lundi 8 octobre 2007

Edward Scissorhands

C'est, hum... fucked up un peu.

Pour faire une histoire courte pour ceux qui ne connaissent pas ça: c'est un gars qui est en fait une machine qu'un inventeur a créée et qui est parfaitement humaine (émotions, ces choses-là), mais qui a des ciseaux au lieu des mains, parce que l'inventeur n'a pas eu le temps de lui mettre des mains à la place des ciseaux avant de mourir.

Edward, c'est le non du gars, vit donc tout seul dans "the mansion" au sommet d'une montagne et c'est lugubre et noir et tout le tralala, et un jour une mère de famille qui passait par là a décidé de le ramener chez elle où il a rencontré toute sa famille (dont l'adolescente de la maison... menoum).

C'est un film fucké parce qu'ils vivent dans un monde autre que le notre (les maisons sont de couleurs unies et relativement "colorées" (i.e. autres que le blanc), tout le monde se connaît, il n'y a pas d'autres villes, tout le monde part travailler exactement en même temps le matin, tout le monde a le numéro de téléphone de tout le monde, etc.). C'est un peu comme si "un petit petit petit village bizarre" constituait l'univers en entier, en gros.

De toute manière... ça tourne alentour des mains fuckées de Edward là, il coiffe les gens, "sculpte" des buissons en choses belles, il se coupe périodiquement, ainsi que d'autres, sans faire exprès, et là ça finit que tout le monde veut le tuer parce qu'il a été manipulé par le chum de l'adolescente de la maison, menoum, et qu'il est entré quelque part et bla bla bla... en tout cas.

Pour tout vous dire, quoique pas mauvais, ce film ("cette pellicule", lol) m'a laissé sur ma soif d'histoire d'amour merveilleusement romantique. Pas que ce soit un mauvais film... c'était juste pas ce que je voulais regarder je suppose. D'un autre côté, faut quand même s'apercevoir que c'est un film fucké... je suppose que, pour être honnête avec moi-même, j'arrive pas nécessairement à comprendre comment ça peut avoir pogné autant.

Bah, c'est ça...

C'était pas la première fois que je le voyais, en passant.

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