Les professeurs de l'UQÀM étaient en grève cette semaine. Aujourd'hui, ils ont voté pour la reconduction de la grève la semaine prochaine.
Cela s'ajoute donc aux étudiants militants (particulièrement en sciences humaines), ainsi qu'à son déficit monstre que la province refuse d'assumer et dont elle doit se départir dans un délai très restreint (note à part: je ne prends pas position sur le rôle que doit, devrait ou aurait dû jouer la province dans cette affaire-là).
Les professeurs demandent d'embaucher 300 professeurs de plus, ainsi que des augmentations salariales composées totalisant 10% de la masse salariale professorale actuelle (si je ne me trompe pas). Ces mesures, dit-on, visent à "rétablir l'équilibre" avec la moyenne des autres universités canadiennes (québécoises?).
En tout cas, voyez ça comme vous voulez, l'UQÀM est dans marde. D'un côté elle est aux prises avec un déficit illégal (selon la loi du financement des universités au Québec), et de l'autre côté elle a des professeurs qui revendiquent d'importantes injections de capitaux dans leurs poches. Entre les deux, on a à droite les employés de soutien qui grèvent périodiquement pour avoir de meilleures conditions de travail, et à gauche on a les étudiants militants qui ne veulent plus payer pour aller à l'université.
L'UQÀM devra vraisemblablement se tourner vers sa clientèle, à savoir les étudiants, pour renflouer les coffres. Probablement mettre à pied quelques employés de soutien, également.
En tout cas... bonne chance UQÀM. Joli fiasco.
Dans un autre ordre d'idées (!!). J'ai essayé de poster des CV. Je me suis inscrit (je pense... vraiment pas clair, et ça m'a l'air extrêmement inutile) sur deux sites -- l'un fédéral, l'autre provincial -- pour avoir un emploi étudiant (l'un dans la fonction publique (fédéral), et l'autre je ne sais pas... pas sûr qu'il y ait un domaine particulier).
Les deux sites visent l'équité en matière d'opportunités d'emploi (sans surprise).
Comment s'y prennent-ils? On peut volontairement (avantageusement, est-il explicitement décrié sur les deux sites) mentionner si:
Sur l'un des sites (provincial je pense) on suggère fortement de divulguer cette information, parce que sinon on n'aura pas accès à des programmes visant ces groupes particuliers.
J'en suis donc venu à la conclusion suivante, inévitable conclusion: tout homme blanc qui n'a pas de handicap a déjà un emploi et n'en cherche pas, et ce ne serait donc pas équitable de leur offrir un emploi.
Remarque: Cet axiome s'applique de manière équivalente aux programmes de bourses sur les paliers gouvernementaux. L'homme blanc sans handicap, parce qu'il travaille, a suffisamment d'argent et n'a aucunement besoin de bourses.
Cela s'ajoute donc aux étudiants militants (particulièrement en sciences humaines), ainsi qu'à son déficit monstre que la province refuse d'assumer et dont elle doit se départir dans un délai très restreint (note à part: je ne prends pas position sur le rôle que doit, devrait ou aurait dû jouer la province dans cette affaire-là).
Les professeurs demandent d'embaucher 300 professeurs de plus, ainsi que des augmentations salariales composées totalisant 10% de la masse salariale professorale actuelle (si je ne me trompe pas). Ces mesures, dit-on, visent à "rétablir l'équilibre" avec la moyenne des autres universités canadiennes (québécoises?).
En tout cas, voyez ça comme vous voulez, l'UQÀM est dans marde. D'un côté elle est aux prises avec un déficit illégal (selon la loi du financement des universités au Québec), et de l'autre côté elle a des professeurs qui revendiquent d'importantes injections de capitaux dans leurs poches. Entre les deux, on a à droite les employés de soutien qui grèvent périodiquement pour avoir de meilleures conditions de travail, et à gauche on a les étudiants militants qui ne veulent plus payer pour aller à l'université.
L'UQÀM devra vraisemblablement se tourner vers sa clientèle, à savoir les étudiants, pour renflouer les coffres. Probablement mettre à pied quelques employés de soutien, également.
En tout cas... bonne chance UQÀM. Joli fiasco.
Dans un autre ordre d'idées (!!). J'ai essayé de poster des CV. Je me suis inscrit (je pense... vraiment pas clair, et ça m'a l'air extrêmement inutile) sur deux sites -- l'un fédéral, l'autre provincial -- pour avoir un emploi étudiant (l'un dans la fonction publique (fédéral), et l'autre je ne sais pas... pas sûr qu'il y ait un domaine particulier).
Les deux sites visent l'équité en matière d'opportunités d'emploi (sans surprise).
Comment s'y prennent-ils? On peut volontairement (avantageusement, est-il explicitement décrié sur les deux sites) mentionner si:
- On est une femme
- On est une minorité visible
- On est autochtone
- On est handicapé.
Sur l'un des sites (provincial je pense) on suggère fortement de divulguer cette information, parce que sinon on n'aura pas accès à des programmes visant ces groupes particuliers.
J'en suis donc venu à la conclusion suivante, inévitable conclusion: tout homme blanc qui n'a pas de handicap a déjà un emploi et n'en cherche pas, et ce ne serait donc pas équitable de leur offrir un emploi.
Remarque: Cet axiome s'applique de manière équivalente aux programmes de bourses sur les paliers gouvernementaux. L'homme blanc sans handicap, parce qu'il travaille, a suffisamment d'argent et n'a aucunement besoin de bourses.
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