Encore le maudit propriétaire!
Ce matin, je vaquais à mes occupations d'une manière très naturelle avant d'avoir à quitter pour l'unif (à 13h05-13h10 environ). Je suis allé prendre ma douche vers... je sais pas, 11 heures peut-être.
Quand je suis sorti de la douche, j'étais en boxers (pas habillé, si on veut). Je suis retourné dans ma chambre, et entre-temps j'ai entendu cogner à la porte de quelqu'un dans le bloc (pas celle d'ici). Un peu plus tard (genre 20 secondes plus tard), ça a cogné à la porte d'à côté.
Ça avait l'air très systématique. Dans ma tête, c'était quelqu'un qui cognait à toutes les portes, qui n'avait pas eu de réponse à la porte précédente, qui était donc venu cogné à la porte d'à côté.
Je me suis dit que je ne ferais rien; soit personne ne cognera, soit quelqu'un cognera, et ce sera le propriétaire. Parce que de toute manière, il vient toujours faire un petit tour pour nous demander si pregna tout le mistre agna bleh, ou des choses comme ça qui sont le fun à entendre.
Et ça a cogné. Alors je me suis dépêché à pogner des pantalons de joggings que je porte juste chez moi, pas de chandail ni rien, pour accueillir cet homme de 4 pieds 2 d'une manière appropriée, tout en me préparant mentalement à entendre sa poésie et essayer de converser avec. Et mes cheveux étaient tout mouillés. J'attache mon cordon de pantalons.
J'ouvre la porte, et ma bulle pète.
Elle devait avoir, oh... 24 ans. Vraiment vraiment jolie. Des yeux genre verts (un peu bruns) juste trop beaux. Vraiment bien tenue (contrairement à moi), habillée un peu en "femme d'affaires".
Après une ouverture sans précédent ("Bonjour"), elle me tend la main et me dis, "Je m'appelle Andréa".
Je lui ai serré la main, mais je ne me rappelle pas si je me suis présenté (j'essayais encore d'expliquer à mon subconscient qu'il devait se replacer les idées vite fait pour que j'aie l'air normal, mais il n'a pas cru bon procéder dans un bref délai). Aussi, juste pour me mélanger encore plus, sa main est devenue molle après genre un "shake", ce qui faisait qu'au lieu de lui serrer la main, je lui tenais la main. Ah ouais, j'ai assuré de même.
Et après, elle me regarde un peu "le chest", et elle dit "je te dérange?".
Ce qu'il faut pas entendre.
Mais bon, j'ai essayé de lui expliquer avec un air cave et gêné et cave et gêné et cave que je venais de prendre ma douche et que je me suis juste dépêché à mettre des pantalons, et là je dois avoir fait une bonne blague plate, et je lui ai dit que j'allais aller mettre un chandail, et je suis allé mettre un chandail.
Elle s'est sentie assez à l'aise pour rentrer, fermer la porte derrière elle, et me dire qu'elle offrait une assurance dans le domaine de la santé. Ensuite, elle s'est spécifiée en me disant que c'était une assurance invalidité ou quelque chose comme ça. Elle m'a ensuite demandé si j'avais l'intention de travailler un jour.
Habillé et au-dessus de mes affaires (je suis ridicule, je sais), j'ai fait une bonne blague genre "non non, je pensais rester chez nous toute ma vie". Même au-dessus de mes affaires, je reste en bas de la moyenne. Ben j'étais encore à l'envers, j'aimerais préciser. En tout cas.
Elle m'a demandé j'allais travailler dans quoi plus tard, ce à quoi j'ai répondu "actuariat -- savez-vous c'est quoi?". Elle m'a répondu "oui".
Elle m'a demandé si j'avais une assurance invalidité, quelque chose comme ça, et je lui ai dit que "ironiquement, je travaillais pour une compagnie d'assurance", ce qui l'a surprise (elle ne devait pas savoir c'était quoi l'actuariat, fin finalement, mais je ne lui ai pas reproché parce que elle m'a vu sans chandail et qu'elle avait des beaux yeux et que j'étais gêné et mal à l'aise).
Ensuite, elle a commencé à faire conversation.
C'est grand ici, c'est beau.
Ah ouais, c'est proche du métro Honoré-Beaugrand... y'a un bus au coin de la rue juste là-bas, mais moi je marche, ça me prend genre 20 minutes.
Beaux yeux.
Jolie.
Je suis déménagé v'là pas longtemps, mais c'est pas cher et ça vaut la peine d'après moi.
En tout cas, il m'en manque des bouts, mais j'ai clairement assuré (reconnaître le sarcasme ici je vous en prie).
Elle est partie en me remerciant d'avoir égayé sa journée.
Je suis amoureux je pense.
Ce matin, je vaquais à mes occupations d'une manière très naturelle avant d'avoir à quitter pour l'unif (à 13h05-13h10 environ). Je suis allé prendre ma douche vers... je sais pas, 11 heures peut-être.
Quand je suis sorti de la douche, j'étais en boxers (pas habillé, si on veut). Je suis retourné dans ma chambre, et entre-temps j'ai entendu cogner à la porte de quelqu'un dans le bloc (pas celle d'ici). Un peu plus tard (genre 20 secondes plus tard), ça a cogné à la porte d'à côté.
Ça avait l'air très systématique. Dans ma tête, c'était quelqu'un qui cognait à toutes les portes, qui n'avait pas eu de réponse à la porte précédente, qui était donc venu cogné à la porte d'à côté.
Je me suis dit que je ne ferais rien; soit personne ne cognera, soit quelqu'un cognera, et ce sera le propriétaire. Parce que de toute manière, il vient toujours faire un petit tour pour nous demander si pregna tout le mistre agna bleh, ou des choses comme ça qui sont le fun à entendre.
Et ça a cogné. Alors je me suis dépêché à pogner des pantalons de joggings que je porte juste chez moi, pas de chandail ni rien, pour accueillir cet homme de 4 pieds 2 d'une manière appropriée, tout en me préparant mentalement à entendre sa poésie et essayer de converser avec. Et mes cheveux étaient tout mouillés. J'attache mon cordon de pantalons.
J'ouvre la porte, et ma bulle pète.
Elle devait avoir, oh... 24 ans. Vraiment vraiment jolie. Des yeux genre verts (un peu bruns) juste trop beaux. Vraiment bien tenue (contrairement à moi), habillée un peu en "femme d'affaires".
Après une ouverture sans précédent ("Bonjour"), elle me tend la main et me dis, "Je m'appelle Andréa".
Je lui ai serré la main, mais je ne me rappelle pas si je me suis présenté (j'essayais encore d'expliquer à mon subconscient qu'il devait se replacer les idées vite fait pour que j'aie l'air normal, mais il n'a pas cru bon procéder dans un bref délai). Aussi, juste pour me mélanger encore plus, sa main est devenue molle après genre un "shake", ce qui faisait qu'au lieu de lui serrer la main, je lui tenais la main. Ah ouais, j'ai assuré de même.
Et après, elle me regarde un peu "le chest", et elle dit "je te dérange?".
Ce qu'il faut pas entendre.
Mais bon, j'ai essayé de lui expliquer avec un air cave et gêné et cave et gêné et cave que je venais de prendre ma douche et que je me suis juste dépêché à mettre des pantalons, et là je dois avoir fait une bonne blague plate, et je lui ai dit que j'allais aller mettre un chandail, et je suis allé mettre un chandail.
Elle s'est sentie assez à l'aise pour rentrer, fermer la porte derrière elle, et me dire qu'elle offrait une assurance dans le domaine de la santé. Ensuite, elle s'est spécifiée en me disant que c'était une assurance invalidité ou quelque chose comme ça. Elle m'a ensuite demandé si j'avais l'intention de travailler un jour.
Habillé et au-dessus de mes affaires (je suis ridicule, je sais), j'ai fait une bonne blague genre "non non, je pensais rester chez nous toute ma vie". Même au-dessus de mes affaires, je reste en bas de la moyenne. Ben j'étais encore à l'envers, j'aimerais préciser. En tout cas.
Elle m'a demandé j'allais travailler dans quoi plus tard, ce à quoi j'ai répondu "actuariat -- savez-vous c'est quoi?". Elle m'a répondu "oui".
Elle m'a demandé si j'avais une assurance invalidité, quelque chose comme ça, et je lui ai dit que "ironiquement, je travaillais pour une compagnie d'assurance", ce qui l'a surprise (elle ne devait pas savoir c'était quoi l'actuariat, fin finalement, mais je ne lui ai pas reproché parce que elle m'a vu sans chandail et qu'elle avait des beaux yeux et que j'étais gêné et mal à l'aise).
Ensuite, elle a commencé à faire conversation.
C'est grand ici, c'est beau.
Ah ouais, c'est proche du métro Honoré-Beaugrand... y'a un bus au coin de la rue juste là-bas, mais moi je marche, ça me prend genre 20 minutes.
Beaux yeux.
Jolie.
Je suis déménagé v'là pas longtemps, mais c'est pas cher et ça vaut la peine d'après moi.
En tout cas, il m'en manque des bouts, mais j'ai clairement assuré (reconnaître le sarcasme ici je vous en prie).
Elle est partie en me remerciant d'avoir égayé sa journée.
Je suis amoureux je pense.
2 commentaires:
"Même au-dessus de mes affaires, je reste en bas de la moyenne. " LOL
elle devait le savoiiiiiiiiiir que tu tombais de plus en plus amoureux.. pov phil lolol cpas grave chu pas impliqué
lollllllllllllll "cpas grave chu pas impliqué" lolll
Publier un commentaire