Ce soir, minute de chiâlage à propos de la transparence de "Cyberpresse", c'est-à-dire principalement de la pseudo-transparence de la plupart de ses blogues.
La Presse (Affaires): D'abord, j'avais déjà parlé ici (11 décembre 2007) qu'il y avait un article dans la section Affaires qui contenait une faute horrible, laquelle j'avais pris la peine de souligner. Quelques minutes plus tard, l'erreur avait été corrigée et mon commentaire supprimé.
À présent, il y a un système de modération (obligatoire) des commentaires, de telle sorte qu'il n'est plus possible de poster des commentaires sans les faire modérer auparavant (je pense que les auteurs décidaient chacun pour soi avant).
Marie-Claude Lortie, prise 1: Récemment, le 12 mars 2009 je publiais cette jolie critique qui pourfendait en quelque sorte le blogue de Marie-Claude Lortie, sur lequel des commentaires aux allures sexistes pullulaient (et pullulent toujours, soit dit en passant).
Je ne l'ai pas dit dans l'article, mais j'avais fait remarquer la chose dans un commentaire. Je lui avais dit clairement plusieurs choses, entre autres:
Comme vous pouvez vous en douter, mon commentaire n'a pas été publié.
Marie-Claude Lortie, prise 2: Plus tard (le lendemain je pense), cette même madame Lortie publiait ici un article dans lequel on pouvait lire l'expression latine massacrée a postiori (de la véritable expression, correctement écrite, a posteriori).
Je lui ai dit, en commentaire toujours, que la véritable orthographe était "a posteriori". Pour être honnête, je ne l'ai pas dit de manière "douce", voire polie, mais je n'ai pas enfreint les règles de Cyberpresse (je n'ai mis aucun juron ou quoi que ce soit). L'erreur a été corrigée, mais mon commentaire n'a pas été publié (quoique, pour ce commentaire-là, je ne la blâme pas entièrement... mettons à 50%).
Mali Ilse Paquin: Mme Paquin est correspondante pour La Presse en Angleterre. C'est probablement la fille avec une photo 180px x 120px la plus belle au monde. Ses articles sont généralement intéressants et très objectifs. En somme, c'est une très bonne journaliste (selon moi). Et elle nous donne toujours une vision très canadienne ou québécoise de trucs politiques qui se passent en Angleterre. Bref, je l'aime assez.
Dans un article publié vendredi, on pouvait lire la phrase suivante: "Voici quelques unes de mes photos". Il y a une faute dans cette phrase (quelques-unes prend un trait d'union).
J'ai laissé un commentaire (très poli et courtois!) sur son blogue. Elle a corrigé son erreur et, croyez-le ou non, mon commentaire n'a pas été publié. Parmi tous les commentaires que j'ai pris la peine de laisser sur ce site-là, je pense que c'était le plus poli et respectueux au monde. Je dois bien vous avouer que cette fois-ci, je ne vois pas d'explication. J'ai été assez déçu.
Richard Hétu, le vainqueur: Richard Hétu est correspondant pour La Presse aux États-Unis. Comme Mme Paquin, son blogue traite essentiellement de politique (mais américaine, évidemment). M. Hétu est probablement l'un des auteurs qui écrivent le mieux, que ce soit en termes de vocabulaire, de langue étrangère (anglais & traduction de passages), et surtout d'orthographe.
Le 24 janvier 2009, il publiait un article dont le titre était "Quand le pape absoud un négationniste". Ici, absout aurait dû prendre un t plutôt qu'un d.
J'ai laissé le commentaire suivant, qui paraît "sec" après coup, mais qui est plus "straight to the point" qu'autre chose:
M. Hétu a donc corrigé son erreur, et a décidé de publier mon commentaire. Mais sa transparence ne s'arrête pas là... même pas. Il m'a répondu (!), trois minutes plus tard, toujours dans les commentaires:
Je pense que M. Hétu pourrait donner deux ou trois leçons concernant la transparence à ses collègues!
La Presse (Affaires): D'abord, j'avais déjà parlé ici (11 décembre 2007) qu'il y avait un article dans la section Affaires qui contenait une faute horrible, laquelle j'avais pris la peine de souligner. Quelques minutes plus tard, l'erreur avait été corrigée et mon commentaire supprimé.
À présent, il y a un système de modération (obligatoire) des commentaires, de telle sorte qu'il n'est plus possible de poster des commentaires sans les faire modérer auparavant (je pense que les auteurs décidaient chacun pour soi avant).
Marie-Claude Lortie, prise 1: Récemment, le 12 mars 2009 je publiais cette jolie critique qui pourfendait en quelque sorte le blogue de Marie-Claude Lortie, sur lequel des commentaires aux allures sexistes pullulaient (et pullulent toujours, soit dit en passant).
Je ne l'ai pas dit dans l'article, mais j'avais fait remarquer la chose dans un commentaire. Je lui avais dit clairement plusieurs choses, entre autres:
- Qu'elle avait basé son histoire sur des faits qui étaient faux parce qu'elle avait tiré des conclusions [qui faisaient son affaire] trop hâtivement;
- Qu'elle ne faisait rien pour empêcher les commentaires sexistes [contre les hommes] d'atteindre son blogue (c'est elle qui modère les commentaires), ce qui était hypocrite parce que:
- Elle ne publiait visiblement pas tous les commentaires qui mentionnaient la chose (certains s'en plaignaient, justement).
Comme vous pouvez vous en douter, mon commentaire n'a pas été publié.
Marie-Claude Lortie, prise 2: Plus tard (le lendemain je pense), cette même madame Lortie publiait ici un article dans lequel on pouvait lire l'expression latine massacrée a postiori (de la véritable expression, correctement écrite, a posteriori).
Je lui ai dit, en commentaire toujours, que la véritable orthographe était "a posteriori". Pour être honnête, je ne l'ai pas dit de manière "douce", voire polie, mais je n'ai pas enfreint les règles de Cyberpresse (je n'ai mis aucun juron ou quoi que ce soit). L'erreur a été corrigée, mais mon commentaire n'a pas été publié (quoique, pour ce commentaire-là, je ne la blâme pas entièrement... mettons à 50%).
Mali Ilse Paquin: Mme Paquin est correspondante pour La Presse en Angleterre. C'est probablement la fille avec une photo 180px x 120px la plus belle au monde. Ses articles sont généralement intéressants et très objectifs. En somme, c'est une très bonne journaliste (selon moi). Et elle nous donne toujours une vision très canadienne ou québécoise de trucs politiques qui se passent en Angleterre. Bref, je l'aime assez.
Dans un article publié vendredi, on pouvait lire la phrase suivante: "Voici quelques unes de mes photos". Il y a une faute dans cette phrase (quelques-unes prend un trait d'union).
J'ai laissé un commentaire (très poli et courtois!) sur son blogue. Elle a corrigé son erreur et, croyez-le ou non, mon commentaire n'a pas été publié. Parmi tous les commentaires que j'ai pris la peine de laisser sur ce site-là, je pense que c'était le plus poli et respectueux au monde. Je dois bien vous avouer que cette fois-ci, je ne vois pas d'explication. J'ai été assez déçu.
Richard Hétu, le vainqueur: Richard Hétu est correspondant pour La Presse aux États-Unis. Comme Mme Paquin, son blogue traite essentiellement de politique (mais américaine, évidemment). M. Hétu est probablement l'un des auteurs qui écrivent le mieux, que ce soit en termes de vocabulaire, de langue étrangère (anglais & traduction de passages), et surtout d'orthographe.
Le 24 janvier 2009, il publiait un article dont le titre était "Quand le pape absoud un négationniste". Ici, absout aurait dû prendre un t plutôt qu'un d.
J'ai laissé le commentaire suivant, qui paraît "sec" après coup, mais qui est plus "straight to the point" qu'autre chose:
M. Hétu,
le verbe absoudre, comme résoudre par exemple, prend un t à la troisième personne du singulier du présent de l’indicatif, et non un d.
Le titre devrait donc vraisemblablement être “Quand le pape absout un négationniste”.
Je le sais parce que j’étudie dans le milieu des mathématiques, où le verbe “résoudre” se fait maltraiter par la plupart des gens.
M. Hétu a donc corrigé son erreur, et a décidé de publier mon commentaire. Mais sa transparence ne s'arrête pas là... même pas. Il m'a répondu (!), trois minutes plus tard, toujours dans les commentaires:
@seigneur101
Vous avez parfaitement raison. Le pire, c’est que j’avais vérifié dans mon Bescherelle. Je me suis évidemment trompé de page…
Je pense que M. Hétu pourrait donner deux ou trois leçons concernant la transparence à ses collègues!
2 commentaires:
LOL! Trop drôle!
Mais sont pas tous de même, j'ai déjà commenté sans problème sur des articles de Tristan Péloquin ou de Nelson Dumais
Moi j'ai déjà commenté sur ton blogue ici même et on a retiré mes commentaires...
Ton père!!!
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