En janvier dernier (voir Cicatrice & Rhume), je parlais du fait que j'allais regarder le film Love Actually, un film anglais qui a fait beaucoup d'argent (il me semble avoir lu quelque part que c'est le deuxième film en termes d'argent fait après l'excellent Four weddings and a funeral... ou peut-être un peu plus en termes nominaux que ce dernier, mais anyway, ce n'est pas si important). L'affaire, c'est que APPAREMMENT je n'en ai jamais reparlé (j'ai cherché et cherché, principalement grâce à Google, et j'ai absolument rien trouvé). Je croyais en avoir reparlé par contre... alors bon, ça se peut très bien que ce soit la deuxième fois que j'en parle, et j'en suis désolé si c'est le cas.
Je vous raconte un peu l'histoire. Il y a en fait 8 ou 9 histoires "d'amour" en même temps (ce n'est pas vraiment de l'amour dans beaucoup de cas... le film se vante de toucher à "plusieurs aspects" de l'amour, ce qui inclut notamment l'amitié & ces choses-là).
Le fait qu'il y ait tant d'histoires en même temps a deux effets principaux:
Les histoires ne sont pas toutes heureuses, pas toutes tristes. Ce qui fait qu'au bout du compte on trouve le bonheur dans au moins une histoire (on peut espérer en tout cas).
Il y a deux histoires que j'ai particulièrement aimées. La première c'est avec Hugh Grant (que tout le monde connaît) et Martine McCutcheon qui est, soit dit en passant, vraiment jolie. Grant est le premier ministre de l'Angleterre, et elle fait genre partie de son personnel (Grant est nouvellement élu... sur la photo en bas, c'est lors de leur rencontre initiale).
Justement, cette rencontre-là est vraiment drôle. Elle est stressée un peu, et elle dit des gros mots (je pense que elle dit "fuck" dans les premières phrases ou quelque chose du genre). Là l'autre rit, ce à quoi elle répond "I didn't know I would fuck up on the first day". Pour combler le tout, la phrase d'après c'est genre "Shit, I did it again". En tout cas, c'est très drôle.
Cette histoire-là est drôle aussi parce que Grant est gêné de lui parler, mais il fait toutes sortes de petites affaires pour essayer de la charmer, mais il est on ne peut plus maladroit. Il s'en rend d'ailleurs compte habituellement aussitôt après.
Tout ça se termine bien.
La deuxième histoire, c'est avec la plantureuse ROUSSE Laura Linney (elle est américaine, et non pas anglaise).
Elle essaie de charmer un de ses collègues qui s'appelle "Karl". Ça marche au point où elle est capable de le ramener chez elle (GO GIRL!!). Malheureusement, elle a un frère qui souffre d'un handicap mental quelconque, et c'est pas mal la seule (à ce qu'on peut comprendre) qui s'occupe de lui (il est hébergé dans un centre, mais il l'appelle tout le temps). Évidemment, sans que ça prenne trop de temps, leur soirée est coupée à cause de ça parce qu'il veut qu'elle aille le voir à son centre (ou whatever).
L'histoire est assez triste, parce qu'on comprend assez bien pourquoi elle est célibataire. La dernière fois qu'on la voit dans le film, elle travaillait la veille de Noël (Karl aussi, et ce sont probablement les deux seuls qu'il reste). Karl lui dit au revoir, et elle aussi. Une fois qu'il est parti, elle se met à pleurer en prenant le téléphone, et quand l'autre personne répond (c'est son frère), elle fait semblant qu'elle ne pleure pas et elle lui demande s'il s'amuse à son centre vu c'est la veille de Noël.
Ironiquement, c'est la veille de Noël pour elle aussi, et c'est assez évident qu'elle n'a absolument rien de prévu (elle est encore au travail), et on devine qu'elle passera probablement toute sa vie dans cette situation-là, simplement parce qu'elle a "le fardeau" (par obligation ou par volonté) de s'occuper de son frère.
En tout cas, je pense que juste pour cette scène-là, qui dure genre 30 secondes, le film vaut la peine.
En passant, j'ai trouvé qu'elle jouait son rôle à merveille.
POUR CONCLURE, je recommande de voir le film au moins une fois dans sa vie, mais "rien ne presse". Quoique j'aie aimé et que le film soit quand même bon, j'ai bien de la misère à concevoir que le film ait TANT pogné que ça.
Mais bon... j'aime, et je recommande.
Je vous raconte un peu l'histoire. Il y a en fait 8 ou 9 histoires "d'amour" en même temps (ce n'est pas vraiment de l'amour dans beaucoup de cas... le film se vante de toucher à "plusieurs aspects" de l'amour, ce qui inclut notamment l'amitié & ces choses-là).
Le fait qu'il y ait tant d'histoires en même temps a deux effets principaux:
- C'est parfois difficile à suivre. En fait, les histoires sont toutes linéaires individuellement, mais comme elles s'entrecoupent durant tout le film, on finit par oublier qui fait quoi, qui a dit quoi, qu'est-ce qui s'est passé la dernière fois, etc.;
- Ironiquement, ça fait que le film est assez "léger" je trouve. On ne peut pas s'attendre des gens qui regardent le film de se rappeler d'absolument tout, et de ce fait les histoires restent relativement simples, et on comprend assez vite pour chacune d'elles c'est quoi le "but" de l'histoire.
Les histoires ne sont pas toutes heureuses, pas toutes tristes. Ce qui fait qu'au bout du compte on trouve le bonheur dans au moins une histoire (on peut espérer en tout cas).
Il y a deux histoires que j'ai particulièrement aimées. La première c'est avec Hugh Grant (que tout le monde connaît) et Martine McCutcheon qui est, soit dit en passant, vraiment jolie. Grant est le premier ministre de l'Angleterre, et elle fait genre partie de son personnel (Grant est nouvellement élu... sur la photo en bas, c'est lors de leur rencontre initiale).
Justement, cette rencontre-là est vraiment drôle. Elle est stressée un peu, et elle dit des gros mots (je pense que elle dit "fuck" dans les premières phrases ou quelque chose du genre). Là l'autre rit, ce à quoi elle répond "I didn't know I would fuck up on the first day". Pour combler le tout, la phrase d'après c'est genre "Shit, I did it again". En tout cas, c'est très drôle.
Cette histoire-là est drôle aussi parce que Grant est gêné de lui parler, mais il fait toutes sortes de petites affaires pour essayer de la charmer, mais il est on ne peut plus maladroit. Il s'en rend d'ailleurs compte habituellement aussitôt après.
Tout ça se termine bien.
La deuxième histoire, c'est avec la plantureuse ROUSSE Laura Linney (elle est américaine, et non pas anglaise).
Elle essaie de charmer un de ses collègues qui s'appelle "Karl". Ça marche au point où elle est capable de le ramener chez elle (GO GIRL!!). Malheureusement, elle a un frère qui souffre d'un handicap mental quelconque, et c'est pas mal la seule (à ce qu'on peut comprendre) qui s'occupe de lui (il est hébergé dans un centre, mais il l'appelle tout le temps). Évidemment, sans que ça prenne trop de temps, leur soirée est coupée à cause de ça parce qu'il veut qu'elle aille le voir à son centre (ou whatever).
L'histoire est assez triste, parce qu'on comprend assez bien pourquoi elle est célibataire. La dernière fois qu'on la voit dans le film, elle travaillait la veille de Noël (Karl aussi, et ce sont probablement les deux seuls qu'il reste). Karl lui dit au revoir, et elle aussi. Une fois qu'il est parti, elle se met à pleurer en prenant le téléphone, et quand l'autre personne répond (c'est son frère), elle fait semblant qu'elle ne pleure pas et elle lui demande s'il s'amuse à son centre vu c'est la veille de Noël.
Ironiquement, c'est la veille de Noël pour elle aussi, et c'est assez évident qu'elle n'a absolument rien de prévu (elle est encore au travail), et on devine qu'elle passera probablement toute sa vie dans cette situation-là, simplement parce qu'elle a "le fardeau" (par obligation ou par volonté) de s'occuper de son frère.
En tout cas, je pense que juste pour cette scène-là, qui dure genre 30 secondes, le film vaut la peine.
En passant, j'ai trouvé qu'elle jouait son rôle à merveille.
POUR CONCLURE, je recommande de voir le film au moins une fois dans sa vie, mais "rien ne presse". Quoique j'aie aimé et que le film soit quand même bon, j'ai bien de la misère à concevoir que le film ait TANT pogné que ça.
Mais bon... j'aime, et je recommande.
1 commentaire:
<< POUR CONCLURE, je recommande de voir le film au moins une fois dans sa vie, mais "rien ne presse". >>
LOL
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