Toute la journée a été une journée de marde. Simon-Alexandre, Simon, Axel et moi devions nous rejoindre à 10h ce matin à l'école pour faire un travail ("le terminer"). Je suis arrivé plutôt tôt (à 9h05 j'étais assis), et ayant mon portable à portée, j'ai décidé de jouer à Starcraft (!). Étonnamment, aucune fille ne m'a parlé.
Le travail est un travail de marde. C'est une évaluation actuarielle d'un régime de retraite... on a des données sur des participants, et il faut remplir une sorte de modèle de rapport d'évaluation actuarielle d'un régime, et rien ne fonctionne. Il faut calculer des "surplus" (ou déficits), et les réconcilier en fonction de plein de causes qui ont provoqué la situation (et c'est vraiment horrible).
On a travaillé pas mal toute la journée, mais un moment donné on se tanne. On doit avoir arrêté vers les 18h00-18h30, et il était temps en maudit qu'on arrête (tout le monde commençait à perdre patience anyway et on ne savait plus quoi faire et, disons-le, la plupart des gens présents ("nous") semblaient tannés).
On est allé manger au Saint-Hubert, et ça c'était agréable. (Club sandwich bebé!). On avait un serveur sympathique (heureusement, car les seins manquaient). Il y avait une fille au chandail turquoise (vert, VERT, mais ça l'air que je suis le seul au monde qui refuse d'appeler ça turquoise) qui était fixable, tout comme une fille en fond background loin de ma vue et de mon coeur. Peut-être qu'elle s'appelait Émilie, mais honnêtement je ne sais pas. C'est un peut-être.
Il y avait aussi une fille vraiment belle avec un capuchon qui avait l'air seule que:
Le travail est un travail de marde. C'est une évaluation actuarielle d'un régime de retraite... on a des données sur des participants, et il faut remplir une sorte de modèle de rapport d'évaluation actuarielle d'un régime, et rien ne fonctionne. Il faut calculer des "surplus" (ou déficits), et les réconcilier en fonction de plein de causes qui ont provoqué la situation (et c'est vraiment horrible).
On a travaillé pas mal toute la journée, mais un moment donné on se tanne. On doit avoir arrêté vers les 18h00-18h30, et il était temps en maudit qu'on arrête (tout le monde commençait à perdre patience anyway et on ne savait plus quoi faire et, disons-le, la plupart des gens présents ("nous") semblaient tannés).
On est allé manger au Saint-Hubert, et ça c'était agréable. (Club sandwich bebé!). On avait un serveur sympathique (heureusement, car les seins manquaient). Il y avait une fille au chandail turquoise (vert, VERT, mais ça l'air que je suis le seul au monde qui refuse d'appeler ça turquoise) qui était fixable, tout comme une fille en fond background loin de ma vue et de mon coeur. Peut-être qu'elle s'appelait Émilie, mais honnêtement je ne sais pas. C'est un peut-être.
Il y avait aussi une fille vraiment belle avec un capuchon qui avait l'air seule que:
- Simon-Alexandre croit être une dépravée émotionnelle
- Simon ne trouve pas si belle que ça.
Je me dis, pas grave, elle était jolie et je détiens la vérité (après tout, j'appelle ça du vert, pas du turquoise).
Simon a eu un bonbon de plus avec sa facture, alors je le lui ai volé, et le serveur lui en a donné 3 de plus, desquels Simon m'en a refilé un. J'ai donc eu 3 bonbons, et Simon aussi. J'étais bien contente, jusqu'à ce qu'on sorte dehors pour se rendre compte que la Sibérie et ses froids historiques était à nos pieds, mais ce n'était rien qu'un bonbon ne puisse pas faire oublier.
Dans le métro, une demoiselle nous a demandé (à Simon et à moi, Simon-Alexandre nous ayant quitté à Berri-UQÀM, et Axel nous ayant quitté en fin d'après-midi pour aller se faire couper les cheveux) à quelle station se trouvait la Place Versailles. Expert en la matière, non seulement lui ai-je dit à quelle station, mais je lui ai aussi parlé des dix millions de marches qu'il y a à monter et qu'il faut aller à gauche après avoir franchi l'étape cruciale des milliards de marches à monter. En termes de service à la population ("à la populasse"), je pense être difficile à battre.
Et c'est comme ça que je suis arrivé ici heureux.
Simon a eu un bonbon de plus avec sa facture, alors je le lui ai volé, et le serveur lui en a donné 3 de plus, desquels Simon m'en a refilé un. J'ai donc eu 3 bonbons, et Simon aussi. J'étais bien contente, jusqu'à ce qu'on sorte dehors pour se rendre compte que la Sibérie et ses froids historiques était à nos pieds, mais ce n'était rien qu'un bonbon ne puisse pas faire oublier.
Dans le métro, une demoiselle nous a demandé (à Simon et à moi, Simon-Alexandre nous ayant quitté à Berri-UQÀM, et Axel nous ayant quitté en fin d'après-midi pour aller se faire couper les cheveux) à quelle station se trouvait la Place Versailles. Expert en la matière, non seulement lui ai-je dit à quelle station, mais je lui ai aussi parlé des dix millions de marches qu'il y a à monter et qu'il faut aller à gauche après avoir franchi l'étape cruciale des milliards de marches à monter. En termes de service à la population ("à la populasse"), je pense être difficile à battre.
Et c'est comme ça que je suis arrivé ici heureux.
1 commentaire:
Tout est bien qui finit bien
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