Luc m'a appelé il y a quelque jours pour confirmer mon embauche cet été chez AXA, et m'a rappelé hier pour me dire que les papiers étaient prêts et que je pourrais passer pour les signer.
Toujours à mon affaire, je retournai allègrement l'appel ce matin, non sans frustrer Patrick par mon vocabulaire étendu et son exactitude enivrante, et arrangeai une visite vers les 10h30, 7ième étage. Je laissai tomber mon étude, m'habillai et m'en allai direction Avenir.
Le voyage du métro se fit sans heurts, mais je pense qu'il est approprié de mentionner le colon qui est sorti juste avant moi à McGill (le mot "colon" est bien choisi, vous verrez pourquoi si vous continuez l'histoire ou si vous vous inventez vous-même la suite où un homme aurait été colon à vos yeux).
Ledit colon s'est levé, et a fait le geste immonde suivant: il a déposé son journal sur un banc. Même pas le sien. Juste... un banc quelconque. Il a même fait un détour (!) pour aller le déposer sur ce banc-là. Maudit colon d'épais, y'avait genre 50 ans, des cheveux gris, et une queue de cheval (sérieusement, c'est qui qui a ça de nos jours?). Et ce n'est pas tout: en sortant du métro, il y a (au même niveau) au moins 3 (trois) endroits où l'on peut mettre nos journaux à la récupération. Faut vraiment être colon pour mettre ça sur un banc et s'en aller comme si de rien n'était.
En tout cas... tout ça pour dire que j'ai jeté deux journaux plutôt qu'un.
Oh, et il n'a pas été capable de faire le Sudoku! Ça j'ai trouvé ça drôle.
J'ai signé ma lettre d'embauche, qui stipulait que j'allais être payé un gros 21$/heure, que je débutais le 20 mai et que j'allais terminer le ou vers le 29 août. Les gens là-bas pensent que mon cerveau vaut 21$/heure... ah, je ne leur ai rien dit, parce que je ne voudrais pas les obstiner --- ils font leur travail. Et puis, ça fait toujours du bien d'être en mesure de payer le loyer, les frais universitaires et les autres choses qui font que je vis.
Avec tout ça, j'ai mis une pause inattendue dans mon étude... je me suis levé à 7h15 (j'ai essayé vers 6h45, mais mon Dieu que c'est difficile... à 1h je dormais pas, donc...). J'ai commencé vers 8h40 à travailler, et je n'ai fait qu'une heure environ, à cause de ma destination Avenir. C'est très peu, comparée aux trois heures que je voulais faire en matinée.
Bah... de toute manière.
Comme consolation, on notera que 21 est un nombre premier.
Toujours à mon affaire, je retournai allègrement l'appel ce matin, non sans frustrer Patrick par mon vocabulaire étendu et son exactitude enivrante, et arrangeai une visite vers les 10h30, 7ième étage. Je laissai tomber mon étude, m'habillai et m'en allai direction Avenir.
Le voyage du métro se fit sans heurts, mais je pense qu'il est approprié de mentionner le colon qui est sorti juste avant moi à McGill (le mot "colon" est bien choisi, vous verrez pourquoi si vous continuez l'histoire ou si vous vous inventez vous-même la suite où un homme aurait été colon à vos yeux).
Ledit colon s'est levé, et a fait le geste immonde suivant: il a déposé son journal sur un banc. Même pas le sien. Juste... un banc quelconque. Il a même fait un détour (!) pour aller le déposer sur ce banc-là. Maudit colon d'épais, y'avait genre 50 ans, des cheveux gris, et une queue de cheval (sérieusement, c'est qui qui a ça de nos jours?). Et ce n'est pas tout: en sortant du métro, il y a (au même niveau) au moins 3 (trois) endroits où l'on peut mettre nos journaux à la récupération. Faut vraiment être colon pour mettre ça sur un banc et s'en aller comme si de rien n'était.
En tout cas... tout ça pour dire que j'ai jeté deux journaux plutôt qu'un.
Oh, et il n'a pas été capable de faire le Sudoku! Ça j'ai trouvé ça drôle.
J'ai signé ma lettre d'embauche, qui stipulait que j'allais être payé un gros 21$/heure, que je débutais le 20 mai et que j'allais terminer le ou vers le 29 août. Les gens là-bas pensent que mon cerveau vaut 21$/heure... ah, je ne leur ai rien dit, parce que je ne voudrais pas les obstiner --- ils font leur travail. Et puis, ça fait toujours du bien d'être en mesure de payer le loyer, les frais universitaires et les autres choses qui font que je vis.
Avec tout ça, j'ai mis une pause inattendue dans mon étude... je me suis levé à 7h15 (j'ai essayé vers 6h45, mais mon Dieu que c'est difficile... à 1h je dormais pas, donc...). J'ai commencé vers 8h40 à travailler, et je n'ai fait qu'une heure environ, à cause de ma destination Avenir. C'est très peu, comparée aux trois heures que je voulais faire en matinée.
Bah... de toute manière.
Comme consolation, on notera que 21 est un nombre premier.
2 commentaires:
Alors t'es libre du 15 au soir jusqu'au 19 au soir pour une frette ? loll
Il va falloir que je me trouve une deuxieme job parce que le jour n'est pas arriver pour qu'un de mes enfants me dépassent en salaire...
Homme à tout faire salaire juste assez pour vivre et si vous êtes une femme et que vous avez une corvette, je suis pret à tout même sacrifier mon corps
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