Ce sont des histoires de même qui prouvent que le fardeau d'élever les enfants incombe injustement toujours à la femme.
Et le gars a l'air d'être un maudit bon père.
Fillette québécoise retrouvée: le père impatient de la revoir[lien]
À son retour à la maison, la petite Ashley Tara Bravo Gonis retrouvera sa chambre. Intacte. Comme elle l'avait quitté [sic.] il y a deux ans. «Je suis aussi allé magasiner et j'ai demandé aux vendeuses de m'indiquer les vêtements qui feraient à une fillette de 10 ans», raconte son père, Frank Gonis.
M. Gonis n'attend qu'un coup de fil pour aller rejoindre sa petite, qui vient d'être retrouvée à Vancouver deux ans après avoir été kidnappée par sa mère. «Je suis en contact avec un avocat en Colombie-Britannique et en lien avec les services sociaux de la Colombie-Britannique. J'ai vraiment hâte de partir et j'ai déjà réuni les poupées préférées d'Ashley pour les apporter avec moi.»
Ce n'est pas la première fois que M. Gonis était séparé de sa fille. À quelques reprises avant cet enlèvement qui a duré deux ans, il est arrivé à l'ex de M. Gonis - avec laquelle il avait une garde conjointe - de ne pas ramener la petite à la maison et de la tenir éloignée de son père.
À chaque fois, poursuit M. Gonis, le père et la fille devaient s'apprivoiser de nouveau. Cette fois, M. Gonis se doute bien que ce sera plus difficile encore. «Les gens à Vancouver me disent qu'elle est vraiment mélangée. La petite pense que je suis un monstre. Sa mère voulait se venger de moi, mais elle ne se rendait pas compte de tout le mal qu'elle faisait à sa fille.»
Les dernières années ont été dures, très dures pour M. Gonis qui, à 46 ans, attribue sa haute pression artérielle au stress accumulée [sic.] pendant ce long enlèvement. Il n'a pas manqué d'avoir un bon mot pour les policiers de Montréal, qui n'ont jamais fermé le dossier et qui ont été en contact étroit avec le FBI américain.
C'est la jeune Ashley, depuis un téléphone public d'une station de métro de Vancouver, qui a alerté la police. Sa mère est toujours recherchée.
«D'un côté, j'espère qu'elle sera punie par la justice; de l'autre, je veux simplement tourner la page et ne plus rien à voir avec elle. Je veux que la vie reprenne normalement et que tranquillement, ma fille réapprenne à me connaître.»
Et le gars a l'air d'être un maudit bon père.
Fillette québécoise retrouvée: le père impatient de la revoir[lien]
À son retour à la maison, la petite Ashley Tara Bravo Gonis retrouvera sa chambre. Intacte. Comme elle l'avait quitté [sic.] il y a deux ans. «Je suis aussi allé magasiner et j'ai demandé aux vendeuses de m'indiquer les vêtements qui feraient à une fillette de 10 ans», raconte son père, Frank Gonis.
M. Gonis n'attend qu'un coup de fil pour aller rejoindre sa petite, qui vient d'être retrouvée à Vancouver deux ans après avoir été kidnappée par sa mère. «Je suis en contact avec un avocat en Colombie-Britannique et en lien avec les services sociaux de la Colombie-Britannique. J'ai vraiment hâte de partir et j'ai déjà réuni les poupées préférées d'Ashley pour les apporter avec moi.»
Ce n'est pas la première fois que M. Gonis était séparé de sa fille. À quelques reprises avant cet enlèvement qui a duré deux ans, il est arrivé à l'ex de M. Gonis - avec laquelle il avait une garde conjointe - de ne pas ramener la petite à la maison et de la tenir éloignée de son père.
À chaque fois, poursuit M. Gonis, le père et la fille devaient s'apprivoiser de nouveau. Cette fois, M. Gonis se doute bien que ce sera plus difficile encore. «Les gens à Vancouver me disent qu'elle est vraiment mélangée. La petite pense que je suis un monstre. Sa mère voulait se venger de moi, mais elle ne se rendait pas compte de tout le mal qu'elle faisait à sa fille.»
Les dernières années ont été dures, très dures pour M. Gonis qui, à 46 ans, attribue sa haute pression artérielle au stress accumulée [sic.] pendant ce long enlèvement. Il n'a pas manqué d'avoir un bon mot pour les policiers de Montréal, qui n'ont jamais fermé le dossier et qui ont été en contact étroit avec le FBI américain.
C'est la jeune Ashley, depuis un téléphone public d'une station de métro de Vancouver, qui a alerté la police. Sa mère est toujours recherchée.
«D'un côté, j'espère qu'elle sera punie par la justice; de l'autre, je veux simplement tourner la page et ne plus rien à voir avec elle. Je veux que la vie reprenne normalement et que tranquillement, ma fille réapprenne à me connaître.»
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