mardi 15 juillet 2008

En bref...

J'ai décidé de parler un peu de AXA (très brièvement), parce que ça fait longtemps que je l'ai fait.

Mais avant tout, parlons étude: je n'ai pas étudié hier, et je ne vais pas étudier jeudi soir, car je vais voir Martin Matte avec mon bon ami Nicolas (wo0t). En plus, Olivier m'a demandé d'aller voir un show de Jon Lajoie vendredi soir, ce qui impliquerait une fois de plus que je n'étudierais pas ce soir-là... alors je suis très hésitant, malheureusement. Ce n'est vraiment pas le genre d'affaires avec lesquelles j'aime niaiser... Mais d'un autre côté, on est encore très tôt dans le "calendrier", de telle sorte qu'une bifurcation vers le choix facile serait probablement négligeable à long terme --- c'est juste que mes bifurcations s'accumulent très rapidement dernièrement, de telle sorte qu'on pourrait finir par croire qu'il ne s'agirait vraisemblablement pas uniquement de bifurcations "inhabituelles". Quoi qu'il en soit, ça complétait mes pensées à ce sujet.

On m'a mis sur un projet de marde (pardonnez mon langage grossier) qui consiste à prendre plein de petits problèmes connus depuis longtemps que personne ne veut résoudre, et de les résoudre tous en même temps. Je dois modifier, au moins (parce qu'il y en a que j'ai décidé de ne pas modifier mais qu'il faudra peut-être éventuellement que je fasse) 127 bases de données, ce qui somme à quoi... 60-75 Go environ? En tout cas, j'en ai tellement à faire que je ne peux pas toutes les faire en même temps (pas assez de place sur le serveur). Je dois y aller par province... cool hein.

En gros, ce sont des choses comme... "telle variable ne se calculait pas correctement, à présent j'aimerais qu'elle se calcule correctement", ou encore "il y a plein de variables qu'on ne se sert plus; répertorie-les et supprime-les", et finalement "ohhh on aurait besoin d'une nouvelle variable". En tout cas... j'ai pogné les rebuts des tâches à faire, et ça a des conséquences.

Deux conséquences principales, les deux allant toutes deux dans la même direction.

La première conséquence est que je ne pense pas que je puisse réellement montrer ce que je sais faire. Par exemple, comparé à l'année passée, je ne fais presque pas de programmation, tandis que c'était vraiment un point fort l'été passé. Tout ce que je fais, c'est que je gosse dans des bases de données, je regarde qu'est-ce qui est créé où, et ça s'arrête pas mal là... je ne crée absolument aucune "valeur ajoutée" (plus value), et c'est clairement quelque chose qui aurait été bon dans l'optique où j'aimerais me faire engager à temps plein dès l'été prochain.

La deuxième conséquence est que je ne travaille sur aucun "projet chaud". Par exemple, tout le monde dans mon équipe, sauf moi -- surprise, travaille sur quelque chose qui aura lieu bientôt en Ontario (passons les détails). C'est un projet très gros et très important, qui requiert entre autres une constante communication avec des représentants des marchés financiers de cette province-là. C'est en plein coeur de la tarification des polices d'automobile (en Ontario), qui est réellement le pilier d'une compagnie-fille d'AXA Canada, pour qui je travaille. En somme, je ne travaille pas sur quelque chose sur quoi il aurait été bien que je travaille. De plus, conséquemment, je me ramasse à travailler de manière relativement isolée, où je ne sais pas ce que les autres font et que les autres ne savent pas ce que je fais.

Tout ça pour dire que je ne suis pas la denrée rare, inestimable et essentielle que l'on pourrait espérer.

1 commentaire:

Anonyme a dit...

J'étais sensée aller voir Jon Lajoie moi aussi mais maudine j'Avais dÉjà promis à qqn d'Autre.

Le coeur me brise.