches tu du weed?")
Le monde là-bas
Ce sont pour la plupart des genses plus que sympathiques. Par contre (ISSSHHHH !!!), il y a BEAUCOUP d'anglophones. En y allant, je vois BEAUCOUP de plaques de l'Ontario dans la rue, aucune idée pourquoi mais honnêtement allez-vous-en chez vous. Les anglophones sont la principale raison pour laquelle le taux d'acceptation de réponse à mon questionnaire n'est pas PARFAIT (ce n'est pas parce qu'ils sont bêtes, c'est parce que le questionnaire est en français -- ma phrase donne l'impression qu'ils sont pas parlables... dommage)
Philippe m'a dit qu'il y a beaucoup d'anglophones parce que le Mont Royal c'est un coin de riches, et que les riches au Québec ce sont des anglophones. Il a aussi dit qu'ils étaient juifs... "Juifs" ? Ça y'est, j'ai perdu intérêt.
Avant d'aller aux tam tam pour la première fois pour aller passer mes questionnaires, j'avais tenté ma chance au parc Lafontaine (Montréal), où les gens sont beaucoup plus âgés (~ 45-50 ans).. le taux de réponse doit avoir été de genre 5/10 -- et y'en a de loin que je voyais faire ce que j'appelle le camel action (ils me voyaient arriver avec ma pile de questionnaires et ils se préparaient déjà à me cracher dans la face). Laissez-moi vous dire que les tam tam, *même* si c'est plein d'anglophones, c'est pas pire pentoute après avoir fait le parc Lafontaine.
Anecdotes
Rien de très intéressant, mais quelques petites anecdotes:
- la 1ère fois (sur les 2) où j'y suis allé, les PREMIÈRES personnes à qui j'ai demandé -- avec tout le stress que ça implique -- ont été plus que gentilles, ils étaient là parce que c'était la fête d'un gars, et ce gars-là m'a offert un morceau de leur gâteau! (et ce n'est pas la seule fois où quelqu'un m'a offert quelque chose qui traînait sur leur satanée nappe)
- un gars m'a dit, "tu devrais aller au cégep du Vieux-Montréal, t'aurais plein de réponses... tu verrais plein de monde en train de se rouler un joint HAHAHA" -- ce gars-là était sur sa nappe, les cheveux dans face, en train de se rouler un joint... il s'en est rendu compte juste quand je lui ai fait remarquer
- je suis arrivé à une nappe d'anglophones un moment donné, ils ont refusé de répondre à mon questionnaire, mais j'en ai eu pour mon argent quand un des gars m'a montré sur sa caméra vidéo un film de lui en train de fourrer une fille... elle était consentante, et quand je lui ai demandé why did you do that, il a posé la vraie question: why not?
mardi 21 juillet 2009
Théâtre Ste-Catherine
Le Théâtre Ste-Catherine est un théâtre pris dans une tourmente liée à une mini-crise linguistique à Montréal, qui jusque-là n'a rien d'étonnant. Ce théâtre n'offre aucune représentation en français, et son site Internet est exclusivement en anglais.
Bon, ce n'est pas tout. Ce théâtre, dans le cadre du festival Juste pour rire en anglais (Just for Laughs) offre 7 représentations (sur une trentaine je crois) du Zoofest (aucune idée c'est quoi). Il est donc, qu'il le veuille ou non, un peu pris à se faire aimer du public (parce que Juste pour rire est un truc de public, allez voir).
Le Théâtre Ste-Catherine envoie périodiquement des courriels, exclusivement en anglais, à propos des présentations à venir & autres trucs nous pouvons supposer. Un groupe d'humoristes [peu connus?] a décidé qu'il ne voulait plus recevoir de tels courriels en anglais. Il a donc envoyé le message suivant en réponse aux publicités reçues:
Rien d'exceptionnel. La réponse reçue est très intéressante, et c'est ce qui fait le tour de la Toile ces jours-ci:
S'ensuit une réponse de Les Sages Fous, en anglais, écrit par une américaine qui habite maintenant au Québec (et qui fait partie du groupe). Le courriel en soi n'est pas gentil (d'uh), mais il est poli et n'utilise aucun gros mot. La réponse à la réponse se lit comme suit:
Quand on décide de creuser sa tombe.
Évidemment, tout ceci a fait beaucoup de marde (surprise surprise). Juste pour rire s'est dépêché à se dissocier de tout ça, en prenant la peine de mentionner qu'il essaierait de s'assurer à ce que ça ne se reproduise plus. D'autre part, le propriétaire du Théâtre, un certain M. Eric Amber, a décidé de fermer le théâtre en décembre "en guise de protestation" (aucune idée si le théâtre est rentable ou non à ce jour).
M. Amber dit qu'il recevait périodiquement des courriels haineux et menaçants de la part de francophones avant cet évènement, d'où ses réponses inacceptables. De plus, il dit qu'il a reçu une pléthore de menaces supplémentaires depuis le début de cette histoire (aucune idée si c'est vrai, mais d'une manière ou d'une autre, il me semble qu'il l'a cherchée un peu). Par contre, lorsqu'il se fait demander (par plusieurs instances à plusieurs occasions) de montrer les courriels haineux et menaçants (qui servent d'excuses), il refuse en disant qu'il ne veut pas "jeter de l'huile sur le feu".
Patrick Lagacé (La Presse), comme moi d'ailleurs, trouve cela complètement ridicule comme excuse. Lagacé a échangé des courriels avec Amber. Voici un courriel (extrait) envoyé par M. Amber à Lagacé (note: Lagacé n'a pas été à la radio):
Hmmm... c'est quoi donc la manière sympathique de décrire quelqu'un comme ça... ah oui, "un osti de fucké".
Note à part, et vraiment drôle, M. Amber fait apparemment partie d'un groupe sur Facebook qui s'appelle I say FUCK all the time and I'm still classy.
En tout cas. Je vais vous dire, toute cette histoire est très intéressante. Elle fait couler beaucoup d'encre, particulièrement sur les blogues (comme celui-ci :)). Un exemple de blogue est celui de Louis Préfontaine.
Pour les intéressés, référez-vous aux articles & billets suivants: Des insultes qui ne font pas rire (JdeM), Des menaces au propriétaire (JdeM), Blog de Patrick Lagacé (#1), Blog de Patrick Lagacé (#2).
Bon, ce n'est pas tout. Ce théâtre, dans le cadre du festival Juste pour rire en anglais (Just for Laughs) offre 7 représentations (sur une trentaine je crois) du Zoofest (aucune idée c'est quoi). Il est donc, qu'il le veuille ou non, un peu pris à se faire aimer du public (parce que Juste pour rire est un truc de public, allez voir).
Le Théâtre Ste-Catherine envoie périodiquement des courriels, exclusivement en anglais, à propos des présentations à venir & autres trucs nous pouvons supposer. Un groupe d'humoristes [peu connus?] a décidé qu'il ne voulait plus recevoir de tels courriels en anglais. Il a donc envoyé le message suivant en réponse aux publicités reçues:
Bonjour,
Merci de nous envoyer vos messages en français ou de nous retirer de votre liste d'envois.
Les Sages Fous
Rien d'exceptionnel. La réponse reçue est très intéressante, et c'est ce qui fait le tour de la Toile ces jours-ci:
The shows listed were in english and therefore so is the message. You obviously can't read in english because you are an uneducated bigot. Est-ce que vous comprenez l'expression anglophone: Go Fuck Yourself?
S'ensuit une réponse de Les Sages Fous, en anglais, écrit par une américaine qui habite maintenant au Québec (et qui fait partie du groupe). Le courriel en soi n'est pas gentil (d'uh), mais il est poli et n'utilise aucun gros mot. La réponse à la réponse se lit comme suit:
just delete the message and move on with your life. ps: fuck you
Quand on décide de creuser sa tombe.
Évidemment, tout ceci a fait beaucoup de marde (surprise surprise). Juste pour rire s'est dépêché à se dissocier de tout ça, en prenant la peine de mentionner qu'il essaierait de s'assurer à ce que ça ne se reproduise plus. D'autre part, le propriétaire du Théâtre, un certain M. Eric Amber, a décidé de fermer le théâtre en décembre "en guise de protestation" (aucune idée si le théâtre est rentable ou non à ce jour).
M. Amber dit qu'il recevait périodiquement des courriels haineux et menaçants de la part de francophones avant cet évènement, d'où ses réponses inacceptables. De plus, il dit qu'il a reçu une pléthore de menaces supplémentaires depuis le début de cette histoire (aucune idée si c'est vrai, mais d'une manière ou d'une autre, il me semble qu'il l'a cherchée un peu). Par contre, lorsqu'il se fait demander (par plusieurs instances à plusieurs occasions) de montrer les courriels haineux et menaçants (qui servent d'excuses), il refuse en disant qu'il ne veut pas "jeter de l'huile sur le feu".
Patrick Lagacé (La Presse), comme moi d'ailleurs, trouve cela complètement ridicule comme excuse. Lagacé a échangé des courriels avec Amber. Voici un courriel (extrait) envoyé par M. Amber à Lagacé (note: Lagacé n'a pas été à la radio):
Thanks for you article and radio piece today patrick, now i can add death threats to my list of life experience. as i told you, I am french and do not hate french people or quebec. i suppose getting people murdered is your thing?
why didnt you just meet with me and speak in person before
you spread your own message of hate.
this kind of thing will not help the french cause.
It only confirms that it is you who is the hurtful one.
I only told one person off.
your actions may get someone killed.
maybe you don’t care if I die.
Hmmm... c'est quoi donc la manière sympathique de décrire quelqu'un comme ça... ah oui, "un osti de fucké".
Note à part, et vraiment drôle, M. Amber fait apparemment partie d'un groupe sur Facebook qui s'appelle I say FUCK all the time and I'm still classy.
En tout cas. Je vais vous dire, toute cette histoire est très intéressante. Elle fait couler beaucoup d'encre, particulièrement sur les blogues (comme celui-ci :)). Un exemple de blogue est celui de Louis Préfontaine.
Pour les intéressés, référez-vous aux articles & billets suivants: Des insultes qui ne font pas rire (JdeM), Des menaces au propriétaire (JdeM), Blog de Patrick Lagacé (#1), Blog de Patrick Lagacé (#2).
lundi 20 juillet 2009
L'Adversaire
Jean-Claude Romand était un Français qui se faisait passer pour un médecin. Il a passé une grande partie de sa vie (18 ans!) à faire croire à sa famille et à ses amis qu'il était un médecin et chercheur à l'OMS.
On se souvient de lui plus principalement, par contre, pour avoir tué en 1993 sa femme, ses deux enfants, ses parents, avoir tenté d'assassiner sa maîtresse, et avoir mis le feu à sa maison après avoir ingéré des barbituriques pour se suicider (mais les pompiers sont arrivés à temps pour le sauver, "malheureusement"). Oh, il a peut-être tué son beau-père aussi, mais il n'a jamais été poursuivi pour ça. Il est en prison à présent.
Il a tué tous ces beaux gens parce qu'ils étaient sur le point de découvrir le pot-aux-roses (qui serait également le motif pour avoir tué son beau-père, mais ce n'est que conjecture).
L'histoire est d'autant plus intéressante parce qu'il y a lieu de se demander ce qu'il faisait pour vrai (pour pouvoir maintenir le niveau de vie attendu d'un médecin français, par exemple). La réponse? Il ne faisait rien du tout. En fait, il vivait de l'argent de ses proches qui le lui prêtaient pour qu'il l'investisse en Suisse (quelque chose comme ça).
L'Adversaire (2002) est un film basé sur le roman du même nom (2000) qui lui est basé sur cette histoire sordide. Le film offre pour personnage principale Daniel Auteuil, qui est celui qui a joué dans Le Placard, entre autres (c'est un excellent acteur quant à moi). Ça fait belle lurette que Patrick et moi voulons le voir, mais nous ne sommes pas capables de le trouver. J'ai cherché maintes fois sur Internet, notamment aujourd'hui, toujours sans succès. De plus, Amazon.ca ne semble pas l'offrir (en fait, il offre le DVD, mais ce dernier SEMBLE n'être qu'en anglais -- et le film est évidemment un film français, alors on voit pourquoi on pourrait être réticent à acheter ce DVD).
J'avais pensé aller voir dans les clubs vidéo pas loin de chez nous, voir s'ils l'ont. Je pense que j'aimerais le voir au point où je le louerais.
On se souvient de lui plus principalement, par contre, pour avoir tué en 1993 sa femme, ses deux enfants, ses parents, avoir tenté d'assassiner sa maîtresse, et avoir mis le feu à sa maison après avoir ingéré des barbituriques pour se suicider (mais les pompiers sont arrivés à temps pour le sauver, "malheureusement"). Oh, il a peut-être tué son beau-père aussi, mais il n'a jamais été poursuivi pour ça. Il est en prison à présent.
Il a tué tous ces beaux gens parce qu'ils étaient sur le point de découvrir le pot-aux-roses (qui serait également le motif pour avoir tué son beau-père, mais ce n'est que conjecture).
L'histoire est d'autant plus intéressante parce qu'il y a lieu de se demander ce qu'il faisait pour vrai (pour pouvoir maintenir le niveau de vie attendu d'un médecin français, par exemple). La réponse? Il ne faisait rien du tout. En fait, il vivait de l'argent de ses proches qui le lui prêtaient pour qu'il l'investisse en Suisse (quelque chose comme ça).
L'Adversaire (2002) est un film basé sur le roman du même nom (2000) qui lui est basé sur cette histoire sordide. Le film offre pour personnage principale Daniel Auteuil, qui est celui qui a joué dans Le Placard, entre autres (c'est un excellent acteur quant à moi). Ça fait belle lurette que Patrick et moi voulons le voir, mais nous ne sommes pas capables de le trouver. J'ai cherché maintes fois sur Internet, notamment aujourd'hui, toujours sans succès. De plus, Amazon.ca ne semble pas l'offrir (en fait, il offre le DVD, mais ce dernier SEMBLE n'être qu'en anglais -- et le film est évidemment un film français, alors on voit pourquoi on pourrait être réticent à acheter ce DVD).
J'avais pensé aller voir dans les clubs vidéo pas loin de chez nous, voir s'ils l'ont. Je pense que j'aimerais le voir au point où je le louerais.
dimanche 19 juillet 2009
Manque d'inspiration
C'est fait... j'ai tout dit. Il n'y a plus rien à écrire, plus rien dont je n'ai pas parlé, et plus rien de nouveau à raconter.
J'étais (il y a quelques instants) dans mon lit en train de flatter minet et de me dire que je ne savais pas quoi écrire. Je me disais que je pourrais simplement faire quelque chose comme "je ne sais pas quoi écrire ce soir alors bonsoir", mais j'aurais trouvé ça vedge.
ALORS j'ai utilisé une technique méta-contextuelle absolument extrêmement puissante qui cherche à utiliser mon raisonnement pour combler les lignes vides. Par exemple, au lieu de dire "je n'ai rien à écrire", je peux expliquer COMMENT je suis parvenu à cette conclusion, sans nécessairement l'énoncer clairement. Du coup, je remplis plein d'espace en expliquant que je ne sais pas quoi écrire, tout en ne disant jamais que je n'ai rien à écrire.
Pour une raison quelconque, mais qui n'est pas nécessairement en lien avec tout ça et qui n'est pas vrraiment le cas ici, ça me fait penser à a story within a story, qui est une figure de style méta-linguistique.
... ben voilà, j'ai terminé.
J'étais (il y a quelques instants) dans mon lit en train de flatter minet et de me dire que je ne savais pas quoi écrire. Je me disais que je pourrais simplement faire quelque chose comme "je ne sais pas quoi écrire ce soir alors bonsoir", mais j'aurais trouvé ça vedge.
ALORS j'ai utilisé une technique méta-contextuelle absolument extrêmement puissante qui cherche à utiliser mon raisonnement pour combler les lignes vides. Par exemple, au lieu de dire "je n'ai rien à écrire", je peux expliquer COMMENT je suis parvenu à cette conclusion, sans nécessairement l'énoncer clairement. Du coup, je remplis plein d'espace en expliquant que je ne sais pas quoi écrire, tout en ne disant jamais que je n'ai rien à écrire.
Pour une raison quelconque, mais qui n'est pas nécessairement en lien avec tout ça et qui n'est pas vrraiment le cas ici, ça me fait penser à a story within a story, qui est une figure de style méta-linguistique.
... ben voilà, j'ai terminé.
samedi 18 juillet 2009
Journée aux États-Unis
J'ai passé la journée aux États-Unis à manger dans un buffet chinois (très excellent) et à magasiner au Sam's Club.
Je suis présentement à Saint-Jean-Baptiste. Je devais venir ici parce que mon père et Christianne ont des problèmes avec leur Internet (probablement le routeur). Je ne suis pas parvenu à trouver la source du problème, et j'ai réussi à causer quelques nouveaux problèmes originaux, notamment en lien avec le serveur.
En ce qui concerne le serveur, c'est assez ridicule... c'est que j'ai réinitialisé tous les réglages du routeur. Ensuite, impossible d'accéder au serveur, ni par HTTP, ni par SSH. Je suis donc descendu en bas, et j'ai redémarré l'ordinateur parce qu'Internet n'y fonctionnait effectivement plus. Après avoir redémarré, Internet fonctionnait, mais HTTP et SSH non. J'ai donc essayé tout plein d'affaires. J'ai enlevé l'adresse IP statique, puis je l'ai refixée, à titre d'exemple. Finalement, j'ai réveillé... j'avais oublié de réouvrir les ports sur le routeur après avoir réinitialiser ses réglages. En tout cas.
Pour le problème original, on va sûrement essayer de voir si le problème provient du routeur. Anyway... je ne vous tiendrai probablement pas au courant.
Voici trois photos prises aux États-Unis: les deux premières sont où nous avons mangé, et la troisième montre une banque (près du buffet) qui a l'air vieux / d'un entrepôt.
Voici deux photos du serveur (!!), qui est dans mon ancienne chambre au sous-sol:
Finalement, voici deux photos de Bibi, la chienne de mon père et Christianne. Aussi, j'ai filmé Bibi en train de faire quelque chose de drôle... à voir!
Je suis présentement à Saint-Jean-Baptiste. Je devais venir ici parce que mon père et Christianne ont des problèmes avec leur Internet (probablement le routeur). Je ne suis pas parvenu à trouver la source du problème, et j'ai réussi à causer quelques nouveaux problèmes originaux, notamment en lien avec le serveur.
En ce qui concerne le serveur, c'est assez ridicule... c'est que j'ai réinitialisé tous les réglages du routeur. Ensuite, impossible d'accéder au serveur, ni par HTTP, ni par SSH. Je suis donc descendu en bas, et j'ai redémarré l'ordinateur parce qu'Internet n'y fonctionnait effectivement plus. Après avoir redémarré, Internet fonctionnait, mais HTTP et SSH non. J'ai donc essayé tout plein d'affaires. J'ai enlevé l'adresse IP statique, puis je l'ai refixée, à titre d'exemple. Finalement, j'ai réveillé... j'avais oublié de réouvrir les ports sur le routeur après avoir réinitialiser ses réglages. En tout cas.
Pour le problème original, on va sûrement essayer de voir si le problème provient du routeur. Anyway... je ne vous tiendrai probablement pas au courant.
Voici trois photos prises aux États-Unis: les deux premières sont où nous avons mangé, et la troisième montre une banque (près du buffet) qui a l'air vieux / d'un entrepôt.
Voici deux photos du serveur (!!), qui est dans mon ancienne chambre au sous-sol:
Finalement, voici deux photos de Bibi, la chienne de mon père et Christianne. Aussi, j'ai filmé Bibi en train de faire quelque chose de drôle... à voir!
vendredi 17 juillet 2009
Dalle de béton meurtrière
Je ne sais pas si vous avez entendu parler de cette histoire qui est survenue hier soir vers l'heure du souper, mais c'est vraiment une histoire d'horreur.
Une dalle de béton s'est détachée de sa façade du 18ième étage et a traversé tous les étages précédents (si vous ne savez pas pourquoi, voir l'article sur Wikipédia à propos de la gravitation) pour arrêter sa course sur une femme de 33 ans qui soupait au rez-de-chaussée avec son conjoint.
La dalle pesait entre 500 et 800 livres apparemment; nul besoin de vous dire que la femme est décédée presque immédiatement. Son conjoint, quant à lui, aurait perdu des bouts de doigts, mais surtout sa conjointe.
L'histoire en est une horreur pas vraiment parce qu'une femme est morte. Des gens meurent à tous les jours, et il n'y a rien de nouveau qu'une personne meure. Quant à moi, c'est horrible parce que l'homme a survécu. Voyez-vous, il soupait avec sa conjointe au restaurant (lui aussi avait 33 ans en passant), et comme c'était sa conjointe, on peut supposer qu'il l'aimait un peu. L'Histoire nous apprendra plus tard qu'il avait effectivement l'intention de la demander en mariage éventuellement.
On peut lire dans le Journal de Montréal:
Donc, le gars travaille durant la journée, sa conjointe aussi. Ils vont souper au restaurant, et le gars a l'intention de la demander en mariage, bientôt, je ne sais pas quand exactement mais bientôt de toute façon. Belle soirée anyway, tout est heureux, la vie est belle, on pense qu'on va terminer sa vie ensemble.
L'histoire d'un instant, la dalle tombe, et on se ramasse seul au monde et il est trop tard pour reculer. Trop tard pour remettre à plus tard le souper, trop tard pour choisir un autre restaurant, trop tard pour se chicaner avant de partir de laisser faire le souper. Et du coup tous les plans tombent à l'eau hein... pu de mariage, pu d'achat de maison, pu d'enfants. À place d'une soirée normale, voire agréable, le gars termine à l'hôpital, a probablement passé la nuit là. Quand il va sortir, il va revenir chez eux dans un endroit où il n'y aura plus personne et où il y aura encore des objets qui rappelleront qu'il y avait quelqu'un là avant, tout récemment, et que ce quelqu'un là aurait encore dû être là.
Bref, pu de compagne de vie. Je ne sais même pas comment exprimer à quel point l'histoire est horrible.
Articles: La Presse, Journal de Montréal.
Une dalle de béton s'est détachée de sa façade du 18ième étage et a traversé tous les étages précédents (si vous ne savez pas pourquoi, voir l'article sur Wikipédia à propos de la gravitation) pour arrêter sa course sur une femme de 33 ans qui soupait au rez-de-chaussée avec son conjoint.
La dalle pesait entre 500 et 800 livres apparemment; nul besoin de vous dire que la femme est décédée presque immédiatement. Son conjoint, quant à lui, aurait perdu des bouts de doigts, mais surtout sa conjointe.
L'histoire en est une horreur pas vraiment parce qu'une femme est morte. Des gens meurent à tous les jours, et il n'y a rien de nouveau qu'une personne meure. Quant à moi, c'est horrible parce que l'homme a survécu. Voyez-vous, il soupait avec sa conjointe au restaurant (lui aussi avait 33 ans en passant), et comme c'était sa conjointe, on peut supposer qu'il l'aimait un peu. L'Histoire nous apprendra plus tard qu'il avait effectivement l'intention de la demander en mariage éventuellement.
On peut lire dans le Journal de Montréal:
L'homme a été transporté à l'Hôpital général de Montréal. Il a été traité pour un violent choc nerveux et aurait perdu des bouts de doigt. Selon des témoins, sa chemise blanche était maculée de sang, à son départ pour le centre hospitalier.
Le serveur du couple était sous le choc, indique Justine Lafon. «Il m'a dit qu'il avait organisé quelque chose avec le copain de la femme. Apparemment, il devait la demander en mariage», raconte-t-elle.[1]
Donc, le gars travaille durant la journée, sa conjointe aussi. Ils vont souper au restaurant, et le gars a l'intention de la demander en mariage, bientôt, je ne sais pas quand exactement mais bientôt de toute façon. Belle soirée anyway, tout est heureux, la vie est belle, on pense qu'on va terminer sa vie ensemble.
L'histoire d'un instant, la dalle tombe, et on se ramasse seul au monde et il est trop tard pour reculer. Trop tard pour remettre à plus tard le souper, trop tard pour choisir un autre restaurant, trop tard pour se chicaner avant de partir de laisser faire le souper. Et du coup tous les plans tombent à l'eau hein... pu de mariage, pu d'achat de maison, pu d'enfants. À place d'une soirée normale, voire agréable, le gars termine à l'hôpital, a probablement passé la nuit là. Quand il va sortir, il va revenir chez eux dans un endroit où il n'y aura plus personne et où il y aura encore des objets qui rappelleront qu'il y avait quelqu'un là avant, tout récemment, et que ce quelqu'un là aurait encore dû être là.
Bref, pu de compagne de vie. Je ne sais même pas comment exprimer à quel point l'histoire est horrible.
Articles: La Presse, Journal de Montréal.
jeudi 16 juillet 2009
Le forum pogne pas!
Hey yo wazzup!
Je vous rappelle que depuis le 27 mai, vous avez accès à un forum. Je le rappelle parce que ça ne pogne vraiment pas... en fait, il y a seulement trois personnes qui écrivent une fois de temps en temps: Patrick, Kevin et moi-même.
J'avais dit dans mon message que j'allais voir dans un mois si ça pognait, et sinon que je l'enlèverais. Je ne l'ai finalement pas enlevé parce que Patrick voulait le garder (entre autres personnes... moi aussi), et que ça ne me coûtait rien de le laisser là (je confirme).
Il y a plusieurs discussions déjà, la plupart étant simplement des vidéos de YouTube. J'ai essayé à quelques reprises de partir des discussions, notamment lorsque Ignatieff devait approuver ou désapprouver le budget de Harper, mais ces discussions-là sont restées entièrement mortes.
Kevin, quant à lui, a réussi à trouver de l'aide à propos de eBay et d'un émulateur de PS, entre autres. Moi, je me suis renseigné à propos de groupes de musique que pouvait me suggérer Kevin (dans son style de musique).
Il y a quelques vidéos de Whose line is it anyway? en passant, pour les intéressés.
J'aimerais une fois de plus souligner que vous n'avez pas besoin de vous inscrire pour écrire sur le forum. Toutes les sections sont libres d'accès pour les usagers non connectés.
Je suis désolé si je reviens là-dessus. C'est juste que je trouve que c'est une bonne idée (le forum), mais je n'ai eu que très peu de feedback à propos de tout ça... mais en tout cas, j'ai encore espoir que ça lève un peu.
Je vous rappelle que depuis le 27 mai, vous avez accès à un forum. Je le rappelle parce que ça ne pogne vraiment pas... en fait, il y a seulement trois personnes qui écrivent une fois de temps en temps: Patrick, Kevin et moi-même.
J'avais dit dans mon message que j'allais voir dans un mois si ça pognait, et sinon que je l'enlèverais. Je ne l'ai finalement pas enlevé parce que Patrick voulait le garder (entre autres personnes... moi aussi), et que ça ne me coûtait rien de le laisser là (je confirme).
Il y a plusieurs discussions déjà, la plupart étant simplement des vidéos de YouTube. J'ai essayé à quelques reprises de partir des discussions, notamment lorsque Ignatieff devait approuver ou désapprouver le budget de Harper, mais ces discussions-là sont restées entièrement mortes.
Kevin, quant à lui, a réussi à trouver de l'aide à propos de eBay et d'un émulateur de PS, entre autres. Moi, je me suis renseigné à propos de groupes de musique que pouvait me suggérer Kevin (dans son style de musique).
Il y a quelques vidéos de Whose line is it anyway? en passant, pour les intéressés.
J'aimerais une fois de plus souligner que vous n'avez pas besoin de vous inscrire pour écrire sur le forum. Toutes les sections sont libres d'accès pour les usagers non connectés.
Je suis désolé si je reviens là-dessus. C'est juste que je trouve que c'est une bonne idée (le forum), mais je n'ai eu que très peu de feedback à propos de tout ça... mais en tout cas, j'ai encore espoir que ça lève un peu.
mercredi 15 juillet 2009
Socket & ServerSocket
Dans mon apprentissage du Java, j'ai décidé de faire un détour pour apprendre comment me connecter sur un serveur (en donnant une adresse d'hôte et un port). Ça m'a également mené à lire à propos du "contraire", à savoir comment recevoir des connexions sur un certain port.
C'est assez cool parce que ça permet de créer des clients pour des protocoles existants, mais aussi de créer ses propres protocoles.
J'ai écrit un mini-programme qui fonctionne très mal et qui permet de se connecter sur un serveur IRC (http://www.undernet.org/). En gros, tous les messages reçus du serveur sont imprimés dans la console ou le terminal, et on doit également taper nos commandes dans ce terminal (en d'autres mots, il n'y a pas vraiment de distinction entre "message reçu" et "message envoyé"). Aussi, le protocole IRC nécessite plein d'information lors de la connexion et dans un ordre précis, ce qui est généralement géré automatiquement par le client. Comme mon fameux client est archaïque, il faut tout faire à la main, et disons-le, c'est chiant (j'ai cherché *partout* pour trouver comment faire... j'ai finalement réussi, mais ô combien de temps perdu).
Aussi, le programme a un problème assez grave en ce moment qui est qu'il ne ferme aucune connexion lorsqu'il quitte. En fait, la manière que ça fonctionne c'est qu'il faut ouvrir deux flux (un de lecture et l'autre d'écriture), ainsi qu'un socket en soit (une connexion au serveur, bref). Le programme, pour le moment, ne ferme aucun des flux ni le socket (je pense d'ailleurs que ça pourrait expliquer mes problèmes persistants de connexion après trop de tentatives, mais je ne m'y connais pas assez).
L'intérêt là-dedans, au-delà de la possibilité d'écrire un client en utilisant un protocole quelconque géré par un serveur, est que l'on peut créer un protocole soi-même, écrire le programme pour recevoir les connexions et gérer les commandes reçues, et bâtir le client qui doit être remis à l'utilisateur pour se connecter au serveur. Il y a donc moyen de produire entièrement quelque chose fonctionnant par Internet (ou Intranet ou whatever), pour peu qu'on ait un serveur qui l'héberge.
À titre d'exemple: je pourrais créer un serveur d'échecs mettons. Le programme sur le serveur (qui écouterait pour les connexions) interprèterait (selon le protocole que j'aurais moi-même rédigé) les commandes envoyées par les utilisateurs. Les utilisateurs, eux, pourraient utiliser une interface que j'aurais également créée moi-même, laquelle permettrait de communiquer le serveur en envoyant des messages interprétables par le serveur (i.e. selon le même protocole).
Absolument merveilleux, non?
Bon évidemment, j'en parle comme si c'était facile et faisable et qu'un singe pourrait faire pareil, mais c'est quand même pas simple. Je veux dire, il faut quand même coder tout ça (coder la manière que le protocole est géré, bref). Tout ça n'est clairement pas simple et demanderait beaucoup de travail. Mais de toute manière, le but de l'exercice n'était pas de réécrire le monde de la programmation... c'était juste pour voir comment se connecter à un serveur en Java...
C'est assez cool parce que ça permet de créer des clients pour des protocoles existants, mais aussi de créer ses propres protocoles.
J'ai écrit un mini-programme qui fonctionne très mal et qui permet de se connecter sur un serveur IRC (http://www.undernet.org/). En gros, tous les messages reçus du serveur sont imprimés dans la console ou le terminal, et on doit également taper nos commandes dans ce terminal (en d'autres mots, il n'y a pas vraiment de distinction entre "message reçu" et "message envoyé"). Aussi, le protocole IRC nécessite plein d'information lors de la connexion et dans un ordre précis, ce qui est généralement géré automatiquement par le client. Comme mon fameux client est archaïque, il faut tout faire à la main, et disons-le, c'est chiant (j'ai cherché *partout* pour trouver comment faire... j'ai finalement réussi, mais ô combien de temps perdu).
Aussi, le programme a un problème assez grave en ce moment qui est qu'il ne ferme aucune connexion lorsqu'il quitte. En fait, la manière que ça fonctionne c'est qu'il faut ouvrir deux flux (un de lecture et l'autre d'écriture), ainsi qu'un socket en soit (une connexion au serveur, bref). Le programme, pour le moment, ne ferme aucun des flux ni le socket (je pense d'ailleurs que ça pourrait expliquer mes problèmes persistants de connexion après trop de tentatives, mais je ne m'y connais pas assez).
L'intérêt là-dedans, au-delà de la possibilité d'écrire un client en utilisant un protocole quelconque géré par un serveur, est que l'on peut créer un protocole soi-même, écrire le programme pour recevoir les connexions et gérer les commandes reçues, et bâtir le client qui doit être remis à l'utilisateur pour se connecter au serveur. Il y a donc moyen de produire entièrement quelque chose fonctionnant par Internet (ou Intranet ou whatever), pour peu qu'on ait un serveur qui l'héberge.
À titre d'exemple: je pourrais créer un serveur d'échecs mettons. Le programme sur le serveur (qui écouterait pour les connexions) interprèterait (selon le protocole que j'aurais moi-même rédigé) les commandes envoyées par les utilisateurs. Les utilisateurs, eux, pourraient utiliser une interface que j'aurais également créée moi-même, laquelle permettrait de communiquer le serveur en envoyant des messages interprétables par le serveur (i.e. selon le même protocole).
Absolument merveilleux, non?
Bon évidemment, j'en parle comme si c'était facile et faisable et qu'un singe pourrait faire pareil, mais c'est quand même pas simple. Je veux dire, il faut quand même coder tout ça (coder la manière que le protocole est géré, bref). Tout ça n'est clairement pas simple et demanderait beaucoup de travail. Mais de toute manière, le but de l'exercice n'était pas de réécrire le monde de la programmation... c'était juste pour voir comment se connecter à un serveur en Java...
mardi 14 juillet 2009
Cannelle & caméra
J'étais dans mon lit et je lisais un truc de Java. À mi-chemin dans ma lecture, je me suis levé pour brancher mon portable (je laissais vider la batterie), et j'en ai profité pour prendre ma caméra numérique, et je suis retourné dans mon lit.
J'ai commencé à essayer de prendre des photos de Cannelle, mais plus ça avance et plus je me dis que Cannelle n'aime pas la caméra. Je pense que le bout qui dépasse (l'objectif) ne lui plaît pas.
Ensuite, je me suis aperçu que la dragonne ne lui plaisait pas non plus... et quand elle s'est mise à taper dessus violemment, j'ai décidé de tout filmer ça.
Admirez la sauvagerie qui l'habite.
J'ai commencé à essayer de prendre des photos de Cannelle, mais plus ça avance et plus je me dis que Cannelle n'aime pas la caméra. Je pense que le bout qui dépasse (l'objectif) ne lui plaît pas.
Ensuite, je me suis aperçu que la dragonne ne lui plaisait pas non plus... et quand elle s'est mise à taper dessus violemment, j'ai décidé de tout filmer ça.
Admirez la sauvagerie qui l'habite.
lundi 13 juillet 2009
Roger Williamson & David Purley
Roger Williamson et David Purley étaient deux courseurs de Formule 1, et les deux étaient amis dans la vraie vie (même s'ils étaient compétiteurs en F1).
Le 29 juillet 1973, au Grand Prix de Belgique, Williamson a eu un accident. Son auto s'est ramassée à l'envers et en feu.
Purley a abandonné sa course pour essayer d'aider Williamson. Ceux qui sont là pour gérer les accidents durant la course à cette courbe-là étaient apparemment mal formés et ne portaient pas de tenue contre le feu, et n'ont donc pas été d'une grande aide. Purley a donc essayé seul de remettre la voiture sur ses roues (il n'a pas été capable), et s'est servi lui-même de l'extincteur pour essayer d'éteindre le feu (ce qui n'a pas fonctionné -- la bombonne s'est vidée avant que le feu ne soit éteint).
Malheureusement aussi, comme on pourrait s'y attendre, il y avait des gens qui croyaient qu'il s'agissait de la voiture de Purley (notamment les annonceurs). Il y avait donc moyen de penser que tout était correct, que le pilote était sain et sauf. C'est l'une des raisons évoquées pourquoi les gens ne s'arrêtaient pas pour aider.
Finalement, Williamson est mort asphyxié.
Le 29 juillet 1973, au Grand Prix de Belgique, Williamson a eu un accident. Son auto s'est ramassée à l'envers et en feu.
During the race, Williamson suffered a sudden tyre deflation, which pitched his car into the barriers at high speed and catapulted it 300 yards (275 m) across the track, eventually coming to rest upside down against the barriers on the other side, during which his petrol tank had ignited while being scraped along the track. A fire began to take hold and Williamson was unable to extricate himself.
Purley a abandonné sa course pour essayer d'aider Williamson. Ceux qui sont là pour gérer les accidents durant la course à cette courbe-là étaient apparemment mal formés et ne portaient pas de tenue contre le feu, et n'ont donc pas été d'une grande aide. Purley a donc essayé seul de remettre la voiture sur ses roues (il n'a pas été capable), et s'est servi lui-même de l'extincteur pour essayer d'éteindre le feu (ce qui n'a pas fonctionné -- la bombonne s'est vidée avant que le feu ne soit éteint).
Malheureusement aussi, comme on pourrait s'y attendre, il y avait des gens qui croyaient qu'il s'agissait de la voiture de Purley (notamment les annonceurs). Il y avait donc moyen de penser que tout était correct, que le pilote était sain et sauf. C'est l'une des raisons évoquées pourquoi les gens ne s'arrêtaient pas pour aider.
Finalement, Williamson est mort asphyxié.
Fellow driver and friend David Purley, although not a teammate of Williamson's, abandoned his own race in a desperate and valiant attempt to rescue him. Williamson had not been seriously injured by the impact, and was heard shouting to Purley to get him out of the car as Purley tried in vain to turn the car upright. Initially the commentators on Dutch TV, race control and some of the other drivers participating in the race assumed that it was Purley's car that had crashed and that the driver had escaped unharmed. As a result the race continued at full pace while Purley desperately tried to save the life of his friend.
Photographs taken by Cor Mooij of the reaction of David Purley were awarded the World Press Photo for sports in 1974. Purley was awarded the George Medal for his actions in trying to save Williamson.
Google Maps
Nicolas voulait que je poste ceci. Un de ses amis a utilisé Google Maps pour voir le trajet qu'il donnerait pour aller de Los Angeles à Tokyo. Le résultat est vraiment drôle.
dimanche 12 juillet 2009
Bell Mobilité - La saga
Pour ceux qui ne sont pas sûr qui est Jean-François Mercier, c'est "le gros cave". C'est un humoriste qui sacre toujours et qui chiâle toujours pour rien dans ses spectacles (c'est son personnage).
Voyez ça... pour ceux qui n'aiment pas Bell, c'est vraiment bien.
Voyez ça... pour ceux qui n'aiment pas Bell, c'est vraiment bien.
samedi 11 juillet 2009
Marcy
Ça y est, je me suis trouvé une nouvelle meilleure amie sénégalaise.
Il y a une semaine tout juste (7 jours), je me suis inscrit sur un site de partage de vidéos style YouTube. Je me suis inscrit dessus pour deux raisons:
"C'est quoi le vidéo"? Ah vous savez... pour faire une histoire courte mais floue, c'est une actrice qui est nue dans un vieux film, et donc ce n'est plus d'actualité et c'est difficile à trouver (surtout que le film n'a rien d'extraordinaire, si ce n'est que pour cette scène de 30 secondes). C'EST TOUT, je ne vous dirai rien de plus à ce sujet, bon.
Le vidéo était correct mais incomplet, et malheureusement il n'avait pas le bout que je voulais voir (lol... ouais, je suis sélectif de même).
Fast-forward aujourd'hui, où je reçois un e-mail de ce site (dont le nom ne me disait absolument rien... au début j'ai cru à du spam), qui me dit qu'une "Marcy" m'a écrit un message, vous pouvez cliquer ici pour voir le profil de madame ou bien ici pour voir le message. Toujours incapable de replacer le site, je vérifie sur Wikipédia, qui n'en a jamais entendu parler non plus.
Je me lance donc dans cette folle aventure de cliquage de liens (qui s'est avérée plutôt banale étant donné que j'ai reconnu le site quand j'y suis parvenu...).
Donc voilà, le message dit ceci:
J'ai regardé son profil, et ça dit qu'elle est une femme de 25 ans provenant du Sénégal.
Premièrement, ce qui est très étrange, c'est que le Sénégal a une seule langue officielle -- le français -- et quelques autres langues reconnues mais non officielles, aucune étant l'anglais. Aussi, le site de vidéo est exclusivement en français (probablement que ça vient de la France, mais je pense que je m'en sacre).
Deuxièmement, le fait qu'elle ait aimé mon profil m'est apparu comme étrange de prime abord, parce que je ne me rappelais vraiment pas avoir peaufiner de profil récemment. Après vérification, voici mon profil:
Troisièmement, son nom d'utilisateur est "maceylove", mais son prénom (qui semble se confirmer dans son adresse de courriel) est Marcy, et non pas Macey.
M'enfin... c'est le fun savoir que si les choses s'améliorent pas éventuellement, j'aurai toujours une porte de sortie.
Il y a une semaine tout juste (7 jours), je me suis inscrit sur un site de partage de vidéos style YouTube. Je me suis inscrit dessus pour deux raisons:
- Je cherchais un vidéo que YouTube n'offrait pas (et n'offre pas), mais que le site avait apparemment;
- Il fallait s'inscrire pour voir le vidéo, et je voulais le voir.
"C'est quoi le vidéo"? Ah vous savez... pour faire une histoire courte mais floue, c'est une actrice qui est nue dans un vieux film, et donc ce n'est plus d'actualité et c'est difficile à trouver (surtout que le film n'a rien d'extraordinaire, si ce n'est que pour cette scène de 30 secondes). C'EST TOUT, je ne vous dirai rien de plus à ce sujet, bon.
Le vidéo était correct mais incomplet, et malheureusement il n'avait pas le bout que je voulais voir (lol... ouais, je suis sélectif de même).
Fast-forward aujourd'hui, où je reçois un e-mail de ce site (dont le nom ne me disait absolument rien... au début j'ai cru à du spam), qui me dit qu'une "Marcy" m'a écrit un message, vous pouvez cliquer ici pour voir le profil de madame ou bien ici pour voir le message. Toujours incapable de replacer le site, je vérifie sur Wikipédia, qui n'en a jamais entendu parler non plus.
Je me lance donc dans cette folle aventure de cliquage de liens (qui s'est avérée plutôt banale étant donné que j'ai reconnu le site quand j'y suis parvenu...).
Donc voilà, le message dit ceci:
Hello My name is Marcy i saw your profile today at clipser and becameintrested in you,i will also like to know you the more, and i want you to send anemail to my email address so i can give you my picture for you to know whom i am.Here is my email address (marcy_mabou@yahoo.com) I believe we can move from here! I am waiting for your mail to my email address above. Marcy (Remeber the distance or colour does not matter but love matters alotin life.(marcy_mabou@yahoo.com).
J'ai regardé son profil, et ça dit qu'elle est une femme de 25 ans provenant du Sénégal.
Premièrement, ce qui est très étrange, c'est que le Sénégal a une seule langue officielle -- le français -- et quelques autres langues reconnues mais non officielles, aucune étant l'anglais. Aussi, le site de vidéo est exclusivement en français (probablement que ça vient de la France, mais je pense que je m'en sacre).
Deuxièmement, le fait qu'elle ait aimé mon profil m'est apparu comme étrange de prime abord, parce que je ne me rappelais vraiment pas avoir peaufiner de profil récemment. Après vérification, voici mon profil:
Troisièmement, son nom d'utilisateur est "maceylove", mais son prénom (qui semble se confirmer dans son adresse de courriel) est Marcy, et non pas Macey.
M'enfin... c'est le fun savoir que si les choses s'améliorent pas éventuellement, j'aurai toujours une porte de sortie.
vendredi 10 juillet 2009
Expérience à l'UQAM
Le laboratoire où Patrick fait du bénévolat avait cruellement (et a encore cruellement) besoin de monde pour une expérience, et j'ai donc décidé hier à 17h30 de me porter volontaire (ça paie 10$ en plus). Hier après-midi, vers les 16h30, je partis donc vers l'UQAM.
En passant, si vous voulez participer, ne continuez pas votre lecture, parce que vous ne seriez pas supposés lire ce que j'écris si vous voulez participer (hmmm... le début et la fin de la phrase sont vraiment pareils).
Il y avait 2 autres participants avec moi, et on formait une équipe dans l'exécution de deux tâches distinctes, différentes mais semblables dans la forme. En gros, on nous faisait croire qu'on était dans une situation où on était isolé, loin de la civilisation, et on a 12 items, et on les classe par ordre d'importance allant avec la situation dans laquelle nous sommes placés. Il n'y a pas de "bonnes réponses" (comme on pourrait s'y attendre), il suffit simplement pour que tout le monde essaie pour vrai (d'uh) et qu'on parvienne à tous être d'accord sur l'ordre proposé.
Oh, il fallait se donner un nom de groupe (go Les Incertains!!).
Donc, comme disais-je, il y avait deux personnes. Un gars qui était étudiant à l'Université de Montréal au doctorat en psychologie, et une fille étudiante au baccalauréat en droit à l'UQAM. Le gars est passé du bac. au doc. sans faire sa maîtrise (du temps où il y avait une maîtrise), alors j'imagine qu'il avait de bonnes notes.
Mais la fille... la fille!! Elle avait une moyenne de 2,3!! C'est vraiment au-dessus de ma compréhension. En fait, ce que je ne parviens pas à comprendre, c'est comment on peut garder une moyenne aussi basse pendant aussi longtemps (elle vient de terminer sa deuxième année) et ne pas être exclus du programme (notamment pour cause de trop d'échecs, par exemple).
En tout cas, l'expérience en soi c'était un peu chiant. La première situation, notre autobus de touristes a fait des tonneaux et tout ça et tout le monde est mort sauf nous. On a une boussole, map de la région, couteau, Whiskey, etc. On est à genre 40 km de la ville la plus proche, on est en plein hiver, il y a beaucoup de neige, il fait très froid. La deuxième situation, on était dans un désert de l'Australie en janvier (i.e. en été), fait très chaud, on est à 80 km de la ville la plus proche après que notre avion se soit écrasé et qu'on soient les seuls survivants. Encore des items semblables (miroir, couteau, bouteille d'eau, ...).
Il y avait un questionnaire à remplir au début, puis un autre. Ensuite on faisait la première mise en situation, puis on remplissait un questionnaire. Deuxième mise en situation, et un dernier questionnaire. En résumé, j'ai rempli des questionnaires.
Mais quelqu'un de cheap comme moi est prêt à tout pour se faire 10$. ET, on m'avait menti en me disant que ce serait le fun. Tout le monde me ment, tout le monde se fout de comment je me sens quand on me ment, mais c'est pas grave parce que j'ai un chèque de 10$ dans mon portefeuille, LALALÈRE.
(P.S. C'était pas si pire... j'ai apprécié l'expérience de vie).
En passant, si vous voulez participer, ne continuez pas votre lecture, parce que vous ne seriez pas supposés lire ce que j'écris si vous voulez participer (hmmm... le début et la fin de la phrase sont vraiment pareils).
Il y avait 2 autres participants avec moi, et on formait une équipe dans l'exécution de deux tâches distinctes, différentes mais semblables dans la forme. En gros, on nous faisait croire qu'on était dans une situation où on était isolé, loin de la civilisation, et on a 12 items, et on les classe par ordre d'importance allant avec la situation dans laquelle nous sommes placés. Il n'y a pas de "bonnes réponses" (comme on pourrait s'y attendre), il suffit simplement pour que tout le monde essaie pour vrai (d'uh) et qu'on parvienne à tous être d'accord sur l'ordre proposé.
Oh, il fallait se donner un nom de groupe (go Les Incertains!!).
Donc, comme disais-je, il y avait deux personnes. Un gars qui était étudiant à l'Université de Montréal au doctorat en psychologie, et une fille étudiante au baccalauréat en droit à l'UQAM. Le gars est passé du bac. au doc. sans faire sa maîtrise (du temps où il y avait une maîtrise), alors j'imagine qu'il avait de bonnes notes.
Mais la fille... la fille!! Elle avait une moyenne de 2,3!! C'est vraiment au-dessus de ma compréhension. En fait, ce que je ne parviens pas à comprendre, c'est comment on peut garder une moyenne aussi basse pendant aussi longtemps (elle vient de terminer sa deuxième année) et ne pas être exclus du programme (notamment pour cause de trop d'échecs, par exemple).
En tout cas, l'expérience en soi c'était un peu chiant. La première situation, notre autobus de touristes a fait des tonneaux et tout ça et tout le monde est mort sauf nous. On a une boussole, map de la région, couteau, Whiskey, etc. On est à genre 40 km de la ville la plus proche, on est en plein hiver, il y a beaucoup de neige, il fait très froid. La deuxième situation, on était dans un désert de l'Australie en janvier (i.e. en été), fait très chaud, on est à 80 km de la ville la plus proche après que notre avion se soit écrasé et qu'on soient les seuls survivants. Encore des items semblables (miroir, couteau, bouteille d'eau, ...).
Il y avait un questionnaire à remplir au début, puis un autre. Ensuite on faisait la première mise en situation, puis on remplissait un questionnaire. Deuxième mise en situation, et un dernier questionnaire. En résumé, j'ai rempli des questionnaires.
Mais quelqu'un de cheap comme moi est prêt à tout pour se faire 10$. ET, on m'avait menti en me disant que ce serait le fun. Tout le monde me ment, tout le monde se fout de comment je me sens quand on me ment, mais c'est pas grave parce que j'ai un chèque de 10$ dans mon portefeuille, LALALÈRE.
(P.S. C'était pas si pire... j'ai apprécié l'expérience de vie).
Deux photos de Cannelle
C'est vraiment difficile prendre Cannelle en photo parce qu'elle bouge tout le temps, alors les photos sont habituellement floues et inutilisables.
jeudi 9 juillet 2009
Mitch Hedberg
Mitch Hedberg était un humoriste qui est mort en 2005 un peu avant la quarantaine après avoir fait du speedballing (speedball... comme John Belushi et Chris Farley).
J'ai regardé quelques vidéos de lui, et j'ai lu toutes ses citations sur Wikiquote, et je trouve qu'il était vraiment drôle. Son type d'humour est particulier, vraiment difficile à décrire. Ça me fait penser un peu à Jean-Thomas Jobin, mais avec un style absurde moins avoué (Jean-Thomas Jobin agit comme s'il était absurde dans son personnage, mais pas vraiment Hedberg).
Ses numéros en général n'ont pas vraiment de sujet spécifique. Il fait juste parler de toutes sortes d'affaires. On dirait plutôt un amalgame de one-liners plus qu'autre chose.
En tout cas, il est bien drôle. Je vous présente sa performance au festival Juste pour Rire de 2004, puis celle de 1998 (vraiment drôle).
J'ai regardé quelques vidéos de lui, et j'ai lu toutes ses citations sur Wikiquote, et je trouve qu'il était vraiment drôle. Son type d'humour est particulier, vraiment difficile à décrire. Ça me fait penser un peu à Jean-Thomas Jobin, mais avec un style absurde moins avoué (Jean-Thomas Jobin agit comme s'il était absurde dans son personnage, mais pas vraiment Hedberg).
Ses numéros en général n'ont pas vraiment de sujet spécifique. Il fait juste parler de toutes sortes d'affaires. On dirait plutôt un amalgame de one-liners plus qu'autre chose.
En tout cas, il est bien drôle. Je vous présente sa performance au festival Juste pour Rire de 2004, puis celle de 1998 (vraiment drôle).
mercredi 8 juillet 2009
Chômage & VEE
Bah, commençons par les VEE.
Les VEE (Validation by Educational Experience) sont des sortes de "crédits" qu'il faut obtenir auprès de la SOA pour obtenir les titres de la SOA, et qui sont parallèles mais indépendants des examens & modules. La plupart des universités permettent d'obtenir les crédits simplement en passant certains cours [du bac en actuariat], moyennant certaines conditions (notamment une note de passage supérieure ou égale à B-). Il y a trois VEE à obtenir: economics (microéconomie I et macroéconomie I), corporate finance (mathématiques financières II et III) et applied statistical models (modèles de prévision). On doit passer ça parce que ça couvre des trucs qui ne sont pas testés dans les examens. En tout cas.
Il faut envoyer des formulaires (un formulaire par VEE), ainsi qu'une preuve de passation du cours avec la note. C'est pour ça (entre autres) qu'hier j'étais allé à l'UQAM: pour aller chercher un relevé de notes officiel (10$!! 10$ pour faire imprimer une feuille, c'est complètement ridicule maudit capitalisse sale).
Aujourd'hui, j'ai imprimé les formulaires, je les ai remplis, et j'ai tout mis dans une enveloppe, sur laquelle j'ai écrit adresse de destination + adresse de retour. C'est donc prêt à être posté, il me suffit d'acheter des timbres et de déposer l'enveloppe dans une boîte rouge sang.
Ça coûte 100 US$ se faire créditer ses VEE. Tout le monde est capitalisse de nos jours.
Les prévisions à venir pour la crise financière, selon ce que j'ai lu dans La Presse aujourd'hui, ce n'est pas merveilleux. En fait, le chômage va continuer à augmenter apparemment, et il faudrait plusieurs années (genre 2) avant que le taux de chômage revienne à sa moyenne de 2008.
Avec tout ça, j'ai postulé pour un emploi dont l'offre nous a été transférée dans notre boîte de courriel de l'UQAM. Les "candidats retenus" sont supposés être contactés cette semaine pour passer une entrevue la semaine prochaine. On est mercredi soir (c'est donc dire que 60% de la semaine sont passés), et je n'ai pas eu de nouvelles. On parle d'une entrevue hein, c'est-à-dire rien qui soit près de l'embauche.
Je suis allé sur Workopolis aujourd'hui aussi, me disant que j'allais checker les jobs en actuariat. C'est merveilleux parce qu'il n'y avait aucune offre. En fait, il y en avait 3: les trois en assurances générales (donc inappropriées), mais en plus c'était pour des postes genre "directeur"... qu'est-ce que vous voulez que je fasse de ça. J'ai donc abandonné mon idée de Workopolis assez rapidement.
J'ai encore espoir que ça débloque rendu vers l'automne, lorsque les stagiaires retourneront à l'école et que les entreprises évalueront leurs besoins en termes de capital humain. Mais entre-temps, toute cette incertitude-là commence à peser relativement lourd dans la balance, et ça commence à m'accabler un peu. Si j'avais plus de qualifications en informatique, je pense que je m'essaierais vers ce domaine-là, quitte à réévaluer la situation dans une année ou deux.
Parce que vous savez, je ne pense pas être vraiment high-maintenance comme diraient les ceuzes qui parlent anglais. Je ne crois pas que je serais TRÈS regardant sur le salaire (pour le moment), d'autant plus que je n'ai réellement aucune autre personne à faire vivre que moi (pas de copinette, pas d'enfants [déclarés], etc.). Et comme je mange chaque chose à chaque repas, que je ne vais jamais en Europe, que mes loisirs sont très peu dispendieux et que je ne consomme pas d'héroïne, je n'ai pas besoin beaucoup d'argent. Surtout que je suis heureux pour quatre mois juste à m'acheter un DVD à 5$ au Wal-Mart.
Mais merde... j'ai juste hâte de travailler. Avoir une vraie vie.
Les VEE (Validation by Educational Experience) sont des sortes de "crédits" qu'il faut obtenir auprès de la SOA pour obtenir les titres de la SOA, et qui sont parallèles mais indépendants des examens & modules. La plupart des universités permettent d'obtenir les crédits simplement en passant certains cours [du bac en actuariat], moyennant certaines conditions (notamment une note de passage supérieure ou égale à B-). Il y a trois VEE à obtenir: economics (microéconomie I et macroéconomie I), corporate finance (mathématiques financières II et III) et applied statistical models (modèles de prévision). On doit passer ça parce que ça couvre des trucs qui ne sont pas testés dans les examens. En tout cas.
Il faut envoyer des formulaires (un formulaire par VEE), ainsi qu'une preuve de passation du cours avec la note. C'est pour ça (entre autres) qu'hier j'étais allé à l'UQAM: pour aller chercher un relevé de notes officiel (10$!! 10$ pour faire imprimer une feuille, c'est complètement ridicule maudit capitalisse sale).
Aujourd'hui, j'ai imprimé les formulaires, je les ai remplis, et j'ai tout mis dans une enveloppe, sur laquelle j'ai écrit adresse de destination + adresse de retour. C'est donc prêt à être posté, il me suffit d'acheter des timbres et de déposer l'enveloppe dans une boîte rouge sang.
Ça coûte 100 US$ se faire créditer ses VEE. Tout le monde est capitalisse de nos jours.
Les prévisions à venir pour la crise financière, selon ce que j'ai lu dans La Presse aujourd'hui, ce n'est pas merveilleux. En fait, le chômage va continuer à augmenter apparemment, et il faudrait plusieurs années (genre 2) avant que le taux de chômage revienne à sa moyenne de 2008.
Avec tout ça, j'ai postulé pour un emploi dont l'offre nous a été transférée dans notre boîte de courriel de l'UQAM. Les "candidats retenus" sont supposés être contactés cette semaine pour passer une entrevue la semaine prochaine. On est mercredi soir (c'est donc dire que 60% de la semaine sont passés), et je n'ai pas eu de nouvelles. On parle d'une entrevue hein, c'est-à-dire rien qui soit près de l'embauche.
Je suis allé sur Workopolis aujourd'hui aussi, me disant que j'allais checker les jobs en actuariat. C'est merveilleux parce qu'il n'y avait aucune offre. En fait, il y en avait 3: les trois en assurances générales (donc inappropriées), mais en plus c'était pour des postes genre "directeur"... qu'est-ce que vous voulez que je fasse de ça. J'ai donc abandonné mon idée de Workopolis assez rapidement.
J'ai encore espoir que ça débloque rendu vers l'automne, lorsque les stagiaires retourneront à l'école et que les entreprises évalueront leurs besoins en termes de capital humain. Mais entre-temps, toute cette incertitude-là commence à peser relativement lourd dans la balance, et ça commence à m'accabler un peu. Si j'avais plus de qualifications en informatique, je pense que je m'essaierais vers ce domaine-là, quitte à réévaluer la situation dans une année ou deux.
Parce que vous savez, je ne pense pas être vraiment high-maintenance comme diraient les ceuzes qui parlent anglais. Je ne crois pas que je serais TRÈS regardant sur le salaire (pour le moment), d'autant plus que je n'ai réellement aucune autre personne à faire vivre que moi (pas de copinette, pas d'enfants [déclarés], etc.). Et comme je mange chaque chose à chaque repas, que je ne vais jamais en Europe, que mes loisirs sont très peu dispendieux et que je ne consomme pas d'héroïne, je n'ai pas besoin beaucoup d'argent. Surtout que je suis heureux pour quatre mois juste à m'acheter un DVD à 5$ au Wal-Mart.
Mais merde... j'ai juste hâte de travailler. Avoir une vraie vie.
mardi 7 juillet 2009
Caméra numérique
Depuis le nombre d'années où je voulais une caméra numérique... C'EST FAIT!! (Depuis ce matin même).
Voyez-vous, étant la personne qui je suis, sans secret et entièrement ouverte au monde, mon père et sa conjointe savaient que je voulais une caméra numérique depuis des lunes. Comme j'ai terminé l'université récemment, ils ont décidé (je ne sais pas qui) de m'acheter une caméra numérique de mon choix (ou bien une montre... mais j'ai pris la caméra numérique, sans surprise).
Donc voilà, après avoir passé la journée à l'UQÀM (longue histoire... et qui s'est étirée), j'ai passé la soirée à lire les instructions et à tester un peu, notamment (et surtout) en m'amusant avec Cannelle. Le problème, c'est qu'elle n'a pas l'air d'aimer l'objectif de la caméra (qui sort et qui a l'air d'une arme blanche). Ou peut-être n'aime-t-elle simplement pas que je me mette quelque chose dans la face pour la regarder. Mais en tout cas, ce que ça fait, c'est qu'elle ne regarde jamais l'objectif. Aussi, c'est assez difficile la prendre en photo, parce que la caméra ne reconnaît pas de visages et qu'elle est cachée en dessous de mon bureau. M'enfin.
La caméra va *vraiment* bien. Il y a plein d'options et de "modes", genre gros plan, portraits, etc. Il y a un bon zoom (jusqu'à 5x), et il est facile à utiliser ("je tourne un peu un bouton et je le tiens tourné"). On peut aussi "faire le point", qui se trouve principalement à "chercher un visage" dans l'écran, et ensuite l'éclairage et tout ça se place en fonction de l'endroit où est le visage (d'où mes problèmes avec Cannelle, qui n'a pas une vraie face).
En termes d'espace, ça vient avec une carte mémoire interne de genre 24 Mo, ce qui est apparemment risible (je viens de voir, et j'ai des photos qui prennent plus de 3 Mo à elles seules). Heureusement, j'ai reçu "en prime" (... en cadeau avec la caméra...) une carte de stockage de 16 Go -- assez pour faire manger l'Afrique au grand complet, me direz-vous.
Pour ce qui est des piles... il n'y en n'a pas! Ça vient avec une batterie rechargeable à l'aide d'un chargeur (qui est compris avec la caméra). Ça prend 100 minutes (selon les instructions) pour charger entièrement la batterie. Il y a peu d'information concernant la durée de vie d'un chargement par contre, mais pour le moment, tout semble satisfaisant ("elle pourrait couvrir un évènement en entier").
J'en ai aussi profité pour tester la capacité de tourner des vidéos. Je n'ai gossé sur absolument rien (qualité, éclairage, son, etc. -- en fait, je ne sais pas si on peut changer tout ça). Le vidéo en soi n'a absolument rien d'intéressant, à moins que vous aimiez vraiment [trop] les naminaux comme le petit monstre. Par contre, pour le bien de l'humanité, j'ai publié le vidéo sur Youtube. Avant de procéder, par contre, j'ai dû utiliser Windows Movie Maker (je suis un vendu de Windows) pour modifier un peu le vidéo sorti tout droit de la caméra, qui prenait tout près de 100 Mo à lui seul (pour deux minutes!!). Avec WMM, j'ai diminué ça à un peu plus de 10 Mo.
Voilà le chef-d'oeuvre... RISEZ PAS DE MOI.
Voyez-vous, étant la personne qui je suis, sans secret et entièrement ouverte au monde, mon père et sa conjointe savaient que je voulais une caméra numérique depuis des lunes. Comme j'ai terminé l'université récemment, ils ont décidé (je ne sais pas qui) de m'acheter une caméra numérique de mon choix (ou bien une montre... mais j'ai pris la caméra numérique, sans surprise).
Donc voilà, après avoir passé la journée à l'UQÀM (longue histoire... et qui s'est étirée), j'ai passé la soirée à lire les instructions et à tester un peu, notamment (et surtout) en m'amusant avec Cannelle. Le problème, c'est qu'elle n'a pas l'air d'aimer l'objectif de la caméra (qui sort et qui a l'air d'une arme blanche). Ou peut-être n'aime-t-elle simplement pas que je me mette quelque chose dans la face pour la regarder. Mais en tout cas, ce que ça fait, c'est qu'elle ne regarde jamais l'objectif. Aussi, c'est assez difficile la prendre en photo, parce que la caméra ne reconnaît pas de visages et qu'elle est cachée en dessous de mon bureau. M'enfin.
La caméra va *vraiment* bien. Il y a plein d'options et de "modes", genre gros plan, portraits, etc. Il y a un bon zoom (jusqu'à 5x), et il est facile à utiliser ("je tourne un peu un bouton et je le tiens tourné"). On peut aussi "faire le point", qui se trouve principalement à "chercher un visage" dans l'écran, et ensuite l'éclairage et tout ça se place en fonction de l'endroit où est le visage (d'où mes problèmes avec Cannelle, qui n'a pas une vraie face).
En termes d'espace, ça vient avec une carte mémoire interne de genre 24 Mo, ce qui est apparemment risible (je viens de voir, et j'ai des photos qui prennent plus de 3 Mo à elles seules). Heureusement, j'ai reçu "en prime" (... en cadeau avec la caméra...) une carte de stockage de 16 Go -- assez pour faire manger l'Afrique au grand complet, me direz-vous.
Pour ce qui est des piles... il n'y en n'a pas! Ça vient avec une batterie rechargeable à l'aide d'un chargeur (qui est compris avec la caméra). Ça prend 100 minutes (selon les instructions) pour charger entièrement la batterie. Il y a peu d'information concernant la durée de vie d'un chargement par contre, mais pour le moment, tout semble satisfaisant ("elle pourrait couvrir un évènement en entier").
J'en ai aussi profité pour tester la capacité de tourner des vidéos. Je n'ai gossé sur absolument rien (qualité, éclairage, son, etc. -- en fait, je ne sais pas si on peut changer tout ça). Le vidéo en soi n'a absolument rien d'intéressant, à moins que vous aimiez vraiment [trop] les naminaux comme le petit monstre. Par contre, pour le bien de l'humanité, j'ai publié le vidéo sur Youtube. Avant de procéder, par contre, j'ai dû utiliser Windows Movie Maker (je suis un vendu de Windows) pour modifier un peu le vidéo sorti tout droit de la caméra, qui prenait tout près de 100 Mo à lui seul (pour deux minutes!!). Avec WMM, j'ai diminué ça à un peu plus de 10 Mo.
Voilà le chef-d'oeuvre... RISEZ PAS DE MOI.
lundi 6 juillet 2009
Tournois d'échecs
Bon, un petit mot à propos du fait que j'aimerais éventuellement jouer dans des tournois (je pense).
Ça fait longtemps que j'y pense. Quand j'étais plus jeune (si je me rappelle bien, c'était en quatrième secondaire encore, entre quatrième et cinquième secondaire en fait), j'avais participé à deux tournois. Je n'avais pas adoré pour tout plein de raisons. Entre autres, j'étais très mal à l'aise parce que j'étais encore un chiot et que c'était tous de vieux messieurs qui se connaissaient tous. Bon, de nos jours, ils seraient encore vieux et se connaîtraient encore tous, mais je crois que j'aurais moins l'impression d'être nowhere (n'étant plus un enfant ni rien).
Une autre raison: c'est très coûteux en temps. En fait, ça prend une fin de semaine au complet (pour cinq rondes). La manière que ça fonctionne, c'est que le vendredi soir il y a une ronde (typiquement à 19h), et le samedi et le dimanche il y a deux rondes: l'une le matin (~10h), l'autre en après-midi (~15h). Je vous rappelle que les parties peuvent durer très longtemps (en général, chaque côté reçoit entre 1h30 et 2h00 environ, allant avec la longueur de la partie et de la cadence). Cela signifie surtout que toute la fin de semaine vient d'y passer (calculez ça comme vous voulez, les journées sont courtes et le temps mal réparti).
Et une autre raison (et non la moindre): ça coûte cher (eh! oui). Il faudrait que je m'attende à débourser dans les environs de 50$ à 60$ par tournoi (pour les tournois de cinq rondes, tel que décrit plus haut). Quand on a de la misère à manger autre chose que des sandwichs et que les pommes sont un luxe, on y pense à deux fois avant de se lancer là-dedans.
Mais là, si les choses se passent comme je l'espère, l'argent devrait commencer à moins me manquer (si je suis capable de me pogner une maudite job, chose beaucoup plus facile à espérer qu'à commander). Il faudrait que je voie en termes de temps disponible, en temps et lieu, si j'en ai assez (je pense notamment à la job ainsi qu'aux modules/examens de la SOA). Il faudrait aussi que je voie (en expérimentant) si c'est trop coûteux en temps (parce qu'on a seulement une fin de semaine par semaine les amis... ça me donne rien de faire ça si j'essaie de "récupérer" -- je suis une fille -- pour tout le restant de la semaine d'après).
Je parle de ça parce que j'étudiais la possibilité de participer au Championnat ouvert de Montréal 2009. Chose achalante par contre: un tournoi (ou plus typiquement une section) ouvert(e) signifie que l'on n'est pas pairés en utilisant les cotes ("le niveau"). En clair, je me ramasserais peut-être à jouer contre des GM cotés 2400, et ça, entre vous et moi, ça n'apporte aucun plaisir ni gratification, surtout que les GM qu'on a ici sont tous des inconnus (sauf Alexandre Lesiège ou Kevin Spraggett, mais bon).
Q: "Mais Philippe, Queen Alice ne te satisfait plus"?
A: Bah, vous savez... c'est différent. La contrainte de temps dans les tournois habituels fait que t'hésites moins à jouer des coups, et que l'obsession de jouer parfaitement prend le bord. Il y a une sorte de dynamique différente, où les choses sont moins exactes, moins parfaites, et plus intenses. Bref, les deux sont différents, et l'un ne peut (ne devrait pas) remplacer l'autre.
Ça fait longtemps que j'y pense. Quand j'étais plus jeune (si je me rappelle bien, c'était en quatrième secondaire encore, entre quatrième et cinquième secondaire en fait), j'avais participé à deux tournois. Je n'avais pas adoré pour tout plein de raisons. Entre autres, j'étais très mal à l'aise parce que j'étais encore un chiot et que c'était tous de vieux messieurs qui se connaissaient tous. Bon, de nos jours, ils seraient encore vieux et se connaîtraient encore tous, mais je crois que j'aurais moins l'impression d'être nowhere (n'étant plus un enfant ni rien).
Une autre raison: c'est très coûteux en temps. En fait, ça prend une fin de semaine au complet (pour cinq rondes). La manière que ça fonctionne, c'est que le vendredi soir il y a une ronde (typiquement à 19h), et le samedi et le dimanche il y a deux rondes: l'une le matin (~10h), l'autre en après-midi (~15h). Je vous rappelle que les parties peuvent durer très longtemps (en général, chaque côté reçoit entre 1h30 et 2h00 environ, allant avec la longueur de la partie et de la cadence). Cela signifie surtout que toute la fin de semaine vient d'y passer (calculez ça comme vous voulez, les journées sont courtes et le temps mal réparti).
Et une autre raison (et non la moindre): ça coûte cher (eh! oui). Il faudrait que je m'attende à débourser dans les environs de 50$ à 60$ par tournoi (pour les tournois de cinq rondes, tel que décrit plus haut). Quand on a de la misère à manger autre chose que des sandwichs et que les pommes sont un luxe, on y pense à deux fois avant de se lancer là-dedans.
Mais là, si les choses se passent comme je l'espère, l'argent devrait commencer à moins me manquer (si je suis capable de me pogner une maudite job, chose beaucoup plus facile à espérer qu'à commander). Il faudrait que je voie en termes de temps disponible, en temps et lieu, si j'en ai assez (je pense notamment à la job ainsi qu'aux modules/examens de la SOA). Il faudrait aussi que je voie (en expérimentant) si c'est trop coûteux en temps (parce qu'on a seulement une fin de semaine par semaine les amis... ça me donne rien de faire ça si j'essaie de "récupérer" -- je suis une fille -- pour tout le restant de la semaine d'après).
Je parle de ça parce que j'étudiais la possibilité de participer au Championnat ouvert de Montréal 2009. Chose achalante par contre: un tournoi (ou plus typiquement une section) ouvert(e) signifie que l'on n'est pas pairés en utilisant les cotes ("le niveau"). En clair, je me ramasserais peut-être à jouer contre des GM cotés 2400, et ça, entre vous et moi, ça n'apporte aucun plaisir ni gratification, surtout que les GM qu'on a ici sont tous des inconnus (sauf Alexandre Lesiège ou Kevin Spraggett, mais bon).
Q: "Mais Philippe, Queen Alice ne te satisfait plus"?
A: Bah, vous savez... c'est différent. La contrainte de temps dans les tournois habituels fait que t'hésites moins à jouer des coups, et que l'obsession de jouer parfaitement prend le bord. Il y a une sorte de dynamique différente, où les choses sont moins exactes, moins parfaites, et plus intenses. Bref, les deux sont différents, et l'un ne peut (ne devrait pas) remplacer l'autre.
dimanche 5 juillet 2009
83 jours!!
Tantôt, j'ai gossé un peu sur le serveur. Comme j'ai formaté mon ordinateur récemment, j'ai dû retrouver les deux programmes principaux dont je me sers pour "accéder" au serveur (PuTTY et FileZilla).
J'ai fait un petit uptime check. Résultat: 83 jours et des poussières! Dans une semaine, ç'aurait fait (à peu près) 3 mois! (Uptime = quantité de temps écoulé depuis le dernier [re]démarrage). J'ai fait une mise à jour (notamment de Apache (serveur web) et du kernel), et j'ai redémarré. J'ai eu quelques problèmes. Entre autres, Apache est mal reparti (ce qui faisait que les sites et tout ça étaient inaccessibles). Une fois Apache reparti, les bases de données MySQL étaient inaccessibles. J'ai donc dû redémarrer MySQL aussi. Je ne pense pas que ce soit normal que j'aie à faire tout ça, mais vous savez, si je m'aligne pour le faire 4 fois par année, je pense que je vais survivre.
J'ai gossé là-dessus parce que je voulais installer la version la plus récente de TikiWiki. Voyez-vous, je me suis aperçu récemment que XOOPS (ce sur quoi FrontDesk est basé) ne permet pas d'ajouter du contenu si facilement que ça. J'avais déjà installé et regardé un peu une version antérieure de TikiWiki, mais sans plus (essentiellement parce qu'il y avait trop d'options et trop de documentation, ironiquement). Cet après-midi, à temps perdu entre deux temps morts, j'ai décidé de le réinstaller et de m'initier un peu à ça.
Mon initiation a quand même été courte, mais je vais continuer à gosser un peu dessus, et éventuellement je crois que je vais simplement transférer le site actuel vers TikiWiki (de XOOPS à TikiWiki, bref).
Avec tout ça, et avec ChessWiki, Owl, le forum et tout le reste, j'ai fini par me dire que j'étais content d'avoir le serveur à ma disponibilité. Évidemment, deux des raisons qui font que ça m'apparaît si attrayant est que je n'ai pas le souci d'héberger le serveur (sous-sol de mon père) et je n'ai pas le souci de payer pour l'électricité & le reste (portefeuille de mon père). Mais au-delà de ça, je ne pense pas que je mettrais tout ce que j'ai mis sur Owl (entre autres, tous mes documents en lien avec le Interim Assessment) avec autant de quiétude que présentement. De plus, je peux décider moi-même de changements concernant toutes sortes de détails (entre autres en lien avec Apache et PHP) que je ne pourrais pas effectuer si je faisais affaire avec une entreprise quelconque (à titre d'exemple, j'ai changé un réglage server-wide tantôt (mémoire allouée à l'exécution de scripts PHP sur Apache), chose que je ne pourrais faire nulle part ailleurs).
En tout cas, je vais sûrement vous tenir au courant à propos de TikiWiki.
J'ai fait un petit uptime check. Résultat: 83 jours et des poussières! Dans une semaine, ç'aurait fait (à peu près) 3 mois! (Uptime = quantité de temps écoulé depuis le dernier [re]démarrage). J'ai fait une mise à jour (notamment de Apache (serveur web) et du kernel), et j'ai redémarré. J'ai eu quelques problèmes. Entre autres, Apache est mal reparti (ce qui faisait que les sites et tout ça étaient inaccessibles). Une fois Apache reparti, les bases de données MySQL étaient inaccessibles. J'ai donc dû redémarrer MySQL aussi. Je ne pense pas que ce soit normal que j'aie à faire tout ça, mais vous savez, si je m'aligne pour le faire 4 fois par année, je pense que je vais survivre.
J'ai gossé là-dessus parce que je voulais installer la version la plus récente de TikiWiki. Voyez-vous, je me suis aperçu récemment que XOOPS (ce sur quoi FrontDesk est basé) ne permet pas d'ajouter du contenu si facilement que ça. J'avais déjà installé et regardé un peu une version antérieure de TikiWiki, mais sans plus (essentiellement parce qu'il y avait trop d'options et trop de documentation, ironiquement). Cet après-midi, à temps perdu entre deux temps morts, j'ai décidé de le réinstaller et de m'initier un peu à ça.
Mon initiation a quand même été courte, mais je vais continuer à gosser un peu dessus, et éventuellement je crois que je vais simplement transférer le site actuel vers TikiWiki (de XOOPS à TikiWiki, bref).
Avec tout ça, et avec ChessWiki, Owl, le forum et tout le reste, j'ai fini par me dire que j'étais content d'avoir le serveur à ma disponibilité. Évidemment, deux des raisons qui font que ça m'apparaît si attrayant est que je n'ai pas le souci d'héberger le serveur (sous-sol de mon père) et je n'ai pas le souci de payer pour l'électricité & le reste (portefeuille de mon père). Mais au-delà de ça, je ne pense pas que je mettrais tout ce que j'ai mis sur Owl (entre autres, tous mes documents en lien avec le Interim Assessment) avec autant de quiétude que présentement. De plus, je peux décider moi-même de changements concernant toutes sortes de détails (entre autres en lien avec Apache et PHP) que je ne pourrais pas effectuer si je faisais affaire avec une entreprise quelconque (à titre d'exemple, j'ai changé un réglage server-wide tantôt (mémoire allouée à l'exécution de scripts PHP sur Apache), chose que je ne pourrais faire nulle part ailleurs).
En tout cas, je vais sûrement vous tenir au courant à propos de TikiWiki.
samedi 4 juillet 2009
Retour dans ma chambre & vrac
Bon, vers les 19h30, je suis revenu dans ma chambre. En me levant ce matin, j'ai vu 5 autres bébés araignées, et c'est tout. Je n'en ai pas revu de la journée, ni ce soir. Ça fait du bien de revenir parce que je peux avoir Cannelle sur moi, je peux fermer ma porte, j'ai l'air climatisé, je suis dans mon fauteuil extra confortable, et d'autres détails de même qu'on finit par prendre pour acquis quand on les a continuellement.
Je me suis coupé les cheveux tantôt. Ça faisait un bon bout, et comme j'ai (encore) espoir d'avoir une entrevue bientôt, je me suis dit que c'était le bon moment pour faire ça.
Le livre de Java que j'ai emprunté à la bibliothèque venait avec un CD comprenant, entre autres, tous les codes source des exemples étudiés dans le livre, tous séparés par chapitre. J'en ai donc profité pour tous les mettre sur mon ordinateur, et je suis allé sur Internet chercher la table des matières (pour avoir la correspondance "numéro de chapitre <-> nom du chapitre").
Cannelle a vomi sur le divan tantôt. C'était vraiiiiiment dégueulasse. Bon, premièrement j'ai jamais vu une marre de vomi de même. En fait, tout baignait dans un liquide visqueux gris-brun dégueulasse. Deuxièmement, j'ai jamais senti du vomi aussi odorant que ça. Dès qu'on s'approchait un tout petit peu du divan ça sentait juste ça, et mon dieu que ça puait (je retenais ma respiration pendant que je nettoyais, tandis que habituellement je n'ai aucun problème de cet ordre-là).
J'ai joué un peu à Chessmaster tantôt. C'était la première fois que je jouais depuis que j'ai formaté mon ordinateur. À cause de ça, ma cote est incroyablement basse (1200 initialement), ce qui signifie que je joue contre des adversaires vraiment faibles [pour moi]. À titre d'exemple, la deuxième game que j'ai jouée, j'avais trois pièces et une tour de plus (plus des pions) que mon adversaire. En tout cas...
Il y avait trois épisodes de suite à la télé de Family Guy. Chose dramatique: j'ai vu (sur mon ordinateur) ces trois épisodes-là très récemment (à l'intérieur de la dernière semaine). Que de gaspillage de bonne télévision.
Bon ben, c'est tout je crois.
Je me suis coupé les cheveux tantôt. Ça faisait un bon bout, et comme j'ai (encore) espoir d'avoir une entrevue bientôt, je me suis dit que c'était le bon moment pour faire ça.
Le livre de Java que j'ai emprunté à la bibliothèque venait avec un CD comprenant, entre autres, tous les codes source des exemples étudiés dans le livre, tous séparés par chapitre. J'en ai donc profité pour tous les mettre sur mon ordinateur, et je suis allé sur Internet chercher la table des matières (pour avoir la correspondance "numéro de chapitre <-> nom du chapitre").
Cannelle a vomi sur le divan tantôt. C'était vraiiiiiment dégueulasse. Bon, premièrement j'ai jamais vu une marre de vomi de même. En fait, tout baignait dans un liquide visqueux gris-brun dégueulasse. Deuxièmement, j'ai jamais senti du vomi aussi odorant que ça. Dès qu'on s'approchait un tout petit peu du divan ça sentait juste ça, et mon dieu que ça puait (je retenais ma respiration pendant que je nettoyais, tandis que habituellement je n'ai aucun problème de cet ordre-là).
J'ai joué un peu à Chessmaster tantôt. C'était la première fois que je jouais depuis que j'ai formaté mon ordinateur. À cause de ça, ma cote est incroyablement basse (1200 initialement), ce qui signifie que je joue contre des adversaires vraiment faibles [pour moi]. À titre d'exemple, la deuxième game que j'ai jouée, j'avais trois pièces et une tour de plus (plus des pions) que mon adversaire. En tout cas...
Il y avait trois épisodes de suite à la télé de Family Guy. Chose dramatique: j'ai vu (sur mon ordinateur) ces trois épisodes-là très récemment (à l'intérieur de la dernière semaine). Que de gaspillage de bonne télévision.
Bon ben, c'est tout je crois.
L'invasion des araignées
Okay, je viens de passer une heure absolument merveilleuse (~23h40 à ~00h50 mettons).
Patrick et moi avons regardé un film, Secret Window, que j'avais mentionné récemment. Ça s'est justement terminé vers les 23h40, qui coïncide avec raison avec le début de l'histoire.
Jusque-là, on croyait que tout était encore normal, et nous sommes donc allés dans notre chambre (respective). Je me suis assis à mon ordinateur, j'ai sauvegardé un fichier sur mon bureau, je l'ai ouvert, et là je me suis aperçu qu'il y avait un mini-bébé tout trognon araignée près de mon clavier. J'en ai profité pour checker s'il y avait une autre araignée pas loin, et j'en ai vu une (une grosse cette fois) sur mon mur. Alors je suis allé chercher des essuie-touts. Entre-temps, Patrick est venu dans ma chambre.
JUSQUE-LÀ, rien de fantastique. Quand je suis revenu, on s'est aperçu qu'il y avait non pas une grosse araignée mais DEUX sur mon mur. Que c'était mignon. Elles étaient près de mon lit. Je me suis donc mis debout dans mon lit (mon lit est à terre... il n'y a pas de base), et ce dans le but de harceler les deux araignées.
Et c'est là que le cauchemar est devenu apparent. Quand je me suis approché pour tuer la première, je me suis aperçu qu'elle était suivie par plusieurs bébés araignées. Après meilleure inspection, on s'est aperçu qu'il y en avait plusieurs sur le mur, et pas nécessairement près de l'araignée en question.
... et après... on s'est rendu compte qu'il y en avait sur tous les murs, ainsi qu'au plafond. Des mini-bébés araignées, tellement petites qu'on aurait dit de minuscules taches se promenant sur les murs (lorsqu'elles bougeaient!). C'était la chose la plus horrible au monde.
Vous savez, je suis une personne normale, et comme toute personne normale, j'aime pas ça les araignées. C'est pas agréable. C'est petit, ça a 48 yeux et 90 pattes et ça pense individuellement comme des sociopathes, et collectivement comme des psychopathes. J'ai donc passé l'heure à avoir des frissons en permanence (vraiment en permanence, c'était même pu le fun à la fin). Évidemment, une conséquence de ça (et du fait que la situation me stressait au plus haut point), j'ai commencé à avoir extrêmement chaud et à suer comme un cochon. Une autre conséquence, que Patrick a aussi allègrement vécue, c'est que ça commence à te piquer partout parce que t'as peur d'en avoir partout sur toi. Et bien sûr, n'importe qu'elle brise déclenche en soi une poussée d'adrénaline (vraiment agréable... rien de tel que de vivre dans un état chronique de peur).
Combien en ai-je tué? Je m'étais dit que j'allais les compter, après un certain moment donné. Dès que j'ai commencé à compter, j'en ai tué 7. Comme je ne faisais que commencer et que j'étais à peine convaincu d'arriver un jour à toutes les tuer, j'ai décidé d'abandonner ce projet de merde. Au bout du compte, je crois en avoir tué facilement plus de deux centaines (sans farce, sans exagération et au mieux de mes capacités d'estimation).
Bref, il appert qu'une des deux araignées (sinon les deux) a eu une portée dans ma chambre ce soir. Ça fait plusieurs fois que je retourne voir dans ma chambre, que je scrutine habilement chacun des murs, et je n'en vois plus. Il est clair qu'il en reste; entre autres, certaines sont probablement tombées à terre. Je pense notamment à celle qui m'est apparue dans la face abruptement et que j'ai repoussée frénétiquement d'un geste de la main très homosexuel (mon geste, pas ma main). Tout ça a été suivi de nombreux râlements et d'innombrables frissons, mais ce n'était plus nouveau à ce moment-là.
C'est pour ça que je suis encore debout, et c'est pour ça que je serai encore debout dans 1 heure, et c'est pour ça que je ne dormirai pas dans ma chambre. Je vous écris directement du salon, où je me suis installé pour le reste de ma journée éveillée.
Je dors sur le divan cette nuit.
Patrick et moi avons regardé un film, Secret Window, que j'avais mentionné récemment. Ça s'est justement terminé vers les 23h40, qui coïncide avec raison avec le début de l'histoire.
Jusque-là, on croyait que tout était encore normal, et nous sommes donc allés dans notre chambre (respective). Je me suis assis à mon ordinateur, j'ai sauvegardé un fichier sur mon bureau, je l'ai ouvert, et là je me suis aperçu qu'il y avait un mini-bébé tout trognon araignée près de mon clavier. J'en ai profité pour checker s'il y avait une autre araignée pas loin, et j'en ai vu une (une grosse cette fois) sur mon mur. Alors je suis allé chercher des essuie-touts. Entre-temps, Patrick est venu dans ma chambre.
JUSQUE-LÀ, rien de fantastique. Quand je suis revenu, on s'est aperçu qu'il y avait non pas une grosse araignée mais DEUX sur mon mur. Que c'était mignon. Elles étaient près de mon lit. Je me suis donc mis debout dans mon lit (mon lit est à terre... il n'y a pas de base), et ce dans le but de harceler les deux araignées.
Et c'est là que le cauchemar est devenu apparent. Quand je me suis approché pour tuer la première, je me suis aperçu qu'elle était suivie par plusieurs bébés araignées. Après meilleure inspection, on s'est aperçu qu'il y en avait plusieurs sur le mur, et pas nécessairement près de l'araignée en question.
... et après... on s'est rendu compte qu'il y en avait sur tous les murs, ainsi qu'au plafond. Des mini-bébés araignées, tellement petites qu'on aurait dit de minuscules taches se promenant sur les murs (lorsqu'elles bougeaient!). C'était la chose la plus horrible au monde.
Vous savez, je suis une personne normale, et comme toute personne normale, j'aime pas ça les araignées. C'est pas agréable. C'est petit, ça a 48 yeux et 90 pattes et ça pense individuellement comme des sociopathes, et collectivement comme des psychopathes. J'ai donc passé l'heure à avoir des frissons en permanence (vraiment en permanence, c'était même pu le fun à la fin). Évidemment, une conséquence de ça (et du fait que la situation me stressait au plus haut point), j'ai commencé à avoir extrêmement chaud et à suer comme un cochon. Une autre conséquence, que Patrick a aussi allègrement vécue, c'est que ça commence à te piquer partout parce que t'as peur d'en avoir partout sur toi. Et bien sûr, n'importe qu'elle brise déclenche en soi une poussée d'adrénaline (vraiment agréable... rien de tel que de vivre dans un état chronique de peur).
Combien en ai-je tué? Je m'étais dit que j'allais les compter, après un certain moment donné. Dès que j'ai commencé à compter, j'en ai tué 7. Comme je ne faisais que commencer et que j'étais à peine convaincu d'arriver un jour à toutes les tuer, j'ai décidé d'abandonner ce projet de merde. Au bout du compte, je crois en avoir tué facilement plus de deux centaines (sans farce, sans exagération et au mieux de mes capacités d'estimation).
Bref, il appert qu'une des deux araignées (sinon les deux) a eu une portée dans ma chambre ce soir. Ça fait plusieurs fois que je retourne voir dans ma chambre, que je scrutine habilement chacun des murs, et je n'en vois plus. Il est clair qu'il en reste; entre autres, certaines sont probablement tombées à terre. Je pense notamment à celle qui m'est apparue dans la face abruptement et que j'ai repoussée frénétiquement d'un geste de la main très homosexuel (mon geste, pas ma main). Tout ça a été suivi de nombreux râlements et d'innombrables frissons, mais ce n'était plus nouveau à ce moment-là.
C'est pour ça que je suis encore debout, et c'est pour ça que je serai encore debout dans 1 heure, et c'est pour ça que je ne dormirai pas dans ma chambre. Je vous écris directement du salon, où je me suis installé pour le reste de ma journée éveillée.
Je dors sur le divan cette nuit.
vendredi 3 juillet 2009
Cocky winners & bloopers
Voici trois vidéos (que vous avez peut-être déjà vus) de gens qui s'apprêtent à gagner, qui célèbrent trop tôt, et qui ne gagnent pas.
Et des bloopers:
(À partir de 1:30)
Et des bloopers:
(À partir de 1:30)
jeudi 2 juillet 2009
Moore's law & Conservapedia's law
Je viens de chercher, et apparemment je ne vous ai jamais parlé de Moore's law (gang de pas chanceux). En gros, c'est une loi empirique qui dit qu'à chaque deux ans environ, le nombre de transistors qu'on peut placer à faibles coûts sur un composant électronique double ("ça double tous les deux ans").
En fait, c'est réellement observé en pratique (vraiment beaucoup). L'article sur Wikipédia montre une image -- tirez vos propres conclusions. Non seulement ça, mais ça a également d'autres applications (taille des disques durs, notamment).
Mais bon, l'article de ce soir ne porte pas là-dessus... j'avais simplement besoin d'introduire ça, parce que c'est dans cette optique que Conservapedia est arrivé avec:
Conservapedia's law
Pour comprendre d'où vient cette idée saugrenue-là, c'est que Andy (le créateur du site...) a une obsession particulière et ridicule qui est de montrer que le nombre de mots "conservateurs" double à chaque siècle.
Par exemple, l'article traitant du sujet dit ceci:
Bon, la manière d'arriver à ça, et c'est ça qui est vraiment drôle, c'est qu'il a simplement sélectionné un certain nombres de mots ayant apparu (supposément) dans les siècles, et ce en nombre pour que ça fit parfaitement une suite géométrique de premier terme 12 et de raison 2 (i.e. durant le 17ième siècle il y a eu 12 nouveaux termes "conservateurs", et ça a doublé pour chaque siècle suivant). Qu'est-ce qui fait qu'un terme est conservateur... ? Aucune idée. Dans la liste, j'ai même vu "anti-Christian". Mais quel conservatisme. Et évidemment, dans une telle situation, trouver TOUS les nouveaux termes "conservateurs" n'est pas nécessaire, il suffit simplement d'en trouver assez pour que ça fasse une suite géométrique parfaite (ouais, il me semble que si c'était vraiment empirique, il y aurait des écarts çà et là).
"Competitive" est un mot conservateur, tout comme les mots "doublethink", "disinformation" et "gateway drug". Vous voyez le genre.
Bref, ça ça concerne seulement les mots conservateurs.
De là, de cette hypothèse fantastique, Andy a créé le Conservapedia's law. En se basant sur ce qui a été dit plus haut, il a donc conclu que la société devenait de plus en plus conservatrice, au point où un jour elle serait entièrement conservatrice.
Mais la partie la plus intéressante, ce sont les implications de la Conservapedia's law. Je pense que, pour le bien de la communauté, je vais copier/coller entièrement toute cette section-là (qui est le core de l'article), parce que c'est simplement ridicule et tellement priceless:
Écoutez... je veux dire... je n'arrive simplement plus à comprendre. Ça, cette chose-là, c'est vraiment au-delà de tout ce que j'aurais imaginé. Sérieusement. Et vous savez quoi? Je pense honnêtement qu'il est sérieux et qu'il croit ce qu'il dit. Ça peut paraître impossible, mais je le lis tellement souvent que je n'ai pas tellement de difficulté à y croire.
... maudit que j'aime ça ce site-là.
En fait, c'est réellement observé en pratique (vraiment beaucoup). L'article sur Wikipédia montre une image -- tirez vos propres conclusions. Non seulement ça, mais ça a également d'autres applications (taille des disques durs, notamment).
Mais bon, l'article de ce soir ne porte pas là-dessus... j'avais simplement besoin d'introduire ça, parce que c'est dans cette optique que Conservapedia est arrivé avec:
Conservapedia's law
Conservapedia's Law is the observation that conservative insights increase over time at a geometric rate, as in 1-2-4-8-16-etc.
Pour comprendre d'où vient cette idée saugrenue-là, c'est que Andy (le créateur du site...) a une obsession particulière et ridicule qui est de montrer que le nombre de mots "conservateurs" double à chaque siècle.
Par exemple, l'article traitant du sujet dit ceci:
The inevitable triumph of conservatism over liberalism is apparent from comparing the rates of generation of new terms of each type, and the quality of the terms so generated. Conservative terms are being generated at a faster rate, and with much higher quality, than liberal terms are.
Powerful, insightful new conservative terms have grown at a geometric rate, roughly doubling every century. For every insightful new conservative term originating in the 1600s, there are two new terms originating in the 1700s, four new terms in the 1800s, and eight new terms in the 1900s, for a pattern of "1-2-4-8". Implications of a geometric increase for new conservative terms include a more conservative future and a correlation between conservatism and truth.
Bon, la manière d'arriver à ça, et c'est ça qui est vraiment drôle, c'est qu'il a simplement sélectionné un certain nombres de mots ayant apparu (supposément) dans les siècles, et ce en nombre pour que ça fit parfaitement une suite géométrique de premier terme 12 et de raison 2 (i.e. durant le 17ième siècle il y a eu 12 nouveaux termes "conservateurs", et ça a doublé pour chaque siècle suivant). Qu'est-ce qui fait qu'un terme est conservateur... ? Aucune idée. Dans la liste, j'ai même vu "anti-Christian". Mais quel conservatisme. Et évidemment, dans une telle situation, trouver TOUS les nouveaux termes "conservateurs" n'est pas nécessaire, il suffit simplement d'en trouver assez pour que ça fasse une suite géométrique parfaite (ouais, il me semble que si c'était vraiment empirique, il y aurait des écarts çà et là).
"Competitive" est un mot conservateur, tout comme les mots "doublethink", "disinformation" et "gateway drug". Vous voyez le genre.
Bref, ça ça concerne seulement les mots conservateurs.
De là, de cette hypothèse fantastique, Andy a créé le Conservapedia's law. En se basant sur ce qui a été dit plus haut, il a donc conclu que la société devenait de plus en plus conservatrice, au point où un jour elle serait entièrement conservatrice.
Mais la partie la plus intéressante, ce sont les implications de la Conservapedia's law. Je pense que, pour le bien de la communauté, je vais copier/coller entièrement toute cette section-là (qui est le core de l'article), parce que c'est simplement ridicule et tellement priceless:
- Over the long term, politics and culture cannot withstand the more powerful forces of logic and language. Conservapedia's Law ensures that a free society will, over time, inevitably become more conservative regardless of the best efforts of liberals. Of course liberal deceit can cause much suffering during that process.
- Wikipedia, in order to survive, will inevitably feel compelled to adopt principles similar to Conservapedia's. The liberal practices and rules underlying Wikipedia will either be abandoned or lead it to inevitable ruin.
- Historically conservatives have tended to rely on control and tradition, as in emphasizing what has proven to work in the past. But if conservative insights increase geometrically over time, then a better approach may be to welcome and promote new wisdom in addition to established understandings.
- How quickly is truth discovered in a free society? Conservapedia's Law suggests that truth is discovered at a geometric rate, much faster than an arithmetic rate.
- The rapid growth in conservative insights suggests that only a fraction of the truth is yet known, as stated by Isaac Newton but denied by liberals today. Indeed, the rapid growth in conservative insights explains why liberals attempt to discourage an open-minded search for the truth: those discoveries are more likely to be conservative than liberal in nature.
Écoutez... je veux dire... je n'arrive simplement plus à comprendre. Ça, cette chose-là, c'est vraiment au-delà de tout ce que j'aurais imaginé. Sérieusement. Et vous savez quoi? Je pense honnêtement qu'il est sérieux et qu'il croit ce qu'il dit. Ça peut paraître impossible, mais je le lis tellement souvent que je n'ai pas tellement de difficulté à y croire.
... maudit que j'aime ça ce site-là.
Statistiques de juin 2009
Yikes! J'ai oublié de publier les statistiques de juin hier! (Je m'en suis aperçu vers 22h30 hier, alors j'ai décidé de laisser faire et remettre ça à ce matin).
Bon, les statistiques ne sont pas belles du tout lorsque comparées au mois passé (moment où le site avait été incomparablement achalandé), mais qui montrent une légère amélioration (!) lorsque comparées au mois d'avril (mais quand je dis "légère", c'est bel et bien légère).
Voici donc:
Par contre, si on compare avec le mois d'avril, les variations sont de -4,6%, +0,004%, +0,004% et +6,8% respectivement. En clair, comme j'avais déjà supposé que le mois passé avait été irrégulier, je suis satisfait des statistiques de ce mois-ci (je m'attendais à bien pire que ça en fait).
En ce qui a trait aux pages les plus populaires, les voici:
Ces données confirment ce que je pensais, à savoir que le mois passé il y avait un nombre inhabituel de visiteurs étant tombés sur Dusty the cat, et que ce mois-ci il y avait peu de visites sur des articles particuliers (ces gens-là arrivent là-dessus depuis Google & autres sites comme ça). Et comme les données du mois de juin sont quand même semblables à celles d'avril, j'ai quasiment espoir d'avoir fidélisé des visiteurs (mais j'aime rêver). :)
Bon, les statistiques ne sont pas belles du tout lorsque comparées au mois passé (moment où le site avait été incomparablement achalandé), mais qui montrent une légère amélioration (!) lorsque comparées au mois d'avril (mais quand je dis "légère", c'est bel et bien légère).
Voici donc:
- Nombre de visites: 1 509 (-27,45%)
- Nombre de visiteurs uniques: 822 (-26,80%)
- Nombre moyen de visiteurs: 27,40 (-24,36%)
- Nombre absolu de visiteurs uniques: 535 (-30,25%)
Par contre, si on compare avec le mois d'avril, les variations sont de -4,6%, +0,004%, +0,004% et +6,8% respectivement. En clair, comme j'avais déjà supposé que le mois passé avait été irrégulier, je suis satisfait des statistiques de ce mois-ci (je m'attendais à bien pire que ça en fait).
En ce qui a trait aux pages les plus populaires, les voici:
- Dusty the cat (124)
- Psychologie: les types de personnalité (43)
- Livre de recettes & sperme (22)
- Chaîne de lettres! (12)
- PokerTH (11)
Ces données confirment ce que je pensais, à savoir que le mois passé il y avait un nombre inhabituel de visiteurs étant tombés sur Dusty the cat, et que ce mois-ci il y avait peu de visites sur des articles particuliers (ces gens-là arrivent là-dessus depuis Google & autres sites comme ça). Et comme les données du mois de juin sont quand même semblables à celles d'avril, j'ai quasiment espoir d'avoir fidélisé des visiteurs (mais j'aime rêver). :)
mercredi 1 juillet 2009
Histoire vraie?
J'ai reçu ça dans un courriel (transféré à ben du monde en même temps). Je ne sais pas si c'est réellement une histoire vraie ou pas; n'empêche qu'elle vaut certainement la lecture.
_________________________________
Cette scène a réellement eu lieu dans un vol de la compagnie British Airways entre Johannesburg et Londres.
Une femme blanche, d'environ cinquante ans, s'assied à côté d'un Noir. Visiblement perturbée, elle appelle l'hôtesse de l'air.
L'hôtesse : Quel est votre problème, Madame ?
La femme blanche : Mais vous ne le voyez donc pas ? Vous m'avez placée à côté d'un Noir. Je ne supporte pas de rester à côté d'un de ces êtres dégoûtants. Donnez-moi un autre siège, s'il vous plaît!!
L'hôtesse : Calmez-vous, presque toutes les places de ce vol sont prises. Je vais voir s'il y a une place disponible.
[L'hôtesse s'éloigne et revient quelques minutes plus tard....... ]
L'hôtesse: Madame, comme je le pensais, il n'y a plus aucune place libre dans la classe économique. J'ai parlé au commandant et il m'a confirmé qu'il n'y a plus de place dans la classe exécutive. Toutefois, nous avons encore une place en première classe.
[Avant que la dame puisse faire le moindre commentaire, l'hôtesse de l'air continue : ]
L'hôtesse: Il est tout à fait inhabituel dans notre compagnie de permettre à une personne de classe économique de s'asseoir en première classe. Mais, vu les circonstances, le commandant trouve qu'il serait scandaleux d'obliger quelqu'un à s'asseoir à côté d'une personne aussi répugnante.
[L'hôtesse se tourne vers le Noir et lui dit : ]
L'hôtesse: Donc, Monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage à main car un siège vous attend en première classe.
Et tous les passagers autour, qui, choqués, assistaient à la scène, se levèrent et applaudirent...
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Cette scène a réellement eu lieu dans un vol de la compagnie British Airways entre Johannesburg et Londres.
Une femme blanche, d'environ cinquante ans, s'assied à côté d'un Noir. Visiblement perturbée, elle appelle l'hôtesse de l'air.
L'hôtesse : Quel est votre problème, Madame ?
La femme blanche : Mais vous ne le voyez donc pas ? Vous m'avez placée à côté d'un Noir. Je ne supporte pas de rester à côté d'un de ces êtres dégoûtants. Donnez-moi un autre siège, s'il vous plaît!!
L'hôtesse : Calmez-vous, presque toutes les places de ce vol sont prises. Je vais voir s'il y a une place disponible.
[L'hôtesse s'éloigne et revient quelques minutes plus tard....... ]
L'hôtesse: Madame, comme je le pensais, il n'y a plus aucune place libre dans la classe économique. J'ai parlé au commandant et il m'a confirmé qu'il n'y a plus de place dans la classe exécutive. Toutefois, nous avons encore une place en première classe.
[Avant que la dame puisse faire le moindre commentaire, l'hôtesse de l'air continue : ]
L'hôtesse: Il est tout à fait inhabituel dans notre compagnie de permettre à une personne de classe économique de s'asseoir en première classe. Mais, vu les circonstances, le commandant trouve qu'il serait scandaleux d'obliger quelqu'un à s'asseoir à côté d'une personne aussi répugnante.
[L'hôtesse se tourne vers le Noir et lui dit : ]
L'hôtesse: Donc, Monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage à main car un siège vous attend en première classe.
Et tous les passagers autour, qui, choqués, assistaient à la scène, se levèrent et applaudirent...
Foutu CV terminé
Bon, j'ai passé l'après-midi (une bonne partie) et la soirée (une excellente partie) à faire mon CV (encore). En fait, j'ai décidé de reprendre tout le contenu de l'ancien, mais de changer toute sa forme (j'ai tout fait en LaTeX). J'ai décidé ça parce que ma dernière "batch" de CV envoyés (plusieurs dizaines) m'a rapporté un seul appel téléphonique, lequel n'a même pas mené à une entrevue (je dois avoir chié l'entrevue téléphonique en plus, imaginez-vous). Je me suis donc dit qu'il fallait que je change ça.
Pour faire ça, j'ai commencé par télécharger Linux Mint 7 ce matin (d'où la capture d'écran dans mon message précédent), et j'ai installé tout ce dont j'avais besoin pour faire ça (tout ça est très efficace pour utiliser du quota en passant).
En ce qui concerne le CV, j'ai cherché un peu sur Internet, et j'ai trouvé des templates (plusieurs) qui existaient pour faire des CV en LaTeX. Bon, le problème c'est que les gens qui utilisent LaTeX sont en général du monde qui provient du monde universitaire, alors la plupart des modèles étaient basés sur ces besoins-là (conférences, publications, etc.). Toutes des choses particulièrement inutiles.
Pour ma part, j'ai opté pour un modèle qui s'appliquait aussi pour le milieu universitaire, mais je l'ai hacké un peu et maintenant c'est pas si mal. Évidemment, un problème assez évident est que je ne connais pas grand-chose à ce langage-là (hormis les bases nécessaires pour pondre un devoir à la dernière minute), alors je n'ai pas pu modifier beaucoup de trucs. Quoi qu'il en soit, je crois que le résultat final est correct (Patrick pensait ça également).
J'ai peaufiner (... tout réécrit...) ma lettre de présentation. J'ai essayé de diverger un peu des cadres rigides que l'on nous apprend à la petite école (premier paragraphe, deuxième paragraphe, troisième paragraphe, ...). De plus, je crois que j'ai toujours approché la chose d'une manière "peu efficace" (par exemple, j'avais tendance à essayer d'éviter de parler à la première personne). En tout cas, je suis relativement satisfait, aussi. Ah, ça aussi j'ai utilisé un modèle... mais tous les modèles avaient un en-tête laid et inutile, alors j'ai fini par tout balancer ça par la porte ("mis en commentaires").
En tout cas... une maudite journée longue et exigeante. Reformuler des maudites phrases... on peut faire ça pendant 30 secondes maximum avant de voir noir et goûter du sang dans le fond de sa bouche.
Pour faire ça, j'ai commencé par télécharger Linux Mint 7 ce matin (d'où la capture d'écran dans mon message précédent), et j'ai installé tout ce dont j'avais besoin pour faire ça (tout ça est très efficace pour utiliser du quota en passant).
En ce qui concerne le CV, j'ai cherché un peu sur Internet, et j'ai trouvé des templates (plusieurs) qui existaient pour faire des CV en LaTeX. Bon, le problème c'est que les gens qui utilisent LaTeX sont en général du monde qui provient du monde universitaire, alors la plupart des modèles étaient basés sur ces besoins-là (conférences, publications, etc.). Toutes des choses particulièrement inutiles.
Pour ma part, j'ai opté pour un modèle qui s'appliquait aussi pour le milieu universitaire, mais je l'ai hacké un peu et maintenant c'est pas si mal. Évidemment, un problème assez évident est que je ne connais pas grand-chose à ce langage-là (hormis les bases nécessaires pour pondre un devoir à la dernière minute), alors je n'ai pas pu modifier beaucoup de trucs. Quoi qu'il en soit, je crois que le résultat final est correct (Patrick pensait ça également).
J'ai peaufiner (... tout réécrit...) ma lettre de présentation. J'ai essayé de diverger un peu des cadres rigides que l'on nous apprend à la petite école (premier paragraphe, deuxième paragraphe, troisième paragraphe, ...). De plus, je crois que j'ai toujours approché la chose d'une manière "peu efficace" (par exemple, j'avais tendance à essayer d'éviter de parler à la première personne). En tout cas, je suis relativement satisfait, aussi. Ah, ça aussi j'ai utilisé un modèle... mais tous les modèles avaient un en-tête laid et inutile, alors j'ai fini par tout balancer ça par la porte ("mis en commentaires").
En tout cas... une maudite journée longue et exigeante. Reformuler des maudites phrases... on peut faire ça pendant 30 secondes maximum avant de voir noir et goûter du sang dans le fond de sa bouche.
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