Il y a quelques semaines, je me suis dit que je pourrais lire un roman (à temps perdu). J'ai relu L'Alchimiste, mais comme je l'avais déjà lu avant (et plus d'une fois), c'était moins le fun.
De plus, je me suis toujours dit que je voudrais lire Nineteen Eighty-Four (1984). En fait, c'est un roman que j'aurais dû lire au cégep en anglais, mais pour une raison que j'oublie, je ne l'ai pas fait. Probablement que j'étais allé sur Internet et que j'avais pogné des résumés. C'est vraiment sans importance... tout ça pour dire que je croyais avoir ce roman-là en anglais quelque part. La dernière fois que j'étais allé à Saint-Jean-Baptiste, j'avais vérifié rapidement dans mes trucs restants au sous-sol, sans succès. Ici, j'ai aussi vérifié dans des boîtes dans ma garde-robes, toujours sans succès. Aussi, depuis à peu près un an, j'avais pris l'habitude de voir s'il était à vendre dans les endroits où j'allais (notamment systématiquement dans les librairies). Je ne l'ai jamais acheté parce qu'il tournait toujours alentour de 15$ et que 15$ c'est trop pour quelqu'un de gratteux comme moi. Finalement, j'ai essayé de le trouver à la bibliothèque nationale à deux reprises, toujours sans succès (jamais disponible, trop lâche pour le réserver).
La raison pourquoi je veux le lire c'est que c'est un classique (1), que ça traite de socialisme (bah, de totalitarisme plutôt, avec les thoughtcrimes et autres concepts assez totalitaires... mais socialisme quand même) (2), et que c'est une dystopie (versus utopie) (3). J'ai toujours cru que ça manquait à ma culture (comme Les Fourmis, par exemple, mais ça c'est une autre histoire). En tout cas.
Donc tout ça, si vous avez bien lu, c'est échelonné sur au moins un an. Un an que je cherchais une fois de temps en temps à la librairie, dans mes affaires, à la bibliothèque nationale. L'autre jour, quand Nicolas était venu ici et que Patrick et Nicolas étaient en train de jouer au PlayStation, je perdais mon temps à flatter minou près de la bibliothèque.
Je me lève les yeux, et que vois-je ?
Aucune idée d'où il vient. Aucune idée depuis quand il est là. Et aucune idée comment j'ai pu ne pas le voir autant de fois.
Il n'y a pas plus tête en l'air que moi.
De plus, je me suis toujours dit que je voudrais lire Nineteen Eighty-Four (1984). En fait, c'est un roman que j'aurais dû lire au cégep en anglais, mais pour une raison que j'oublie, je ne l'ai pas fait. Probablement que j'étais allé sur Internet et que j'avais pogné des résumés. C'est vraiment sans importance... tout ça pour dire que je croyais avoir ce roman-là en anglais quelque part. La dernière fois que j'étais allé à Saint-Jean-Baptiste, j'avais vérifié rapidement dans mes trucs restants au sous-sol, sans succès. Ici, j'ai aussi vérifié dans des boîtes dans ma garde-robes, toujours sans succès. Aussi, depuis à peu près un an, j'avais pris l'habitude de voir s'il était à vendre dans les endroits où j'allais (notamment systématiquement dans les librairies). Je ne l'ai jamais acheté parce qu'il tournait toujours alentour de 15$ et que 15$ c'est trop pour quelqu'un de gratteux comme moi. Finalement, j'ai essayé de le trouver à la bibliothèque nationale à deux reprises, toujours sans succès (jamais disponible, trop lâche pour le réserver).
La raison pourquoi je veux le lire c'est que c'est un classique (1), que ça traite de socialisme (bah, de totalitarisme plutôt, avec les thoughtcrimes et autres concepts assez totalitaires... mais socialisme quand même) (2), et que c'est une dystopie (versus utopie) (3). J'ai toujours cru que ça manquait à ma culture (comme Les Fourmis, par exemple, mais ça c'est une autre histoire). En tout cas.
Donc tout ça, si vous avez bien lu, c'est échelonné sur au moins un an. Un an que je cherchais une fois de temps en temps à la librairie, dans mes affaires, à la bibliothèque nationale. L'autre jour, quand Nicolas était venu ici et que Patrick et Nicolas étaient en train de jouer au PlayStation, je perdais mon temps à flatter minou près de la bibliothèque.
Je me lève les yeux, et que vois-je ?
Aucune idée d'où il vient. Aucune idée depuis quand il est là. Et aucune idée comment j'ai pu ne pas le voir autant de fois.
Il n'y a pas plus tête en l'air que moi.
2 commentaires:
Tu vois, on a toujours tendance à chercher le bonheur très loin de nous, c'est un pensez-y bien...
Fais toi en pas mon gars , ça fait plusieurs fois (eh oui) que j'achète ou loue des films que j'ai déjà...
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