Donc donc donc...
Aujourd'hui, c'était la rentrée (à l'UQÀM). J'avais juste un cours de 18h à 21h. Mais Patrick commençait vers les 14 heures jusqu'à 17 heures... alors Axel et moi sommes allés dans son cours.
C'est un cours de mathématiques... mais ça s'appelle "analyse quantitative pour la psychologie", quelque chose du genre. En somme: c'est donné à du monde de psychologie, qui ne sont donc pas en mathématiques.
Deux choses assez frappantes: la première étant que c'est genre JUSTE des filles. Il devait y avoir un gros 5-6-7 gars dans la classe là... c'est presque ridicule. Mon Pat va s'en donner à coeur joie. Ah, y'avait même une grosse... comme quoi la porte est ouverte à toutes. Et y'avait une vieille qui utilisait un langage sophistiqué qui voulait rien dire (comme le professeur d'ailleurs), qui était immense et dans sa cinquantaine clairement (elle est cool de même).
La deuxième chose, quoique ce soit sûrement pas la faute au programme (ni propre au programme), c'est qu'on dirait qu'on se fait parler comme des caves. J'ai eu mon cours de mathématiques actuarielles II, et j'ai pas eu cette impression-là. Mais t'sais... dans le fond, le monde dans le cours de Pat avait pas nécessairement l'air plus bright (on a passé une grosse heure à essayer d'expliquer c'était quoi la différence entre qualitatif / quantitatif, ET Y'A DES FILLES QUI COMPRENAIENT PAS).
Par contre, comme j'ai dit, j'ai la sincère impression que c'est une question de circonstances plus qu'autres choses. Entre autres, je suis sûr que le fait que ce soit typiquement un premier cours d'université pour les gens, que c'est un contenu qui soit possiblement inconnu de plusieurs étudiants (ça doit pas être tout le monde qui soit à l'aise en statistiques, et pour cause, ce n'est effectivement pas dans le domaine où ils sont). Pour toutes ces raisons-là évidentes, je pense qu'il y a une raison pourquoi on se fait parler comme des caves dans ce cours-là (pour le moment) et pas dans mon cours de 2ième année d'actuariat qui est la suite d'un cours qu'on a déjà vu...
Reste-t-il que ça faisait du bien de se faire lancer des intégrales et des sommations sans passer 90 minutes à parler de la signification de tout ce qui était dit.
Axel, Patrick et moi avons "soupé au restaurant"... en fait, on avait un cours à 18h (les trois), et on est arrivé au Subway à genre 17h20, et y'avait plein de monde... et Axel et moi étions loin d'où on allait (fallait qu'on prenne le métro pi toute)... en tout cas... donc, quand je dis "soupé au restaurant", j'essaie plus de dire "mangé vraiment vite au restaurant". Ah mais je suis pas mal fier de moi... vous auriez été surpris de voir comment on peut manger un 12 pouces assez vite. Ça doit m'avoir pris un gros 6 minutes... ! (J'en suis pas peu fier).
Demain, cours à 9h... c'est chiant, mais bon. Fait du bien de retourner à l'école je suppose.
Ahhh... parlons du prof de mathématiques actuarielles II. Au début, une des premières choses que Axel a dites, c'est "y'a l'air dépressif". Il disait ça parce que genre... les premières choses qu'il nous disait, c'était que le marché du travail c'était dur pi toute. Au début, c'était drôle... j'ai même lâché un petit "y'é déprimant, hahaha...", en pensant que ça allait s'améliorer.
Mais là y'a commencé à nous dire que la marche pour passer du primaire au secondaire c'est ça, du secondaire au cégep c'est ça, du cégep à l'université c'est ça, et là je peux pas dessiner c'est quoi la marche entre université et marché du travail, parce que faudrait que j'aille plus haut que le plafond.
... ah okay monsieur le psychologue, bravo pour la manière de dire les choses. MAIS... y'a pas arrêté là (il COMMENÇAIT par ça, pour tout vous dire). Après, y'a dit que quand t'es à l'école pi que t'as 92% à un examen, t'es ben content pi t'es fier pi bah, y'a juste 8% que t'as pas eu, c'est pas grave, le stress pi toute, une erreur conne, c'est pas grave 92% c'est vraiment bon. Dans le marché du travail, (exemple donné ici trop long à raconter), alors ça fait 98% (t'as juste 2 erreurs)... ben sur le marché du travail c'est comme un échec. Pi après tu vas être reconnu comme "celui qui se trompe", pi c'est difficile de se refaire un nom après, ça va se savoir.
... AH OKAY.
C'est là que Axel pi moi on commençait à se dire comme "on se suicide-tu à soir ou quoi?" pi des choses de même.
Heureusement que la deuxième partie du cours (cette partie-là a duré genre 1 heure ou je sais pas... en tout cas, c'était long pour rien) était correcte... ça a l'air d'un très bon professeur, même s'il va nous mettre en dépression majeure.
Aujourd'hui, c'était la rentrée (à l'UQÀM). J'avais juste un cours de 18h à 21h. Mais Patrick commençait vers les 14 heures jusqu'à 17 heures... alors Axel et moi sommes allés dans son cours.
C'est un cours de mathématiques... mais ça s'appelle "analyse quantitative pour la psychologie", quelque chose du genre. En somme: c'est donné à du monde de psychologie, qui ne sont donc pas en mathématiques.
Deux choses assez frappantes: la première étant que c'est genre JUSTE des filles. Il devait y avoir un gros 5-6-7 gars dans la classe là... c'est presque ridicule. Mon Pat va s'en donner à coeur joie. Ah, y'avait même une grosse... comme quoi la porte est ouverte à toutes. Et y'avait une vieille qui utilisait un langage sophistiqué qui voulait rien dire (comme le professeur d'ailleurs), qui était immense et dans sa cinquantaine clairement (elle est cool de même).
La deuxième chose, quoique ce soit sûrement pas la faute au programme (ni propre au programme), c'est qu'on dirait qu'on se fait parler comme des caves. J'ai eu mon cours de mathématiques actuarielles II, et j'ai pas eu cette impression-là. Mais t'sais... dans le fond, le monde dans le cours de Pat avait pas nécessairement l'air plus bright (on a passé une grosse heure à essayer d'expliquer c'était quoi la différence entre qualitatif / quantitatif, ET Y'A DES FILLES QUI COMPRENAIENT PAS).
Par contre, comme j'ai dit, j'ai la sincère impression que c'est une question de circonstances plus qu'autres choses. Entre autres, je suis sûr que le fait que ce soit typiquement un premier cours d'université pour les gens, que c'est un contenu qui soit possiblement inconnu de plusieurs étudiants (ça doit pas être tout le monde qui soit à l'aise en statistiques, et pour cause, ce n'est effectivement pas dans le domaine où ils sont). Pour toutes ces raisons-là évidentes, je pense qu'il y a une raison pourquoi on se fait parler comme des caves dans ce cours-là (pour le moment) et pas dans mon cours de 2ième année d'actuariat qui est la suite d'un cours qu'on a déjà vu...
Reste-t-il que ça faisait du bien de se faire lancer des intégrales et des sommations sans passer 90 minutes à parler de la signification de tout ce qui était dit.
Axel, Patrick et moi avons "soupé au restaurant"... en fait, on avait un cours à 18h (les trois), et on est arrivé au Subway à genre 17h20, et y'avait plein de monde... et Axel et moi étions loin d'où on allait (fallait qu'on prenne le métro pi toute)... en tout cas... donc, quand je dis "soupé au restaurant", j'essaie plus de dire "mangé vraiment vite au restaurant". Ah mais je suis pas mal fier de moi... vous auriez été surpris de voir comment on peut manger un 12 pouces assez vite. Ça doit m'avoir pris un gros 6 minutes... ! (J'en suis pas peu fier).
Demain, cours à 9h... c'est chiant, mais bon. Fait du bien de retourner à l'école je suppose.
Ahhh... parlons du prof de mathématiques actuarielles II. Au début, une des premières choses que Axel a dites, c'est "y'a l'air dépressif". Il disait ça parce que genre... les premières choses qu'il nous disait, c'était que le marché du travail c'était dur pi toute. Au début, c'était drôle... j'ai même lâché un petit "y'é déprimant, hahaha...", en pensant que ça allait s'améliorer.
Mais là y'a commencé à nous dire que la marche pour passer du primaire au secondaire c'est ça, du secondaire au cégep c'est ça, du cégep à l'université c'est ça, et là je peux pas dessiner c'est quoi la marche entre université et marché du travail, parce que faudrait que j'aille plus haut que le plafond.
... ah okay monsieur le psychologue, bravo pour la manière de dire les choses. MAIS... y'a pas arrêté là (il COMMENÇAIT par ça, pour tout vous dire). Après, y'a dit que quand t'es à l'école pi que t'as 92% à un examen, t'es ben content pi t'es fier pi bah, y'a juste 8% que t'as pas eu, c'est pas grave, le stress pi toute, une erreur conne, c'est pas grave 92% c'est vraiment bon. Dans le marché du travail, (exemple donné ici trop long à raconter), alors ça fait 98% (t'as juste 2 erreurs)... ben sur le marché du travail c'est comme un échec. Pi après tu vas être reconnu comme "celui qui se trompe", pi c'est difficile de se refaire un nom après, ça va se savoir.
... AH OKAY.
C'est là que Axel pi moi on commençait à se dire comme "on se suicide-tu à soir ou quoi?" pi des choses de même.
Heureusement que la deuxième partie du cours (cette partie-là a duré genre 1 heure ou je sais pas... en tout cas, c'était long pour rien) était correcte... ça a l'air d'un très bon professeur, même s'il va nous mettre en dépression majeure.
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