Back again!
Phil is back!
Tell a friend!
Guess who's back?
Guess who's back?
Guess who's back?
Guess who's back?
Guess who's back?
Guess who's back?
Guess who's back?
Na na na... !
On n'a pas vraiment Internet – mais c'est que y'a un zouf qui a un wireless qui n'est pas sécurisé, et comble de malheur, faute de sens moral, je me connecte périodiquement pour faire des trucs, comme regarder mes messages et les notes (qui tardent à rentrer d'ailleurs).
Je me demandais combien de temps que je devrais laisser le blog aux mains d'Axel. Quoique ses articles soient « passables » (ils sont excellents), ils sont vraiment trop fréquents (rares) pour que ça puisse durer plus longtemps. Chaque jour, vous venez ici, et vous vous dites FUCK NON NON FUCK... et vous contemplez sûrement même le suicide quelques instants, parce que vous n'avez pas eu votre dose de voyeurisme dans la vie privée de quelqu'un parce qu'Axel est pas capable d'écrire assez souvent. Donc, puisque l'école recommence demain, je pense que ça pourrait bien coïncider avec mon retour (tant attendu).
Axel m'a donné la septième saison de Friends comme cadeau! (Que de gentillesse, et il me connaît bien en s'il vous plaît). Il a mentionné que je ne lui avais toujours pas donné son cadeau, et c'est vrai, mais je le cherche encore... la dernière fois que je l'ai cherché, c'est-à-dire jeudi, il n'était plus en stock. Ça va venir, patiente.
Le déménagement... comment s'est passé le déménagement. Relativement bien je suppose. On a pris les trucs fuckés à Saint-Jean-Baptiste (par fuckés j'entends chiants), genre divan, mini-laveuse, mini-sècheuse, frigidaire. Après on est allé à Longueuil pour aller chercher nos trucs de chez nous (toute la marde qu'on avait là... manuels d'école, matelas, cochonneries de mon bureau, ces choses-là). Il fallut aussi qu'on revienne le lendemain matin à Longueuil pour « finaliser » (on avait vraiment trop de choses pour faire tout ça en un seul voyage). C'est également là qu'on a transporté Minou jusqu'ici.
On l'a mise dans une boîte (sans fermer le dessus), et Patrick a tenu la boîte pendant tout le voyage. Elle faisait ce qu'il se plaît à appeler de la « dissociation » (en gros, elle fixait les murs de la boîte et ne bougeait pas). C'est ça qu'elle fait quand elle a peur il faut croire, parce que périodiquement du monde vient ici (notamment mes parents), et chaque fois elle va se cacher sous une couverture et elle se « dissocie » (en mathématiques, je suppose qu'on pourrait presque dire qu'elle se dérive).
Elle vient souvent se coucher sur le divan quand j'écoute un film. Elle dort souvent dans ma chambre sur une pile de linge, un peu comme elle faisait à Longueuil. Elle sait où est sa litière et son manger et ces trucs-là, mais c'est quand même un chat, et non pas un chien.
Patrick a commencé à être malade drette la soirée où on est arrivé, et il a passé la très grande partie des vacances chez Valérie (ou en tout cas, ailleurs), ce qui signifie que j'ai été seul tout le long, tel un loup... seul... ben en tout cas, j'étais seul souvent tout le temps. Olivier est souvent venu chez nous, alors c'était déjà moins pire. Et j'ai écouté beaucoup les Friends qu'Axel m'a donnés, ainsi que plusieurs films. Et il y avait beaucoup de trucs à faire dans l'appartement, des cochonneries à acheter, des affaires de même...
On a eu beaucoup de problèmes avec la laveuse et la sècheuse. Chaque fois que mon père venait, il manquait toujours un fil ou le fil était trop court ou quelque chose du genre, et on ne pouvait pas aller en acheter parce que tout était fermé, parce que naturellement que toute cette marde-là devait arriver vers le jour de l'an (ç'aurait pas pu arriver un autre jour, parce que ç'aurait été moins pire).
Pour ma fête (le 31 décembre... y'a pas eu un osti de chien qui m'a écrit un message, sauf genre Simon-Alexandre), ainsi que celle de Patrick (j'ai-tu vraiment besoin de l'expliquer celle-là ?), on est allé au New Port, qui est un méga buffet à Brossard (« on » étant Patrick, Valérie, Olivier et moi). C'était bon, et j'ai mangé comme un Éthiopien qui se trouve devant une caverne de blé et qui sait qu'il ne pourra pas revenir bientôt.
C'est pas mal tout ce qui vaut la peine d'être mentionné j'ai l'impression.
Comment prends-je la vie en appartement? Ah, la question. C'est le fun, étonnamment... beaucoup de solitude (enfin!), je peux m'acheter ce que je veux pour manger (ben... c'est pas le luxe là... je me suis acheté un sac de carottes, un méga sac économique de viande froide, du pain, du beurre de pinottes, des cannes, ...) (28$ de manger!), je m'amuse périodiquement à faire du ménage, à acheter des trucs qui manquent, ce type de responsabilités que je n'ai jamais vraiment eu avant. Mais bon... ça gruge un compte de banque.
Il y a un Métro, une SAQ, un McDonald's, un restaurant quelconque, un club vidéo, un Uniprix, et un magasin à 1$ vraiment près de chez nous, sans compter le Couche-Tard (un essentiel).
Ça me prend grosso-modo 20 minutes à pieds me rendre au métro Honoré-Beaugrand à partir de chez nous, ce qui signifie que ça se fait très bien. Au pire, il y a un bus qui passe très près de chez nous et qui passe devant... au pire.
Toujours pas de téléphone, toujours pas d'Internet (sauf celui du zouf). Aucune idée ce qu'on va faire avec ça...
Phil is back!
Tell a friend!
Guess who's back?
Guess who's back?
Guess who's back?
Guess who's back?
Guess who's back?
Guess who's back?
Guess who's back?
Na na na... !
On n'a pas vraiment Internet – mais c'est que y'a un zouf qui a un wireless qui n'est pas sécurisé, et comble de malheur, faute de sens moral, je me connecte périodiquement pour faire des trucs, comme regarder mes messages et les notes (qui tardent à rentrer d'ailleurs).
Je me demandais combien de temps que je devrais laisser le blog aux mains d'Axel. Quoique ses articles soient « passables » (ils sont excellents), ils sont vraiment trop fréquents (rares) pour que ça puisse durer plus longtemps. Chaque jour, vous venez ici, et vous vous dites FUCK NON NON FUCK... et vous contemplez sûrement même le suicide quelques instants, parce que vous n'avez pas eu votre dose de voyeurisme dans la vie privée de quelqu'un parce qu'Axel est pas capable d'écrire assez souvent. Donc, puisque l'école recommence demain, je pense que ça pourrait bien coïncider avec mon retour (tant attendu).
Axel m'a donné la septième saison de Friends comme cadeau! (Que de gentillesse, et il me connaît bien en s'il vous plaît). Il a mentionné que je ne lui avais toujours pas donné son cadeau, et c'est vrai, mais je le cherche encore... la dernière fois que je l'ai cherché, c'est-à-dire jeudi, il n'était plus en stock. Ça va venir, patiente.
Le déménagement... comment s'est passé le déménagement. Relativement bien je suppose. On a pris les trucs fuckés à Saint-Jean-Baptiste (par fuckés j'entends chiants), genre divan, mini-laveuse, mini-sècheuse, frigidaire. Après on est allé à Longueuil pour aller chercher nos trucs de chez nous (toute la marde qu'on avait là... manuels d'école, matelas, cochonneries de mon bureau, ces choses-là). Il fallut aussi qu'on revienne le lendemain matin à Longueuil pour « finaliser » (on avait vraiment trop de choses pour faire tout ça en un seul voyage). C'est également là qu'on a transporté Minou jusqu'ici.
On l'a mise dans une boîte (sans fermer le dessus), et Patrick a tenu la boîte pendant tout le voyage. Elle faisait ce qu'il se plaît à appeler de la « dissociation » (en gros, elle fixait les murs de la boîte et ne bougeait pas). C'est ça qu'elle fait quand elle a peur il faut croire, parce que périodiquement du monde vient ici (notamment mes parents), et chaque fois elle va se cacher sous une couverture et elle se « dissocie » (en mathématiques, je suppose qu'on pourrait presque dire qu'elle se dérive).
Elle vient souvent se coucher sur le divan quand j'écoute un film. Elle dort souvent dans ma chambre sur une pile de linge, un peu comme elle faisait à Longueuil. Elle sait où est sa litière et son manger et ces trucs-là, mais c'est quand même un chat, et non pas un chien.
Patrick a commencé à être malade drette la soirée où on est arrivé, et il a passé la très grande partie des vacances chez Valérie (ou en tout cas, ailleurs), ce qui signifie que j'ai été seul tout le long, tel un loup... seul... ben en tout cas, j'étais seul souvent tout le temps. Olivier est souvent venu chez nous, alors c'était déjà moins pire. Et j'ai écouté beaucoup les Friends qu'Axel m'a donnés, ainsi que plusieurs films. Et il y avait beaucoup de trucs à faire dans l'appartement, des cochonneries à acheter, des affaires de même...
On a eu beaucoup de problèmes avec la laveuse et la sècheuse. Chaque fois que mon père venait, il manquait toujours un fil ou le fil était trop court ou quelque chose du genre, et on ne pouvait pas aller en acheter parce que tout était fermé, parce que naturellement que toute cette marde-là devait arriver vers le jour de l'an (ç'aurait pas pu arriver un autre jour, parce que ç'aurait été moins pire).
Pour ma fête (le 31 décembre... y'a pas eu un osti de chien qui m'a écrit un message, sauf genre Simon-Alexandre), ainsi que celle de Patrick (j'ai-tu vraiment besoin de l'expliquer celle-là ?), on est allé au New Port, qui est un méga buffet à Brossard (« on » étant Patrick, Valérie, Olivier et moi). C'était bon, et j'ai mangé comme un Éthiopien qui se trouve devant une caverne de blé et qui sait qu'il ne pourra pas revenir bientôt.
C'est pas mal tout ce qui vaut la peine d'être mentionné j'ai l'impression.
Comment prends-je la vie en appartement? Ah, la question. C'est le fun, étonnamment... beaucoup de solitude (enfin!), je peux m'acheter ce que je veux pour manger (ben... c'est pas le luxe là... je me suis acheté un sac de carottes, un méga sac économique de viande froide, du pain, du beurre de pinottes, des cannes, ...) (28$ de manger!), je m'amuse périodiquement à faire du ménage, à acheter des trucs qui manquent, ce type de responsabilités que je n'ai jamais vraiment eu avant. Mais bon... ça gruge un compte de banque.
Il y a un Métro, une SAQ, un McDonald's, un restaurant quelconque, un club vidéo, un Uniprix, et un magasin à 1$ vraiment près de chez nous, sans compter le Couche-Tard (un essentiel).
Ça me prend grosso-modo 20 minutes à pieds me rendre au métro Honoré-Beaugrand à partir de chez nous, ce qui signifie que ça se fait très bien. Au pire, il y a un bus qui passe très près de chez nous et qui passe devant... au pire.
Toujours pas de téléphone, toujours pas d'Internet (sauf celui du zouf). Aucune idée ce qu'on va faire avec ça...
1 commentaire:
Moi j'aime les marinades.
T'as jamais pensé acheter un méga pot de cornichons/oignons marinés?
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