Tantôt, Nicolas m'a donné openSUSE 10.3 (!).
J'ai déjà eu openSUSE 10.1 quand je suis arrivé à Longueuil il y a de cela plus d'un an maintenant, et je l'avais aimé un peu (quoique beaucoup moins que Fedora)... ça avait fait changement. Je l'avais acheté dans une revue de Linux qui était écrite par des Polonais, et dont le français me faisait vomir à chaque phrase (et c'était assez débile aussi... dans un article, il y avait la chose suivante: (phrase incompréhensible) Je ne comprends pas cette phrase. (suite de l'article)). En tout cas, tout ça pour dire que ça faisait pitié.
Quand le 10.3 est sorti, j'ai demandé à Axel qu'il me le télécharge, mais handicapé comme il est, il n'a jamais réussi (il est handicapé avec les ordinateurs... c'est même pas drôle). Mais ça n'avait pas marché. Et là aujourd'hui, Nicolas me l'a donné (fin finalement, quelqu'un qui sait vraiment ce que je veux dans la vie).
J'ai donc formatté mon "vieux" Linux (Fedora 7 avec un noyau désuet, mais sous lequel ma carte réseau sans-fil fonctionnait encore), et j'ai installé openSUSE... simplement pour le regretter. Pourquoi ai-je regretté ? Parce que ça fait extrêmement "bonbon". Oh, certes... c'était vraiment, vraiment beau. Y'ont genre mis le paquet sur l'aspect graphique. Mais il y a une sorte de relation empirique que l'on peut déterminer quand vient le temps d'évaluer l'aspect bonbon d'un système d'opération: l'aisance d'utilisation décroît proportionnellement à la croissance de l'aspect bonbon. Ou, pour les mélangés: plus c'est beau, moins c'est facile à utiliser. Parce que tout est caché derrière des menus magiques qui chantent la bamba dès que tu cliques dessus, entre autres. Ou parce que les applications sont si bien cachées que même dans un terminal tu ne les trouves pas.
J'ai donc formatté mon vieux nouveau Linux, et j'ai installé Fedora 8, que Nicolas (encore, oui...) m'avait donné genre en novembre ou en décembre, et que je n'avais jamais touché, notamment à cause d'Internet.
Je l'ai déjà dit, et je le redis: je suis un inconditionnel de Fedora. J'ai essayé, entre autres, Debian, openSUSE (plusieurs versions), Ubuntu (plusieurs versions), mais Fedora reste celle que j'ai toujours préférée. J'ai eu Fedora 4, puis 5, puis 6, puis 7, ... puis 8... en tout cas, on comprend le principe.
Oh. Ma carte réseau ne fonctionne toujours pas (mais je vais y travailler je suppose). De toute manière, puisqu'on n'a pas vraiment encore Internet, je ne téléchargerai rien, et donc ma belle machine Linux restera légèrement nue pendant quelque temps. Mais en ce qui a trait à la bureautique, c'est-à-dire rédaction de documents (que ce soit en LaTeX ou en Writer (Word...)), ou bien d'utilisation d'un tableur (Excel...), Linux reste mon choix numéro 1 (notamment pour sa stabilité... ça ne m'est jamais arrivé de perdre un document sur lequel je travaillais dans Linux parce que ça plante... tandis que dans Windows... en tout cas, des histoires d'horreur, on en a tous à raconter, et franchement, c'est moi le plus important au monde, alors vous ne m'intéressez pas ben ben... faaaaaque....).
J'ai fait 21 numéros (!) d'une leçon pour un examen que je ne touche presque jamais (mathématiques actuarielles). Il m'en reste encore 21... et je commence à être fatigué. Ça fait deux heures (un peu plus) que je fais ça, et un moment donné, le cerveau commence à rusher. J'ai eu de la misère à dériver une fonction polynomiale (ouais, sans farce... c'était une fonction de survie vraiment douce, et j'ai pas été foutu de la dériver). Mais je me suis armé de caféine, et j'ai bien l'intention d'essayer de faire les 21 autres exercices ce soir...
Après, je vais jouer aux échecs à Chessmaster X, en rêvant du jour où CMXI sera disponible chez Futureshop et qu'on me le livrera.
J'ai déjà eu openSUSE 10.1 quand je suis arrivé à Longueuil il y a de cela plus d'un an maintenant, et je l'avais aimé un peu (quoique beaucoup moins que Fedora)... ça avait fait changement. Je l'avais acheté dans une revue de Linux qui était écrite par des Polonais, et dont le français me faisait vomir à chaque phrase (et c'était assez débile aussi... dans un article, il y avait la chose suivante: (phrase incompréhensible) Je ne comprends pas cette phrase. (suite de l'article)). En tout cas, tout ça pour dire que ça faisait pitié.
Quand le 10.3 est sorti, j'ai demandé à Axel qu'il me le télécharge, mais handicapé comme il est, il n'a jamais réussi (il est handicapé avec les ordinateurs... c'est même pas drôle). Mais ça n'avait pas marché. Et là aujourd'hui, Nicolas me l'a donné (fin finalement, quelqu'un qui sait vraiment ce que je veux dans la vie).
J'ai donc formatté mon "vieux" Linux (Fedora 7 avec un noyau désuet, mais sous lequel ma carte réseau sans-fil fonctionnait encore), et j'ai installé openSUSE... simplement pour le regretter. Pourquoi ai-je regretté ? Parce que ça fait extrêmement "bonbon". Oh, certes... c'était vraiment, vraiment beau. Y'ont genre mis le paquet sur l'aspect graphique. Mais il y a une sorte de relation empirique que l'on peut déterminer quand vient le temps d'évaluer l'aspect bonbon d'un système d'opération: l'aisance d'utilisation décroît proportionnellement à la croissance de l'aspect bonbon. Ou, pour les mélangés: plus c'est beau, moins c'est facile à utiliser. Parce que tout est caché derrière des menus magiques qui chantent la bamba dès que tu cliques dessus, entre autres. Ou parce que les applications sont si bien cachées que même dans un terminal tu ne les trouves pas.
J'ai donc formatté mon vieux nouveau Linux, et j'ai installé Fedora 8, que Nicolas (encore, oui...) m'avait donné genre en novembre ou en décembre, et que je n'avais jamais touché, notamment à cause d'Internet.
Je l'ai déjà dit, et je le redis: je suis un inconditionnel de Fedora. J'ai essayé, entre autres, Debian, openSUSE (plusieurs versions), Ubuntu (plusieurs versions), mais Fedora reste celle que j'ai toujours préférée. J'ai eu Fedora 4, puis 5, puis 6, puis 7, ... puis 8... en tout cas, on comprend le principe.
Oh. Ma carte réseau ne fonctionne toujours pas (mais je vais y travailler je suppose). De toute manière, puisqu'on n'a pas vraiment encore Internet, je ne téléchargerai rien, et donc ma belle machine Linux restera légèrement nue pendant quelque temps. Mais en ce qui a trait à la bureautique, c'est-à-dire rédaction de documents (que ce soit en LaTeX ou en Writer (Word...)), ou bien d'utilisation d'un tableur (Excel...), Linux reste mon choix numéro 1 (notamment pour sa stabilité... ça ne m'est jamais arrivé de perdre un document sur lequel je travaillais dans Linux parce que ça plante... tandis que dans Windows... en tout cas, des histoires d'horreur, on en a tous à raconter, et franchement, c'est moi le plus important au monde, alors vous ne m'intéressez pas ben ben... faaaaaque....).
J'ai fait 21 numéros (!) d'une leçon pour un examen que je ne touche presque jamais (mathématiques actuarielles). Il m'en reste encore 21... et je commence à être fatigué. Ça fait deux heures (un peu plus) que je fais ça, et un moment donné, le cerveau commence à rusher. J'ai eu de la misère à dériver une fonction polynomiale (ouais, sans farce... c'était une fonction de survie vraiment douce, et j'ai pas été foutu de la dériver). Mais je me suis armé de caféine, et j'ai bien l'intention d'essayer de faire les 21 autres exercices ce soir...
Après, je vais jouer aux échecs à Chessmaster X, en rêvant du jour où CMXI sera disponible chez Futureshop et qu'on me le livrera.