lundi 30 novembre 2009
mardi 24 novembre 2009
lundi 23 novembre 2009
Continuation de mes modules
Bon, je ne sais pas si vous savez, mais depuis cet été mes modules ont pris le bord. Après le Interim Assessment, ça m'a pris une éternité pour commencer le module 6. Puis après le module 6, plus rien. En fait, je n'ai rien fait depuis le mois d'août je crois.
L'affaire là, c'est qu'il y a du monde à la job qui veulent passer le Final Assessment (pour devenir associé) en décembre (vers le milieu du mois). L'une des personnes m'a invité à me joindre à elles (ce sont toutes des filles), alors j'ai accepté, en sachant très bien que ça allait me forcer à terminer mes modules rapidement (bonne nouvelle je suppose).
Cela dit, je dois donc terminer mon module 7 (qui est l'avant-dernier) avant la mi-décembre (le module 8 n'a pas d'exercice réel à remettre, sauf bien entendu le Final Assessment). Il n'a pas l'air si pire pour l'instant, mais surtout, comme il est divisé en mini-tâches, je crois que je vais essayer de me fixer des échéanciers pour chacune des tâches.
Comme la première est simple, je veux la faire... demain!
En tout cas... si tout va bien, d'ici la fin de l'année, j'aurai tout fait ce que je dois faire pour devenir associé. Après, ce sera un waiting game pour voir si je passe tout.
L'affaire là, c'est qu'il y a du monde à la job qui veulent passer le Final Assessment (pour devenir associé) en décembre (vers le milieu du mois). L'une des personnes m'a invité à me joindre à elles (ce sont toutes des filles), alors j'ai accepté, en sachant très bien que ça allait me forcer à terminer mes modules rapidement (bonne nouvelle je suppose).
Cela dit, je dois donc terminer mon module 7 (qui est l'avant-dernier) avant la mi-décembre (le module 8 n'a pas d'exercice réel à remettre, sauf bien entendu le Final Assessment). Il n'a pas l'air si pire pour l'instant, mais surtout, comme il est divisé en mini-tâches, je crois que je vais essayer de me fixer des échéanciers pour chacune des tâches.
Comme la première est simple, je veux la faire... demain!
En tout cas... si tout va bien, d'ici la fin de l'année, j'aurai tout fait ce que je dois faire pour devenir associé. Après, ce sera un waiting game pour voir si je passe tout.
vendredi 20 novembre 2009
Bilan de la première semaine
Nicolas m'a demandétweet quel était le bilan de ma première semaine... alors je vais faire ça rapidement, question d'apaiser son âme.
Comme j'ai dit tout au long de la semaine à quiconque me demandait, tout ce que j'ai eu pendant toute la semaine ce sont des formations à n'en plus finir. Ce n'est vraiment pas l'idéal pour se faire une idée juste de ce qui m'attend.
Hormis tout ça, d'autres considérations viennent à l'esprit et ne dépendent pas réellement de la nature de mes tâches de la semaine qui vient de terminer. Parlons par exemple de mon équipe immédiate, de mon environnement de travail, ces choses-là. Pour le moment, pour le peu d'information que j'ai de cette grosse sphère qu'est ma nouvelle vie, je vous dirais que je m'y plais beaucoup. Les gens sont extrêmement sympathiques, et ils ont l'air très contents que je me sois joint à eux (notamment parce que Simon m'a créé une image de Dieu de l'informatique, mais ça ce n'est pas nécessairement positif parce que les attentes sont très élevées et qu'on me place a priori sur un piédestal).
Quand j'avais passé mon entrevue, une des raisons pour lesquelles je ne pensais pas avoir une chance c'était parce que la femme qui était en actuariat n'avait pas du tout l'air de m'aimer, et avait l'air très peu impressionnée par tout ce que je disais. Au courant de la semaine, j'ai eu l'occasion de la revoir dans le cadre d'une formation. J'ai eu le plaisir d'avoir l'impression qu'il n'en était rien. Elle m'a dit qu'elle était vraiment désolée de tout le temps que ça avait pris pour m'offrir un emploi, c'est qu'elle me voyait plus "technique" que les autres et elle savait qu'un poste allait se libérer bientôt, alors elle attendait pour m'offrir celui-là, pour être sûr que je ne m'ennuie pas et que j'aie toujours des défis (j'utilise ses mots).
En somme, en rajoutant le fait que tout le monde dans l'équipe me dit qu'ils sont contents que je sois arrivé, ça fait un petit velours. En tout cas, je me sens déjà un peu à ma place, en oubliant que je n'ai absolument rien fait en termes de vraie job.
Bon, pas "rien" là... mais très peu. En fait, j'ai passé l'après-midi avec une fille qui m'a montré comment faire une validation de quelque chose qu'il faut faire sur base quotidienne et qui est partagé parmi plusieurs personnes dans l'équipe. Au début, je risque de faire ça assez souvent. On a passé l'après-midi à faire ça (environ 2h00 ou 2h30), et croyez-moi, ça n'a pas l'air amusant. Elle a dit que quelqu'un d'habitué, allant avec la situation, ça peut lui prendre entre 1h30 et 2h30 à faire (et faut faire ça sur base quotidienne!!). Moi, elle m'a dit que ça devrait me prendre au moins 4 heures. Lundi, je suis supposé faire une seule validation, et mardi je devrais en faire une autre.
En tout cas, tout ça pour dire que D'APRÈS MOI, la semaine prochaine je vais commencer "pour vrai".
Ça m'inquiète un peu, évidemment, pour toutes les raisons usuelles. J'espère vraiment être capable de faire la job correctement. J'espère faire l'affaire, c'est pas mal ça... J'ai parlé de mes "inquiétudes" (si c'en est), et on dirait que tout le monde me trouve ridicule de m'en faire (vous voyez, c'est là où le piédestal me cause des problèmes).
En tout cas, je verrai bien... mais tout ça pour dire que, d'après moi, la semaine prochaine va être une meilleure semaine pour me faire une idée à long terme. Je vous tiendrai donc au courant, probablement plus vers la fin de la semaine prochaine qu'au début.
Comme j'ai dit tout au long de la semaine à quiconque me demandait, tout ce que j'ai eu pendant toute la semaine ce sont des formations à n'en plus finir. Ce n'est vraiment pas l'idéal pour se faire une idée juste de ce qui m'attend.
Hormis tout ça, d'autres considérations viennent à l'esprit et ne dépendent pas réellement de la nature de mes tâches de la semaine qui vient de terminer. Parlons par exemple de mon équipe immédiate, de mon environnement de travail, ces choses-là. Pour le moment, pour le peu d'information que j'ai de cette grosse sphère qu'est ma nouvelle vie, je vous dirais que je m'y plais beaucoup. Les gens sont extrêmement sympathiques, et ils ont l'air très contents que je me sois joint à eux (notamment parce que Simon m'a créé une image de Dieu de l'informatique, mais ça ce n'est pas nécessairement positif parce que les attentes sont très élevées et qu'on me place a priori sur un piédestal).
Quand j'avais passé mon entrevue, une des raisons pour lesquelles je ne pensais pas avoir une chance c'était parce que la femme qui était en actuariat n'avait pas du tout l'air de m'aimer, et avait l'air très peu impressionnée par tout ce que je disais. Au courant de la semaine, j'ai eu l'occasion de la revoir dans le cadre d'une formation. J'ai eu le plaisir d'avoir l'impression qu'il n'en était rien. Elle m'a dit qu'elle était vraiment désolée de tout le temps que ça avait pris pour m'offrir un emploi, c'est qu'elle me voyait plus "technique" que les autres et elle savait qu'un poste allait se libérer bientôt, alors elle attendait pour m'offrir celui-là, pour être sûr que je ne m'ennuie pas et que j'aie toujours des défis (j'utilise ses mots).
En somme, en rajoutant le fait que tout le monde dans l'équipe me dit qu'ils sont contents que je sois arrivé, ça fait un petit velours. En tout cas, je me sens déjà un peu à ma place, en oubliant que je n'ai absolument rien fait en termes de vraie job.
Bon, pas "rien" là... mais très peu. En fait, j'ai passé l'après-midi avec une fille qui m'a montré comment faire une validation de quelque chose qu'il faut faire sur base quotidienne et qui est partagé parmi plusieurs personnes dans l'équipe. Au début, je risque de faire ça assez souvent. On a passé l'après-midi à faire ça (environ 2h00 ou 2h30), et croyez-moi, ça n'a pas l'air amusant. Elle a dit que quelqu'un d'habitué, allant avec la situation, ça peut lui prendre entre 1h30 et 2h30 à faire (et faut faire ça sur base quotidienne!!). Moi, elle m'a dit que ça devrait me prendre au moins 4 heures. Lundi, je suis supposé faire une seule validation, et mardi je devrais en faire une autre.
En tout cas, tout ça pour dire que D'APRÈS MOI, la semaine prochaine je vais commencer "pour vrai".
Ça m'inquiète un peu, évidemment, pour toutes les raisons usuelles. J'espère vraiment être capable de faire la job correctement. J'espère faire l'affaire, c'est pas mal ça... J'ai parlé de mes "inquiétudes" (si c'en est), et on dirait que tout le monde me trouve ridicule de m'en faire (vous voyez, c'est là où le piédestal me cause des problèmes).
En tout cas, je verrai bien... mais tout ça pour dire que, d'après moi, la semaine prochaine va être une meilleure semaine pour me faire une idée à long terme. Je vous tiendrai donc au courant, probablement plus vers la fin de la semaine prochaine qu'au début.
jeudi 19 novembre 2009
Chauffage absent
Bon ben j'en ai plein mon casque.
Le chauffage marche pas. À chaque année, on a plein de problèmes avec le chauffage, mais là ça commence à tanner parce que ça fait longtemps que ça dure.
Il y a quelques jours, ce n'était pas si pire que ça parce qu'il ne faisait pas si froid que ça. Mais là, hier et aujourd'hui, avec des températures qui tombent régulièrement en dessous de 0, ça commence à faire vraiment frette.
Parlant de ça, le propriétaire ne nous a pas encore fait signer notre bail, qui expire fin novembre (donc bientôt).
Le chauffage marche pas. À chaque année, on a plein de problèmes avec le chauffage, mais là ça commence à tanner parce que ça fait longtemps que ça dure.
Il y a quelques jours, ce n'était pas si pire que ça parce qu'il ne faisait pas si froid que ça. Mais là, hier et aujourd'hui, avec des températures qui tombent régulièrement en dessous de 0, ça commence à faire vraiment frette.
Parlant de ça, le propriétaire ne nous a pas encore fait signer notre bail, qui expire fin novembre (donc bientôt).
mardi 17 novembre 2009
Première & deuxième journées
Désolé pour mes fidèles disciples, je vous ai probablement laissés sur votre soif hier soir. Je me suis couché à 21h30 hier, lol...
Bon voilà, commençons par le pourquoi de mon non-écriture hier. Avant de commencer, Simon-Alexandre disait que j'aurais "une semaine complète de formation(s)", et évidemment, ne sachant rien, j'ai supposé qu'il avait exagéré un peu.
Mais non. En fait, j'ai des formations ou réunions à tous les jours, deux fois par jour pendant 3 jours et une fois par jour pendant 2 jours. C'est donc dire que je suis en formation pas mal tout le temps. À titre d'exemple, ce matin j'avais une "rencontre d'accueil" avec la femme que j'avais rencontrée en entrevue et elle nous a parlé de plein d'affaires (comment rentrer son temps, les vacances, les examens de la SOA, etc.). En après-midi, j'ai eu une formation à propos du logiciel qu'ils utilisent à l'interne.
La formation de l'après-midi dure toujours environ 3h30, et celle du matin environ 3h00. Entre-temps, je dois trouver le temps de manger, et surtout de faire toutes les affaires que je ferais si j'avais du temps libre. Comme par exemple: arranger ma signature, lire tous mes courriels (une quarantaine) d'informations de tous les genres, faire mon message sur ma boîte vocale (que je n'ai pas encore fait), lire les politiques de la compagnie concernant les vacances, arranger mon inscription pour le remboursement des examens de la SOA, etc. (etc. etc. etc.). En plus, aujourd'hui, j'ai reçu une série d'exercices à faire pour me pratiquer avec leur logiciel à l'interne. En tout cas... tout ça pour dire que je termine à 18h00 ces jours-ci, et que j'en ai par-dessus la tête. Éventuellement, je me ramasserai avec de quoi de plus régulier, mais en tout cas, cette semaine est assez chargée.
Cela dit, la question reste: quelles sont mes premières impressions? Et aime-je?
Bon, mentionnons que en arrivant j'ai reçu un sac en tissu, dans lequel il y avait une méga tasse à café thermos (YES!!), une sorte de frisbee bizarre, un truc qui semble servir à rien, etc. En tout cas, j'ai reçu des cadeaux!
En termes de politiques de compagnie, ç'a l'air d'être une excellente entreprise... et ça explique entre autres comment ils font pour maintenir une croissance aussi constante, et ce malgré la crise économique & ses conséquences. Il y a des affaires que je n'ai jamais vraiment rencontrées ailleurs... comme par exemple, ils ont un système de "mentorat", où chaque personne a un mentor qui lui sert essentiellement de "pont" entre elle-même et l'entreprise / la direction / whatever. Par exemple, c'est le mentor qui fait le suivi de ta carrière dans l'entreprise (évaluations de rendement, aide pour changer d'équipe ou travailler sur des projets différents, etc.). Mais surtout, comme le mentor n'est jamais dans la même équipe et qui est à toutes fins pratiques indépendant de tout ce que tu fais ("objectif"), il peut servir si on a un problème à l'intérieur de notre propre équipe et qu'on n'est pas à l'aise pour en parler face à face. C'est donc une oreille qui nous aide à être heureux dans l'entreprise. En tout cas, c'est très excellent comme idée je trouve.
Oh, il y a des machines à café. C'est gratuit. Et on parle pas juste de café hein... on parle de mokaccino et de cappuccino avec de la crème irlandaise, française, française et noisette, ... en tout cas. C'est vraiment de luxe. J'ai expérimenté aujourd'hui, et j'ai bien apprécié l'expérience. C'est à recommencer!
Pour l'instant, comme j'ai dit plus tôt, je n'ai rien à faire sauf des formations... alors je ne sais même pas en quoi consiste la job vraiment pour l'instant. Mais l'équipe est très sympathique, et ils ont hâte que je commence à travailler!
Bon, assez parlé pour ce soir... désolé si c'est pêle-mêle et bref et inutile et tout ça. J'ai trop de trucs à dire et c'est trop compliqué tout écrire dans un tout clair et concis, alors vous allez vous en passer pour l'instant!
(Mais à retenir: ouais, j'aime vraiment ça!)
Bon voilà, commençons par le pourquoi de mon non-écriture hier. Avant de commencer, Simon-Alexandre disait que j'aurais "une semaine complète de formation(s)", et évidemment, ne sachant rien, j'ai supposé qu'il avait exagéré un peu.
Mais non. En fait, j'ai des formations ou réunions à tous les jours, deux fois par jour pendant 3 jours et une fois par jour pendant 2 jours. C'est donc dire que je suis en formation pas mal tout le temps. À titre d'exemple, ce matin j'avais une "rencontre d'accueil" avec la femme que j'avais rencontrée en entrevue et elle nous a parlé de plein d'affaires (comment rentrer son temps, les vacances, les examens de la SOA, etc.). En après-midi, j'ai eu une formation à propos du logiciel qu'ils utilisent à l'interne.
La formation de l'après-midi dure toujours environ 3h30, et celle du matin environ 3h00. Entre-temps, je dois trouver le temps de manger, et surtout de faire toutes les affaires que je ferais si j'avais du temps libre. Comme par exemple: arranger ma signature, lire tous mes courriels (une quarantaine) d'informations de tous les genres, faire mon message sur ma boîte vocale (que je n'ai pas encore fait), lire les politiques de la compagnie concernant les vacances, arranger mon inscription pour le remboursement des examens de la SOA, etc. (etc. etc. etc.). En plus, aujourd'hui, j'ai reçu une série d'exercices à faire pour me pratiquer avec leur logiciel à l'interne. En tout cas... tout ça pour dire que je termine à 18h00 ces jours-ci, et que j'en ai par-dessus la tête. Éventuellement, je me ramasserai avec de quoi de plus régulier, mais en tout cas, cette semaine est assez chargée.
Cela dit, la question reste: quelles sont mes premières impressions? Et aime-je?
Bon, mentionnons que en arrivant j'ai reçu un sac en tissu, dans lequel il y avait une méga tasse à café thermos (YES!!), une sorte de frisbee bizarre, un truc qui semble servir à rien, etc. En tout cas, j'ai reçu des cadeaux!
En termes de politiques de compagnie, ç'a l'air d'être une excellente entreprise... et ça explique entre autres comment ils font pour maintenir une croissance aussi constante, et ce malgré la crise économique & ses conséquences. Il y a des affaires que je n'ai jamais vraiment rencontrées ailleurs... comme par exemple, ils ont un système de "mentorat", où chaque personne a un mentor qui lui sert essentiellement de "pont" entre elle-même et l'entreprise / la direction / whatever. Par exemple, c'est le mentor qui fait le suivi de ta carrière dans l'entreprise (évaluations de rendement, aide pour changer d'équipe ou travailler sur des projets différents, etc.). Mais surtout, comme le mentor n'est jamais dans la même équipe et qui est à toutes fins pratiques indépendant de tout ce que tu fais ("objectif"), il peut servir si on a un problème à l'intérieur de notre propre équipe et qu'on n'est pas à l'aise pour en parler face à face. C'est donc une oreille qui nous aide à être heureux dans l'entreprise. En tout cas, c'est très excellent comme idée je trouve.
Oh, il y a des machines à café. C'est gratuit. Et on parle pas juste de café hein... on parle de mokaccino et de cappuccino avec de la crème irlandaise, française, française et noisette, ... en tout cas. C'est vraiment de luxe. J'ai expérimenté aujourd'hui, et j'ai bien apprécié l'expérience. C'est à recommencer!
Pour l'instant, comme j'ai dit plus tôt, je n'ai rien à faire sauf des formations... alors je ne sais même pas en quoi consiste la job vraiment pour l'instant. Mais l'équipe est très sympathique, et ils ont hâte que je commence à travailler!
Bon, assez parlé pour ce soir... désolé si c'est pêle-mêle et bref et inutile et tout ça. J'ai trop de trucs à dire et c'est trop compliqué tout écrire dans un tout clair et concis, alors vous allez vous en passer pour l'instant!
(Mais à retenir: ouais, j'aime vraiment ça!)
dimanche 15 novembre 2009
vendredi 13 novembre 2009
Signature
Aujourd'hui, comme je marmonnais hier, j'allais signer mon contrat d'embauche.
J'arrive là-bas, j'ai un sac et mon manteau. Je peux mettre mon manteau "dans le vestiaire", qui n'était pas un vestiaire mais plutôt une garde-robes. C'est donc là que je l'ai mis. J'ai rencontré la petite madame et on a rempli plein de papiers ensemble dans une salle de conférence juste à côté de la réception (où je me suis présenté).
Est-ce que j'ai déjà été reconnu coupable de quelque chose de criminel qu'on ne m'a jamais pardonné, quelles sont mes adresses précédentes, est-ce que j'ai déjà rempli un formulaire semblable servant pour une enquête de la GRC, etc. Aussi des documents spécifiques à la compagnie, comme les politiques de confidentialité et d'utilisation de ressources informatiques ("quoi ne pas faire avec son ordinateur et son courriel").
J'ai appris qu'il y avait un gym là-bas! En fait, je peux aussi m'abonner à prix réduit chez Énergie Cardio et chez Nautilus Plus, ce qui me laisse croire que le gym n'est sûrement pas immense (pourquoi aurait-on besoin d'autre chose sinon?). Par contre, il y a des douches et tout ça... donc ça ne doit pas être SI petit que ça. Mais bon, je ne l'ai pas vu. Je sais qu'il y en a un parce qu'il fallait que je signe un papier qui disait que je n'irais pas là pendant mes heures de travail ("ça ne constitue pas du travail"), que je savais me servir de l'équipement, mais surtout que la compagnie se lavait les mains de tout ce qui pourrait m'arriver au gym (anyway... entre vous et moi, je ne pense pas que je vais devenir culturiste du jour au lendemain... je suis déjà assez culturé comme ça ;)).
La madame a aussi pris une photo de mon moi, et c'est cette photo-là qui sera visible sur ma carte d'accès. Il a donc fallu qu'on se lève et qu'on sorte de la pièce, et c'était la dernière chose qu'on avait à faire. Elle m'a dit de laisser toutes mes choses dans la pièce et qu'on reviendrait.
Quand on est revenu, j'ai pris mes trucs, qui se trouvaient à être une enveloppe nouvellement acquise comprenant toutes les copies & originales de certains documents signés. Rendu là j'étais en train de paniquer en me disant qu'il ne fallait absolument pas que j'oublie mon manteau dans le "vestiaire" en quittant (Axel a déjà fait ça à son entrevue chez AXA... je me suis dit, nope, moi je vaux mieux que ça).
Heureusement, quand je suis sorti, j'avais bel et bien mon manteau. J'ai vérifié que j'aie bien tout dans mon enveloppe, et tout y était. Quand je suis venu pour attacher mon manteau, pour me libérer les mains, j'ai décidé de mettre mon enveloppe dans mon sac.
Ah. Mon sac. C'était ça que j'avais oublié.
Je suis donc remonté en haut, et là j'ai essayé d'expliquer mon problème à la réceptionniste. Je n'avais pas le droit d'aller le chercher (fallait absolument que quelqu'un vienne avec moi). Elle a décidé d'aller voir mais seule.
Elle n'a pas trouvé mon sac. Moi j'étais genre "non non mais y'é là"... en tout cas. Finalement il a fallu que j'aille voir [avec elle], et il était effectivement difficile à voir, coincé entre deux chaises par terre.
En sortant, j'avais mon enveloppe, mon sac et mon manteau. LÀ j'étais correct... mais il était rendu trop tard, j'étais déjà devenu comme Axel. (Et les gens pointaient et riaient et me lançaient des pierres).
J'arrive là-bas, j'ai un sac et mon manteau. Je peux mettre mon manteau "dans le vestiaire", qui n'était pas un vestiaire mais plutôt une garde-robes. C'est donc là que je l'ai mis. J'ai rencontré la petite madame et on a rempli plein de papiers ensemble dans une salle de conférence juste à côté de la réception (où je me suis présenté).
Est-ce que j'ai déjà été reconnu coupable de quelque chose de criminel qu'on ne m'a jamais pardonné, quelles sont mes adresses précédentes, est-ce que j'ai déjà rempli un formulaire semblable servant pour une enquête de la GRC, etc. Aussi des documents spécifiques à la compagnie, comme les politiques de confidentialité et d'utilisation de ressources informatiques ("quoi ne pas faire avec son ordinateur et son courriel").
J'ai appris qu'il y avait un gym là-bas! En fait, je peux aussi m'abonner à prix réduit chez Énergie Cardio et chez Nautilus Plus, ce qui me laisse croire que le gym n'est sûrement pas immense (pourquoi aurait-on besoin d'autre chose sinon?). Par contre, il y a des douches et tout ça... donc ça ne doit pas être SI petit que ça. Mais bon, je ne l'ai pas vu. Je sais qu'il y en a un parce qu'il fallait que je signe un papier qui disait que je n'irais pas là pendant mes heures de travail ("ça ne constitue pas du travail"), que je savais me servir de l'équipement, mais surtout que la compagnie se lavait les mains de tout ce qui pourrait m'arriver au gym (anyway... entre vous et moi, je ne pense pas que je vais devenir culturiste du jour au lendemain... je suis déjà assez culturé comme ça ;)).
La madame a aussi pris une photo de mon moi, et c'est cette photo-là qui sera visible sur ma carte d'accès. Il a donc fallu qu'on se lève et qu'on sorte de la pièce, et c'était la dernière chose qu'on avait à faire. Elle m'a dit de laisser toutes mes choses dans la pièce et qu'on reviendrait.
Quand on est revenu, j'ai pris mes trucs, qui se trouvaient à être une enveloppe nouvellement acquise comprenant toutes les copies & originales de certains documents signés. Rendu là j'étais en train de paniquer en me disant qu'il ne fallait absolument pas que j'oublie mon manteau dans le "vestiaire" en quittant (Axel a déjà fait ça à son entrevue chez AXA... je me suis dit, nope, moi je vaux mieux que ça).
Heureusement, quand je suis sorti, j'avais bel et bien mon manteau. J'ai vérifié que j'aie bien tout dans mon enveloppe, et tout y était. Quand je suis venu pour attacher mon manteau, pour me libérer les mains, j'ai décidé de mettre mon enveloppe dans mon sac.
Ah. Mon sac. C'était ça que j'avais oublié.
Je suis donc remonté en haut, et là j'ai essayé d'expliquer mon problème à la réceptionniste. Je n'avais pas le droit d'aller le chercher (fallait absolument que quelqu'un vienne avec moi). Elle a décidé d'aller voir mais seule.
Elle n'a pas trouvé mon sac. Moi j'étais genre "non non mais y'é là"... en tout cas. Finalement il a fallu que j'aille voir [avec elle], et il était effectivement difficile à voir, coincé entre deux chaises par terre.
En sortant, j'avais mon enveloppe, mon sac et mon manteau. LÀ j'étais correct... mais il était rendu trop tard, j'étais déjà devenu comme Axel. (Et les gens pointaient et riaient et me lançaient des pierres).
jeudi 12 novembre 2009
Demain...
... je vais signer mon contrat d'embauche.
Initialement, on m'avait dit que j'aurais juste à faire ça lundi matin. Or, une moiselle m'a appelé ce matin et m'a dit, hey tu vas passer demain, avant-midi / après-midi: préférences? J'étais genre oh wow belle phrase. En tout cas... aimable et serviable et parfait comme moi je lui ai dit que j'irais avec ce qui était le mieux pour elle. Alors je passerai demain à 13h.
Il faut aussi que j'amène les adresses où j'ai habité dans les cinq dernières années. Ça c'est assez drôle parce qu'eux autres doivent être habitués de recevoir une adresse (l'adresse actuelle), sinon deux. Ma liste d'adresses comprend 4 adresses (dans l'ordre: Chambly, Saint-Jean-Baptiste, Longueuil, Montréal). C'est tellement ridicule que je sens que je vais devoir poser des questions comme "combien j'en donne?" et "voulez-vous une table des matières?".
Dans le même ordre d'idées, j'ai reçu une invitation à faire parvenir mon CV à jour pour une grosse compagnie d'assurances cet après-midi. C'est bien parce que c'était le directeur de tarification lui-même qui m'a écrit, alors au lieu d'ignorer le message je me suis senti obligé de répondre pour dire que je m'étais trouvé un emploi.
Et cette histoire-là est bien aussi parce que drette quand je réussis finalement à me pogner une job, on décide de m'en offrir plein en même temps. *sheesh*
Avec tout ça, demain ça veut dire que je vais encore avoir à m'habiller en pingouin "pour rien". Et comme c'est vendredi, j'aimerais me promener dans les cieux de la ville comme si c'était le night life, ce qui veut dire que j'arrêterai probablement à la Place Versailles pour acheter des trucs (de la nourriture... je n'ai plus rien à manger ici depuis des lunes). Ça fait une éternité que j'ai eu des pommes, et il me faut aussi de la viande froide pour mes putains de lunchs (ah ouais, ça ça ne me manquait pas).
Je vais aussi aller au Wal-Mart je pense en fin de semaine. Il faut que j'achète des choses bizarres et diverses, et je veux aussi regarder voir s'ils vendent des sets de jetons pour jouer au poker.
Donc c'est ça... je vous tiendrai au courant de mon night life demain en soirée (ironiquement).
Initialement, on m'avait dit que j'aurais juste à faire ça lundi matin. Or, une moiselle m'a appelé ce matin et m'a dit, hey tu vas passer demain, avant-midi / après-midi: préférences? J'étais genre oh wow belle phrase. En tout cas... aimable et serviable et parfait comme moi je lui ai dit que j'irais avec ce qui était le mieux pour elle. Alors je passerai demain à 13h.
Il faut aussi que j'amène les adresses où j'ai habité dans les cinq dernières années. Ça c'est assez drôle parce qu'eux autres doivent être habitués de recevoir une adresse (l'adresse actuelle), sinon deux. Ma liste d'adresses comprend 4 adresses (dans l'ordre: Chambly, Saint-Jean-Baptiste, Longueuil, Montréal). C'est tellement ridicule que je sens que je vais devoir poser des questions comme "combien j'en donne?" et "voulez-vous une table des matières?".
Dans le même ordre d'idées, j'ai reçu une invitation à faire parvenir mon CV à jour pour une grosse compagnie d'assurances cet après-midi. C'est bien parce que c'était le directeur de tarification lui-même qui m'a écrit, alors au lieu d'ignorer le message je me suis senti obligé de répondre pour dire que je m'étais trouvé un emploi.
Et cette histoire-là est bien aussi parce que drette quand je réussis finalement à me pogner une job, on décide de m'en offrir plein en même temps. *sheesh*
Avec tout ça, demain ça veut dire que je vais encore avoir à m'habiller en pingouin "pour rien". Et comme c'est vendredi, j'aimerais me promener dans les cieux de la ville comme si c'était le night life, ce qui veut dire que j'arrêterai probablement à la Place Versailles pour acheter des trucs (de la nourriture... je n'ai plus rien à manger ici depuis des lunes). Ça fait une éternité que j'ai eu des pommes, et il me faut aussi de la viande froide pour mes putains de lunchs (ah ouais, ça ça ne me manquait pas).
Je vais aussi aller au Wal-Mart je pense en fin de semaine. Il faut que j'achète des choses bizarres et diverses, et je veux aussi regarder voir s'ils vendent des sets de jetons pour jouer au poker.
Donc c'est ça... je vous tiendrai au courant de mon night life demain en soirée (ironiquement).
mardi 10 novembre 2009
J'ai un emploi!
Et voilà, j'ai une job.
Ce matin, j'étais en train de me raser parce que j'avais une entrevue cet après-midi dans une compagnie d'assurance, alors que mon téléphone s'est frénétiquement mis à sonner. C'était une personne chargée du recrutement chez Morneau Sobeco qui me rappelait.
J'ai eu une entrevue chez Morneau le vendredi 2 octobre. La veille, en après-midi, Axel m'avait écrit un e-mail pour me dire qu'ils cherchaient du monde (ils venaient de l'appeler). J'ai donc écrit à la personne-ressource (appelons-la de même), et elle m'a rappelé à l'intérieur d'une heure pour me demander une entrevue le lendemain.
À l'entrevue, je considérais que ça s'était très mal passé. Entre autres, le fait que ce soit en consultation et que toute mon expérience était en IARD (assurances générales) semblait vraiment déplaire à la madame qui travaillait à l'actuariat, mais celle du recrutement avait l'air de s'en foutre. Il y avait aussi un examen "de mathématiques" à passer à la fin de l'entrevue, mais c'était vraiment pas des mathématiques. C'était plus de la mi-finance mi-actuariat, et j'ai vraiment eu de la difficulté. Surtout qu'il y avait des questions où ils ne donnaient pas de mortalité et que j'en aurais eu besoin, et aussi où j'aurais eu besoin d'une calculatrice avec des puissances et que celle qu'on m'a prêtée n'en avait pas (!!).
Heureusement, quelques points ont quand même joué en mon avantage. Entre autres, je connais déjà trois personnes qui travaillent là (Amine, Simon, Simon-Alexandre), dont deux (Simon et Simon-Alexandre) qui travaillent spécifiquement dans ce... département-là (je pense). (Incidemment, ça a aussi été la cause d'un point assez négatif, qui est que la femme ne voulait pas comprendre que je ne sache pas exactement en quoi consistait la job, et ce malgré le fait que j'aie des amis qui travaillent là). Aussi, je pense que le fait que je sois rendu loin dans mes examens m'ait aidé, contrairement à plusieurs autres endroits où j'ai eu des entrevues (le monde adore pogner les néophytes de l'actuariat, pas les gens trop expérimentés).
J'ai été rappelé plusieurs semaines plus tard, plus précisément le vendredi 23 octobre pour me demander de passer le lundi suivant (26 octobre) pour remplir ce que la demoiselle avait appelé un "sondage organisationnel", qui se trouvait simplement à être une liste de qualificatifs que je devais cocher ou non, allant si je pensais que ça s'appliquait à ma personne ou pas. Je devais aussi amener des références d'emplois passés, chose que je fis avec brio. (Elle était même étonnée de la vitesse à laquelle je l'ai fait... mais vraiment... c'était pas difficile... je me connais un peu). Elle m'avait ensuite dit qu'elle essaierait de me donner des nouvelles d'ici ce vendredi-là si possible.
La semaine d'après, qui se trouvait à être la semaine passée, j'ai écrit de nouveau à la demoiselle pour savoir où tout en était. Elle m'a dit qu'elle était en vacances mais que je devrais être rappelé d'ici "maximum jeudi".
Jeudi, aucun appel. Vendredi, aucun appel. Lundi (hier), aucun appel.
J'ai appris ce matin que c'est parce qu'ils n'étaient pas encore parvenus à joindre l'une de mes références, choses qu'ils firent ce matin, après quoi elle m'a appelé pour m'offrir un emploi. Elle m'a dit ce qu'ils m'offraient et tout ça, et elle m'a demandé si j'acceptais (ah mais quelle question conne... non non pas tout de suite, ça fait juste plus que cinq mois que je suis en vacances je ne suis pas du tout tanné).
Excellent salaire, excellents avantages sociaux. Mes avantages sociaux débuteront dès lundi prochain, qui se trouve à être ma première journée ("entrée en fonction"). Le régime de retraite embarquera quelques mois plus tard. La "période d'essai" est de six mois. En plus, je pense que mon poste en est un qui est un peu plus "informatique" que la moyenne, ce qui est d'autant plus intéressant pour moi (... qui aime les machines et bidules et cossins).
Je suis extrêmement, extrêmement, extrêmement content. Évidemment, j'ai certaines craintes. J'espère faire l'affaire (pour qu'ils me gardent), j'espère aimer ça, j'espère que les gens vont m'aimer, etc. Mais ces craintes sont forcément normales dans ma situation, et je ne pense pas que je sois en train de paniquer outre mesure.
Je pense que je suis simplement heureux ce soir. Je vais finalement servir à quelque chose. Je vais finalement avoir un peu d'argent et un peu de responsabilités et un peu d'activités et un peu d'utilité dans ce bas-monde.
Je vais finalement pouvoir commencer un peu plus ma vraie vie.
Ce matin, j'étais en train de me raser parce que j'avais une entrevue cet après-midi dans une compagnie d'assurance, alors que mon téléphone s'est frénétiquement mis à sonner. C'était une personne chargée du recrutement chez Morneau Sobeco qui me rappelait.
J'ai eu une entrevue chez Morneau le vendredi 2 octobre. La veille, en après-midi, Axel m'avait écrit un e-mail pour me dire qu'ils cherchaient du monde (ils venaient de l'appeler). J'ai donc écrit à la personne-ressource (appelons-la de même), et elle m'a rappelé à l'intérieur d'une heure pour me demander une entrevue le lendemain.
À l'entrevue, je considérais que ça s'était très mal passé. Entre autres, le fait que ce soit en consultation et que toute mon expérience était en IARD (assurances générales) semblait vraiment déplaire à la madame qui travaillait à l'actuariat, mais celle du recrutement avait l'air de s'en foutre. Il y avait aussi un examen "de mathématiques" à passer à la fin de l'entrevue, mais c'était vraiment pas des mathématiques. C'était plus de la mi-finance mi-actuariat, et j'ai vraiment eu de la difficulté. Surtout qu'il y avait des questions où ils ne donnaient pas de mortalité et que j'en aurais eu besoin, et aussi où j'aurais eu besoin d'une calculatrice avec des puissances et que celle qu'on m'a prêtée n'en avait pas (!!).
Heureusement, quelques points ont quand même joué en mon avantage. Entre autres, je connais déjà trois personnes qui travaillent là (Amine, Simon, Simon-Alexandre), dont deux (Simon et Simon-Alexandre) qui travaillent spécifiquement dans ce... département-là (je pense). (Incidemment, ça a aussi été la cause d'un point assez négatif, qui est que la femme ne voulait pas comprendre que je ne sache pas exactement en quoi consistait la job, et ce malgré le fait que j'aie des amis qui travaillent là). Aussi, je pense que le fait que je sois rendu loin dans mes examens m'ait aidé, contrairement à plusieurs autres endroits où j'ai eu des entrevues (le monde adore pogner les néophytes de l'actuariat, pas les gens trop expérimentés).
J'ai été rappelé plusieurs semaines plus tard, plus précisément le vendredi 23 octobre pour me demander de passer le lundi suivant (26 octobre) pour remplir ce que la demoiselle avait appelé un "sondage organisationnel", qui se trouvait simplement à être une liste de qualificatifs que je devais cocher ou non, allant si je pensais que ça s'appliquait à ma personne ou pas. Je devais aussi amener des références d'emplois passés, chose que je fis avec brio. (Elle était même étonnée de la vitesse à laquelle je l'ai fait... mais vraiment... c'était pas difficile... je me connais un peu). Elle m'avait ensuite dit qu'elle essaierait de me donner des nouvelles d'ici ce vendredi-là si possible.
La semaine d'après, qui se trouvait à être la semaine passée, j'ai écrit de nouveau à la demoiselle pour savoir où tout en était. Elle m'a dit qu'elle était en vacances mais que je devrais être rappelé d'ici "maximum jeudi".
Jeudi, aucun appel. Vendredi, aucun appel. Lundi (hier), aucun appel.
J'ai appris ce matin que c'est parce qu'ils n'étaient pas encore parvenus à joindre l'une de mes références, choses qu'ils firent ce matin, après quoi elle m'a appelé pour m'offrir un emploi. Elle m'a dit ce qu'ils m'offraient et tout ça, et elle m'a demandé si j'acceptais (ah mais quelle question conne... non non pas tout de suite, ça fait juste plus que cinq mois que je suis en vacances je ne suis pas du tout tanné).
Excellent salaire, excellents avantages sociaux. Mes avantages sociaux débuteront dès lundi prochain, qui se trouve à être ma première journée ("entrée en fonction"). Le régime de retraite embarquera quelques mois plus tard. La "période d'essai" est de six mois. En plus, je pense que mon poste en est un qui est un peu plus "informatique" que la moyenne, ce qui est d'autant plus intéressant pour moi (... qui aime les machines et bidules et cossins).
Je suis extrêmement, extrêmement, extrêmement content. Évidemment, j'ai certaines craintes. J'espère faire l'affaire (pour qu'ils me gardent), j'espère aimer ça, j'espère que les gens vont m'aimer, etc. Mais ces craintes sont forcément normales dans ma situation, et je ne pense pas que je sois en train de paniquer outre mesure.
Je pense que je suis simplement heureux ce soir. Je vais finalement servir à quelque chose. Je vais finalement avoir un peu d'argent et un peu de responsabilités et un peu d'activités et un peu d'utilité dans ce bas-monde.
Je vais finalement pouvoir commencer un peu plus ma vraie vie.
lundi 9 novembre 2009
Bravo Vidéotron!
Je me serais attendu à ça d'une PME mettons... mais certainement pas de Vidéotron... d'autant plus qu'avec la nature de leurs services offerts, il me semble qu'ils devraient être capables d'épeler correctement "connexion".
dimanche 8 novembre 2009
McGill & Dummies
Ce matin, Patrick et moi sommes allés aux portes ouvertes à McGill (entre autres). Il voulait aller là parce qu'il veut faire un doctorat ou quelque chose comme ça... sérieusement je sais pas, ça fait longtemps que je lui ai parlé. Même si on n'a pas vraiment rencontré de professeurs avec qui il partage les mêmes intérêts, il a quand même pu s'entretiendre avec la femme qui s'occupe des études des cycles supérieurs en psychologie. Mais je n'ai pas écouté la conversation, alors ça résume pas mal ce que je connais à ce sujet.
On est ensuite allé au McGill bookstore pour voir si un livre dont Patrick a besoin était là. Il n'y était pas. Et soit dit en passant, leur soi-disant bookstore est tout, a priori, sauf une librairie. En rentrant on dirait littéralement une boutique cadeaux. Tout ce qu'on voit ce sont des vêtements et des tasses et des trucs comme ça. Mais bon... il y a genre 2 niveaux additionnels, et là sont les livres & autres documents lisibles.
On s'est donc dirigé vers le Chapters (librairie anglophone), où le livre que Patrick voulait aurait dû être (mais il n'y était pas non plus). Là-bas c'était un vrai char de marde avoir du service. Premièrement, le gars qui nous a répondu nous a dit qu'il serait au sous-sol. On arrive au sous-sol, et il n'y a absolument aucune raison pourquoi il devait être là, sauf peut-être un petit muret de livres de confiance en soi et de sexualité paisiblement épanouie. On demande donc à quelqu'un d'autre, et celui-là n'avait pas l'air convaincu de sa réponse (???), mais il nous a dit d'aller voir au deuxième ou au troisième. On est allé au deuxième étage, et bien qu'il eût été possible que le livre y soit, il n'y était pas. Une autre employée, nous voyant chercher, nous a offert (!!) de l'aide. Non seulement ça, mais elle s'est même donnée la peine d'aller voir dans l'ordinateur pour voir s'ils l'avaient. Pourquoi elle a fait ça plus que ses deux prédécesseurs? Aucune idée... Pourtant, c'était clairement la chose à faire, au point où a posteriori je trouve ça ridicule à quel point les deux devaient s'en foutre éperdument. En tout cas. (Chose étonnante: on peut se faire servir en français).
Presque résignés, nous allâmes au Renaud-Bray au Complexe Desjardins, et contre toute attente il n'y avait même pas le vestige d'un livre semblable à celui cherché (lisez l'ironie). Nous repartîmes bredouilles, donc, mais Patrick semblait satisfait de la foire à McGill. Un succès s'il en est un.
Il restait encore le problème du livre introuvable. Patrick l'avait vu sur Amazon, mais aurait préféré l'acheter "en personne" pour éviter les délais imputables à la livraison. Comme on ne l'a trouvé nulle part après des mois de recherches, il a décidé de commander sur Amazon.
Pour les habitués, vous savez sûrement que pour toute commande de 39$ et plus avant les taxes et les autres frais, la livraison est gratuite (moyennant certains sacrifices minimes). Or, il manquait une dizaine de dollars pour que la livraison soit gratuite, ce qui aurait fait que ç'aurait coûté 6$ de plus. En somme, pour 5-6$ de plus, on recevait un item valant le double.
J'ai flairé l'aubaine.
Malheureusement, je ne savais vraiment pas quoi acheter. J'ai cherché des films et des livres et des jeux et des logiciels et des jetons et hmmm... on va dire que c'est tout... sinon j'oublie. Finalement, je me suis commandé -- tenez-vous bien -- Texas Hold'em For Dummies (11,96$ + taxes applicables). J'ai pris le temps de lire la description et de lire une critique sur Internet, et ça avait l'air bien [pour moi]. C'est pour débutant, ça ne va pas trop en profondeur, et ça couvre beaucoup de sujets, du jargon jusqu'au bluff en passant par les mises à faire en fonction des cartes et en effleurant les probabilités. Un large éventail de sujets me direz-vous, et c'est ce que je me dis. Je crois que j'y trouverai mon compte, et du jour au lendemain je deviendrai une réelle menace pour Simon (qui gagne genre... 1 fois sur 2...).
Parti lire dans mon lit BYE.
On est ensuite allé au McGill bookstore pour voir si un livre dont Patrick a besoin était là. Il n'y était pas. Et soit dit en passant, leur soi-disant bookstore est tout, a priori, sauf une librairie. En rentrant on dirait littéralement une boutique cadeaux. Tout ce qu'on voit ce sont des vêtements et des tasses et des trucs comme ça. Mais bon... il y a genre 2 niveaux additionnels, et là sont les livres & autres documents lisibles.
On s'est donc dirigé vers le Chapters (librairie anglophone), où le livre que Patrick voulait aurait dû être (mais il n'y était pas non plus). Là-bas c'était un vrai char de marde avoir du service. Premièrement, le gars qui nous a répondu nous a dit qu'il serait au sous-sol. On arrive au sous-sol, et il n'y a absolument aucune raison pourquoi il devait être là, sauf peut-être un petit muret de livres de confiance en soi et de sexualité paisiblement épanouie. On demande donc à quelqu'un d'autre, et celui-là n'avait pas l'air convaincu de sa réponse (???), mais il nous a dit d'aller voir au deuxième ou au troisième. On est allé au deuxième étage, et bien qu'il eût été possible que le livre y soit, il n'y était pas. Une autre employée, nous voyant chercher, nous a offert (!!) de l'aide. Non seulement ça, mais elle s'est même donnée la peine d'aller voir dans l'ordinateur pour voir s'ils l'avaient. Pourquoi elle a fait ça plus que ses deux prédécesseurs? Aucune idée... Pourtant, c'était clairement la chose à faire, au point où a posteriori je trouve ça ridicule à quel point les deux devaient s'en foutre éperdument. En tout cas. (Chose étonnante: on peut se faire servir en français).
Presque résignés, nous allâmes au Renaud-Bray au Complexe Desjardins, et contre toute attente il n'y avait même pas le vestige d'un livre semblable à celui cherché (lisez l'ironie). Nous repartîmes bredouilles, donc, mais Patrick semblait satisfait de la foire à McGill. Un succès s'il en est un.
Il restait encore le problème du livre introuvable. Patrick l'avait vu sur Amazon, mais aurait préféré l'acheter "en personne" pour éviter les délais imputables à la livraison. Comme on ne l'a trouvé nulle part après des mois de recherches, il a décidé de commander sur Amazon.
Pour les habitués, vous savez sûrement que pour toute commande de 39$ et plus avant les taxes et les autres frais, la livraison est gratuite (moyennant certains sacrifices minimes). Or, il manquait une dizaine de dollars pour que la livraison soit gratuite, ce qui aurait fait que ç'aurait coûté 6$ de plus. En somme, pour 5-6$ de plus, on recevait un item valant le double.
J'ai flairé l'aubaine.
Malheureusement, je ne savais vraiment pas quoi acheter. J'ai cherché des films et des livres et des jeux et des logiciels et des jetons et hmmm... on va dire que c'est tout... sinon j'oublie. Finalement, je me suis commandé -- tenez-vous bien -- Texas Hold'em For Dummies (11,96$ + taxes applicables). J'ai pris le temps de lire la description et de lire une critique sur Internet, et ça avait l'air bien [pour moi]. C'est pour débutant, ça ne va pas trop en profondeur, et ça couvre beaucoup de sujets, du jargon jusqu'au bluff en passant par les mises à faire en fonction des cartes et en effleurant les probabilités. Un large éventail de sujets me direz-vous, et c'est ce que je me dis. Je crois que j'y trouverai mon compte, et du jour au lendemain je deviendrai une réelle menace pour Simon (qui gagne genre... 1 fois sur 2...).
Parti lire dans mon lit BYE.
samedi 7 novembre 2009
Quand je vais travailler...
... je vais m'acheter:
Et vous, qu'est-ce que vous allez vous acheter quand je vais avoir une job? :P
- Rybka 3. Rybka est l'engin d'échecs le mieux coté au monde en ce moment, généralement par beaucoup. Il coûte alentour de 80-90$ je crois, dépendant de l'interface graphique avec laquelle il vient. Ces temps-ci, je mets souvent mes engins d'échecs à l'épreuve ("homme vs. machine") en testant différentes positions difficiles à évaluer pour les ordinateurs. Rybka est pas mal dans les meilleurs dans ce genre-là, alors ça m'intéresse...
- Un set de poker, c'est-à-dire un coffre comprenant cartes & jetons. Apparemment, ça se vend pas trop cher au Wal-Mart (style 20$). Comme ça, quand des amis vont venir chez nous des fois (genre 2 fois par année!!), je vais pouvoir sortir ça et avoir l'air pro. Je vais m'assurer d'avoir une photo d'un joueur professionnel quelconque en background sur mon ordi, juste pour être crédible dans mon histoire d'être passionné par ça.
- Un ordinateur de bureau, c'est-à-dire un "vrai" ordinateur. Oh, certes, un portable c'est cool et tout ça... mais je pense que je devrais commencer à penser à le changer (avec les moyens nécessaires). J'aimerais avoir un nouvel écran plat (anyway, les vieux épais ça ne se vend plus), un gros disque dur, une bonne carte vidéo (pour jouer à Starcraft II, s'il sort un jour), un bon processeur et beaucoup de mémoire (... Starcraft II...).
- Un cartable pour mettre des feuilles de parties d'échecs dedans. Cette petite merde-là -- c'est juste un maudit cartable avec des feuilles spéciales dedans -- coûte 20$!! C'est utile pour garder toutes les parties d'échecs jouées à la même place, surtout pour les parties jouées dans des clubs d'échecs je suppose (où les feuilles ne sont pas nécessairement fournies, et où le nombre de parties jouées est assez élevé comparativement aux tournois).
- Des livres d'échecs sur Amazon. Quoique Patrick en a déjà pas mal que je pourrais lui emprunter...
- Un plus beau manteau d'hiver. Le mien est trop grand et commence à être vieux... moins fashion. Je veux plaire aux dames autant dehors que je leur plais en dedans, et autant en hiver qu'en été. Oui, je mets la barre très haut.
- Du linge. J'ai le même linge depuis le cégep... mes 3 chemises et deux chandails. Et ma paire de jeans, mais elle elle date de 2007 je crois.
- Des jeux. Probablement sur l'ordinateur, mais je dois bien vous avouer que je crois que pour se considérer adulte, il faut au moins une fois dans sa vie s'acheter une console style Xbox. Mais comme je ne suis pas un gros gamer, je verrai bien.
- Des films. Plein de films. Quand je vais au magasin et que je vois un film à 8$ que je voudrais voir "mais pas tant que ça" et que je décide de laisser faire à cause de ça... NO MORE.
Et vous, qu'est-ce que vous allez vous acheter quand je vais avoir une job? :P
jeudi 5 novembre 2009
When Harry Met Sally...
When Harry Met Sally... est un excellent film (classique?) d'amour avec Meg Ryan et Billy Crystal il y a de nombreuses années (sorti en 1989!). J'ai décidé d'écouter ça parce que l'autre jour je faisais le tour des listes des meilleurs films de *telle* catégorie, et ce film-là revenait souvent dans les listes de films romantiques.
Quelle est l'histoire... Ça se passe en plusieurs "années", c'est-à-dire qu'il y a plusieurs parties d'histoires qui sont séparées par des sauts dans le temps. Tout est en ordre chronologique et il n'y a aucun retour dans le temps, alors vive la linéarité séquentielle linéaire, continûment continue ou continuellement pas. La première partie de l'histoire se passe quand ils sont encore à l'université. Harry sort avec l'amie de Sally, et Harry doit retourner à New York après la session (quelque chose du genre), et c'est Sally qui lui donne un lift (les deux se rencontrent pour la première fois là). Le personnage de Harry est assez particulier... drôlement rationnel, assez direct, un peu ataraxique. (Je noterai, à part, que Billy Crystal est vraiment un excellent acteur dans ce film-là). Dans l'auto, il part avec une longue discussion à sens unique (que j'appellerai "monologue") expliquant pourquoi les hommes et les femmes ne peuvent pas être amis. Ils se sont laissés dans des termes plutôt mauvais.
Quelques années passent (5 je crois?), et ils se revoient (mais il ne la reconnaît pas). Ils sont dans un avion, blah blah blah, il lui apprend qu'il va se marier, elle est avec quelqu'un aussi, excellent. Ils ont une nouvelle conversation à propos des hommes et des femmes amis, et Harry rajoute un amendement à sa théorie précédente, et finit par conclure que son amendement est annulé par la théorie elle-même que les hommes et les femmes ne peuvent être amis (c'est très rhétorique... c'est drôle comme bout).
S'ensuivent encore quelques années (7 ans?). L'un se divorce, l'autre casse. Les deux se re-rencontrent, mais là le personnage de Harry est devenu un peu plus normal (un peu moins détaché, plus mature, plus sensible apparemment... probablement à cause du divorce). Ils décident alors de devenir amis (c'est sûrement une première). Et, bon, ... le reste de l'histoire tourne alentour de ça. Les deux recommencent à sortir avec du monde, ils s'organisent des blind dates, etc. Mais anyway, au bout du compte, je vous laisse deviner qui finit avec qui.
Ai-je aimé? Étonnamment, oui, vraiment beaucoup. Je dis étonnamment parce que les films avec Meg Ryan sont assez, disons... anormaux. Je pense notamment à You've Got Mail et Kate & Leopold, qui sont des comédies romantiques le fun à regarder, mais vraiment pauvres sur le fond. Au contraire, ici, l'humour est assez songé et assez raffiné, et surtout la relation est très jolie. Vous savez, un problème récurrent et omniprésent dans les maudits films romantiques, c'est que tout le monde aime tout le monde à l'intérieur de quelques jours seulement. Dans ce film-là, ça prend au-dessus de 10 ans quand on y pense bien... c'est déjà un bon début en termes de crédibilité. Au passage, j'aimerais dire que les deux acteurs sont relativement bons dans leur rôle respectif (la fille high-maintenance et le gars vraiment trop détaché du monde pour être agréable).
Bref... excellent, excellent, très excellent film. Je vous offre quelques citations du film, pour que vous puissiez mieux apprécier l'humour qui s'y trouve.
Quelle est l'histoire... Ça se passe en plusieurs "années", c'est-à-dire qu'il y a plusieurs parties d'histoires qui sont séparées par des sauts dans le temps. Tout est en ordre chronologique et il n'y a aucun retour dans le temps, alors vive la linéarité séquentielle linéaire, continûment continue ou continuellement pas. La première partie de l'histoire se passe quand ils sont encore à l'université. Harry sort avec l'amie de Sally, et Harry doit retourner à New York après la session (quelque chose du genre), et c'est Sally qui lui donne un lift (les deux se rencontrent pour la première fois là). Le personnage de Harry est assez particulier... drôlement rationnel, assez direct, un peu ataraxique. (Je noterai, à part, que Billy Crystal est vraiment un excellent acteur dans ce film-là). Dans l'auto, il part avec une longue discussion à sens unique (que j'appellerai "monologue") expliquant pourquoi les hommes et les femmes ne peuvent pas être amis. Ils se sont laissés dans des termes plutôt mauvais.
Quelques années passent (5 je crois?), et ils se revoient (mais il ne la reconnaît pas). Ils sont dans un avion, blah blah blah, il lui apprend qu'il va se marier, elle est avec quelqu'un aussi, excellent. Ils ont une nouvelle conversation à propos des hommes et des femmes amis, et Harry rajoute un amendement à sa théorie précédente, et finit par conclure que son amendement est annulé par la théorie elle-même que les hommes et les femmes ne peuvent être amis (c'est très rhétorique... c'est drôle comme bout).
S'ensuivent encore quelques années (7 ans?). L'un se divorce, l'autre casse. Les deux se re-rencontrent, mais là le personnage de Harry est devenu un peu plus normal (un peu moins détaché, plus mature, plus sensible apparemment... probablement à cause du divorce). Ils décident alors de devenir amis (c'est sûrement une première). Et, bon, ... le reste de l'histoire tourne alentour de ça. Les deux recommencent à sortir avec du monde, ils s'organisent des blind dates, etc. Mais anyway, au bout du compte, je vous laisse deviner qui finit avec qui.
Ai-je aimé? Étonnamment, oui, vraiment beaucoup. Je dis étonnamment parce que les films avec Meg Ryan sont assez, disons... anormaux. Je pense notamment à You've Got Mail et Kate & Leopold, qui sont des comédies romantiques le fun à regarder, mais vraiment pauvres sur le fond. Au contraire, ici, l'humour est assez songé et assez raffiné, et surtout la relation est très jolie. Vous savez, un problème récurrent et omniprésent dans les maudits films romantiques, c'est que tout le monde aime tout le monde à l'intérieur de quelques jours seulement. Dans ce film-là, ça prend au-dessus de 10 ans quand on y pense bien... c'est déjà un bon début en termes de crédibilité. Au passage, j'aimerais dire que les deux acteurs sont relativement bons dans leur rôle respectif (la fille high-maintenance et le gars vraiment trop détaché du monde pour être agréable).
Bref... excellent, excellent, très excellent film. Je vous offre quelques citations du film, pour que vous puissiez mieux apprécier l'humour qui s'y trouve.
Harry: You take someone to the airport, it's clearly the beginning of the relationship. That's why I have never taken anyone to the airport at the beginning of a relationship.
Sally: Why?
Harry: Because eventually things move on and you don't take someone to the airport and I never wanted anyone to say to me, How come you never take me to the airport anymore?
Sally: It's amazing. You look like a normal person but actually you are the angel of death.
Harry: Would you like to have dinner?... Just friends.
Sally: I thought you didn't believe men and women could be friends.
Harry: When did I say that?
Sally: On the ride to New York.
Harry: No, no, no, I never said that... Yes, that's right, they can't be friends. Unless both of them are involved with other people, then they can... This is an amendment to the earlier rule. If the two people are in relationships, the pressure of possible involvement is lifted... That doesn't work either, because what happens then is, the person you're involved with can't understand why you need to be friends with the person you're just friends with. Like it means something is missing from the relationship and why do you have to go outside to get it? And when you say "No, no, no it's not true, nothing is missing from the relationship," the person you're involved with then accuses you of being secretly attracted to the person you're just friends with, which you probably are. I mean, come on, who the hell are we kidding, let's face it. Which brings us back to the earlier rule before the amendment, which is men and women can't be friends.
Sally: At least I got the apartment.
Harry: That's what everyone says. But, really, what's so hard about finding an apartment? What you do is look in the obituary section. You see who died, find out where they lived, and tip the doorman. What they could do to make it easier is combine the two. You know, Mr. Kline died yesterday, leaving behind a wife, two children, and a spacious three bedroom apartment with a wood-burning fireplace.
lundi 2 novembre 2009
Transcontinental 1 (1st=)
Transcontinental 1 est le nom du tournoi auquel j'ai participé en fin de semaine. Déjà, tout commence dans la cohue et l'embarras, parce que le tournoi s'appelait jadis Unisource (Unisource 1, ..., 4), mais ils ont changé de commanditaire et là ça s'appelle Transcontinental 1. Ça m'a pris un moment pour m'adapter, moi qui avais déjà écrit "Unisource 5" sur ma feuille de ma première partie.
Je m'en suis remis.
Le tout se passait dans tout le building qui sert de Stade Olympique, même si techniquement ce n'était évidemment pas DANS le stade... il y a une sorte d'organisme qui promeut le sport et les loisirs au Québec. Et il y a de la sécurité! Il fallait cocher son nom à chaque jour là-bas... la première journée c'était pas clair, alors j'ai essayé de passer tout droit... un peu plus et je mourrais cette journée-là. En tout cas.
Il n'y avait pas beaucoup de joueurs. Il devait y en avoir environ une quarantaine. Je vous rappelle qu'il s'agissait d'un tournoi rotation: les joueurs sont groupés (par 6 si possible, sinon par 4), et chaque joueur joue exactement une fois contre tous les autres joueurs du groupe. Ce sont donc des groupes fermés, ce qui facilite le gain de prix (chaque fois qu'on gagne, on nuit beaucoup à quelqu'un d'autre... dans un tournoi normal, il pourrait y avoir 3-4 personnes qui finissent avec 5/5 ou 4.5/5... dans un tournoi rotation, la personne qui termine avec 5/5 gagne assurément). J'ai été mis dans un groupe où j'étais pas mal au centre des cotes (3ième graine, lol). Les cotes étaient 1325 - 1376 - 1394 - 1414 - 1433 - 1433.
J'ai commencé le tournoi en force avec 3 nulles en 3 tentatives, dont 2 parties avec les blancs (excellent... pas foutu de gagner). La première partie était particulièrement dramatique. J'ai réussi, en pression de temps, à me faire arracher une nulle tandis que j'avais une tour de plus. C'est vraiment horrible. La deuxième partie, c'est pas mal l'inverse... clairement, j'étais en train de perdre, mais pour une raison quelconque, mon adversaire a joué comme de la merde dans la finale, et j'ai réussi à le convaincre que c'était une nulle (c'était quasiment du bluff, qui est quand même drôle quand on pense que je ne peux rien cacher). La troisième partie a été un bain de sang. J'ai réussi à faire toute une attaque, mais malheureusement on commençait à manquer de temps, et je n'ai pas réussi à me convaincre qu'un coup que je regardais était le bon coup à jouer. En regardant avec un ordinateur, c'était effectivement le bon coup à jouer... oh well. Au bout du compte, je me suis ramassé avec rien de mieux qu'une nulle, tandis que mon adversaire aurait probablement pu espérer mieux. PAR CONTRE, il ne le savait pas ça... alors quand j'ai offert une nulle, il l'a joyeusement acceptée, content de s'en être sauvé.
Le lendemain (hier), je savais bien que mon score (1.5/3) ne me permettrait pas facilement d'espérer un prix. En fait, sans connaître les scores des autres, je pensais qu'il y avait une personne qui avait un score parfait (3/3). J'ai appris, juste avant ma partie -- contre lui justement -- qu'il avait en fait 2/3. Comme c'était celui qui était en tête du classement, si je le battais, je pouvais espérer gagner un prix, d'autant plus que ma dernière partie de la journée allait être contre le moins bon du groupe (aussi bien en termes de cote qu'en termes de classement actuel).
Dès le commencement de la partie, je ne me sentais pas trop à l'aise dans l'ouverture. Il m'a joué un truc qui n'est pas fameux théoriquement, mais auquel je n'ai jamais vraiment été confronté, et il va sans dire que je ne savais pas trop quoi faire. Heureusement, comme tout bon 1400, il a décidé de roquer du mauvais côté. J'ai sacrifié un pion dans le but de pouvoir dénicher une jolie attaque, chose qui s'est très bien développée soit dit en passant. En plus, à cause de tout ça, il gaspillait tout son temps, tandis que moi, la plupart de mes coups étaient évidents... de telle sorte que dès le début de la partie, il lui restait environ 25 ou 30 minutes, et moi 50-55 minutes. (À la fin de la partie, quand il a abandonné, il lui restait 4 secondes pour jouer son coup... moi il me restait environ une demi-heure à mon horloge).
Après cette partie-là, j'avais donc 2.5/4. Il n'y avait qu'un autre gars avec ce score-là. Je me suis dit que si je gagnais la partie suivante, j'avais des chances de gagner le tournoi "seul", ou sinon d'arriver à égalité premier. D'un autre côté, si je perdais ma partie, j'étais certain de ne PAS avoir de prix (eh! oui, tout se joue dans la dernière partie parfois...).
La dernière partie s'est très bien passée, et même si j'ai raté un sacrifice impossible à voir (sacrifier ma dame pour un pion, bordel), je crois avoir joué pas trop pire. L'ouverture du gars était risible. C'était un vieux monsieur qui garochait ses pièces sur les cases, de telle sorte que les pièces étaient TOUJOURS loin du centre. ARGH, ça ça me tuait à chaque fois.
J'ai gagné la partie. Malheureusement, l'autre gars a aussi gagné sa partie, alors les deux nous avons terminé à égalité, bons premiers. Le tournoi offrait deux prix: 90$ au premier, et 30$ au deuxième. J'ai demandé au directeur du tournoi comment les prix étaient partagés si égalité il y avait (comment déterminer le "vrai" gagnant), et il m'a dit qu'il donnait simplement la moyenne des prix aux deux joueurs. C'est donc dire que je devrais recevoir un chèque de 60$ bientôt, tout ça pour un tournoi qui m'aura coûté la moitié en frais d'inscription. J'ai donc fait un rendement de 100% en une fin de semaine.
Je suis excellent en finance.
Pour les intéressés, toutes les parties sont disponibles ici. Il n'y a pas de commentaires (contrairement à la dernière fois), et je n'ai pas l'intention d'en mettre non plus. Pour télécharger les parties pour les regarder sur votre ordinateur plutôt que sur le site, cliquez ici.
Comme j'ai expliqué à Patrick, je n'ai pas pu prendre d'excellentes photos. Vendredi, j'ai décidé de ne pas amener ma caméra parce que c'était la première journée. Samedi, je l'ai oubliée. Hier, mes parties ont duré tellement longtemps (particulièrement la première) que quand j'ai eu fini il ne restait plus grand-monde. Pour la première partie d'hier, il ne restait que deux parties dans la ronde: la mienne et une autre quelconque. On était vraiment dans les derniers, mais le gars c'était un côlon aussi qui a joué jusqu'à ce que ce soit un mat en un au lieu de lever le drapeau blanc. En tout cas.
Je suis allé sur le site de la FQE qui offre d'estimer sa nouvelle cote après avoir participé à un tournoi, en rentrant simplement la cote de ses adversaires et le résultat pour chaque partie. Selon ces calculs, considérant ma cote actuelle de 1414, j'ai une performance de 1553, ce qui veut dire que ma cote augmenterait de 30 points à 1444. Je suis donc très satisfait.
Il y avait trois salles: la première pour les groupes de 1 à 6, c'est-à-dire pour les gens cotés de ~900 à ~1500, et l'autre salle pour les gens cotés au-dessus. La troisième salle était une salle d'analyse, où les gens allaient analyser leurs parties avec d'autres joueurs, ou encore où les gens allaient jouer des parties de blitz.
Salle d'analyse
Salle des 1500+
Salle des pourris
Je m'en suis remis.
Le tout se passait dans tout le building qui sert de Stade Olympique, même si techniquement ce n'était évidemment pas DANS le stade... il y a une sorte d'organisme qui promeut le sport et les loisirs au Québec. Et il y a de la sécurité! Il fallait cocher son nom à chaque jour là-bas... la première journée c'était pas clair, alors j'ai essayé de passer tout droit... un peu plus et je mourrais cette journée-là. En tout cas.
Il n'y avait pas beaucoup de joueurs. Il devait y en avoir environ une quarantaine. Je vous rappelle qu'il s'agissait d'un tournoi rotation: les joueurs sont groupés (par 6 si possible, sinon par 4), et chaque joueur joue exactement une fois contre tous les autres joueurs du groupe. Ce sont donc des groupes fermés, ce qui facilite le gain de prix (chaque fois qu'on gagne, on nuit beaucoup à quelqu'un d'autre... dans un tournoi normal, il pourrait y avoir 3-4 personnes qui finissent avec 5/5 ou 4.5/5... dans un tournoi rotation, la personne qui termine avec 5/5 gagne assurément). J'ai été mis dans un groupe où j'étais pas mal au centre des cotes (3ième graine, lol). Les cotes étaient 1325 - 1376 - 1394 - 1414 - 1433 - 1433.
J'ai commencé le tournoi en force avec 3 nulles en 3 tentatives, dont 2 parties avec les blancs (excellent... pas foutu de gagner). La première partie était particulièrement dramatique. J'ai réussi, en pression de temps, à me faire arracher une nulle tandis que j'avais une tour de plus. C'est vraiment horrible. La deuxième partie, c'est pas mal l'inverse... clairement, j'étais en train de perdre, mais pour une raison quelconque, mon adversaire a joué comme de la merde dans la finale, et j'ai réussi à le convaincre que c'était une nulle (c'était quasiment du bluff, qui est quand même drôle quand on pense que je ne peux rien cacher). La troisième partie a été un bain de sang. J'ai réussi à faire toute une attaque, mais malheureusement on commençait à manquer de temps, et je n'ai pas réussi à me convaincre qu'un coup que je regardais était le bon coup à jouer. En regardant avec un ordinateur, c'était effectivement le bon coup à jouer... oh well. Au bout du compte, je me suis ramassé avec rien de mieux qu'une nulle, tandis que mon adversaire aurait probablement pu espérer mieux. PAR CONTRE, il ne le savait pas ça... alors quand j'ai offert une nulle, il l'a joyeusement acceptée, content de s'en être sauvé.
Le lendemain (hier), je savais bien que mon score (1.5/3) ne me permettrait pas facilement d'espérer un prix. En fait, sans connaître les scores des autres, je pensais qu'il y avait une personne qui avait un score parfait (3/3). J'ai appris, juste avant ma partie -- contre lui justement -- qu'il avait en fait 2/3. Comme c'était celui qui était en tête du classement, si je le battais, je pouvais espérer gagner un prix, d'autant plus que ma dernière partie de la journée allait être contre le moins bon du groupe (aussi bien en termes de cote qu'en termes de classement actuel).
Dès le commencement de la partie, je ne me sentais pas trop à l'aise dans l'ouverture. Il m'a joué un truc qui n'est pas fameux théoriquement, mais auquel je n'ai jamais vraiment été confronté, et il va sans dire que je ne savais pas trop quoi faire. Heureusement, comme tout bon 1400, il a décidé de roquer du mauvais côté. J'ai sacrifié un pion dans le but de pouvoir dénicher une jolie attaque, chose qui s'est très bien développée soit dit en passant. En plus, à cause de tout ça, il gaspillait tout son temps, tandis que moi, la plupart de mes coups étaient évidents... de telle sorte que dès le début de la partie, il lui restait environ 25 ou 30 minutes, et moi 50-55 minutes. (À la fin de la partie, quand il a abandonné, il lui restait 4 secondes pour jouer son coup... moi il me restait environ une demi-heure à mon horloge).
Après cette partie-là, j'avais donc 2.5/4. Il n'y avait qu'un autre gars avec ce score-là. Je me suis dit que si je gagnais la partie suivante, j'avais des chances de gagner le tournoi "seul", ou sinon d'arriver à égalité premier. D'un autre côté, si je perdais ma partie, j'étais certain de ne PAS avoir de prix (eh! oui, tout se joue dans la dernière partie parfois...).
La dernière partie s'est très bien passée, et même si j'ai raté un sacrifice impossible à voir (sacrifier ma dame pour un pion, bordel), je crois avoir joué pas trop pire. L'ouverture du gars était risible. C'était un vieux monsieur qui garochait ses pièces sur les cases, de telle sorte que les pièces étaient TOUJOURS loin du centre. ARGH, ça ça me tuait à chaque fois.
J'ai gagné la partie. Malheureusement, l'autre gars a aussi gagné sa partie, alors les deux nous avons terminé à égalité, bons premiers. Le tournoi offrait deux prix: 90$ au premier, et 30$ au deuxième. J'ai demandé au directeur du tournoi comment les prix étaient partagés si égalité il y avait (comment déterminer le "vrai" gagnant), et il m'a dit qu'il donnait simplement la moyenne des prix aux deux joueurs. C'est donc dire que je devrais recevoir un chèque de 60$ bientôt, tout ça pour un tournoi qui m'aura coûté la moitié en frais d'inscription. J'ai donc fait un rendement de 100% en une fin de semaine.
Je suis excellent en finance.
Pour les intéressés, toutes les parties sont disponibles ici. Il n'y a pas de commentaires (contrairement à la dernière fois), et je n'ai pas l'intention d'en mettre non plus. Pour télécharger les parties pour les regarder sur votre ordinateur plutôt que sur le site, cliquez ici.
Comme j'ai expliqué à Patrick, je n'ai pas pu prendre d'excellentes photos. Vendredi, j'ai décidé de ne pas amener ma caméra parce que c'était la première journée. Samedi, je l'ai oubliée. Hier, mes parties ont duré tellement longtemps (particulièrement la première) que quand j'ai eu fini il ne restait plus grand-monde. Pour la première partie d'hier, il ne restait que deux parties dans la ronde: la mienne et une autre quelconque. On était vraiment dans les derniers, mais le gars c'était un côlon aussi qui a joué jusqu'à ce que ce soit un mat en un au lieu de lever le drapeau blanc. En tout cas.
Je suis allé sur le site de la FQE qui offre d'estimer sa nouvelle cote après avoir participé à un tournoi, en rentrant simplement la cote de ses adversaires et le résultat pour chaque partie. Selon ces calculs, considérant ma cote actuelle de 1414, j'ai une performance de 1553, ce qui veut dire que ma cote augmenterait de 30 points à 1444. Je suis donc très satisfait.
Il y avait trois salles: la première pour les groupes de 1 à 6, c'est-à-dire pour les gens cotés de ~900 à ~1500, et l'autre salle pour les gens cotés au-dessus. La troisième salle était une salle d'analyse, où les gens allaient analyser leurs parties avec d'autres joueurs, ou encore où les gens allaient jouer des parties de blitz.
Salle d'analyse
Salle des 1500+
Salle des pourris
dimanche 1 novembre 2009
Statistiques d'octobre 2009
Bon... comme j'ai dit sur mon Twitter, mon tournoi s'est très bien passé aujourd'hui. Je vais en parler demain, en publiant les parties (non annotées... je ne les annoterai pas cette fois-ci), ainsi que les trois misérables photos que j'ai prises (vraiment désolé).
Les statistiques du mois d'octobre sont, euh, ... difficiles à expliquer. Il y a eu constamment plusieurs dizaines de visiteurs à chaque jour, et ce malgré l'absence de réels "articles chocs". Tous les records ont été battus, sauf celui du nombre de visites, mais ça on s'en fout un peu de celle-là. Voyez par vous-mêmes...
Le plus intéressant est évidemment le nombre moyen de visiteurs par jour, qui est rendu au-delà de 40 (!!). Je m'attendais donc, en regardant les articles les plus visités, à ce qu'il y en ait un qui soit vraiment dans une classe à part... mais non. En fait, croyez-le ou non, l'article le plus visité a été écrit il y a plusieurs mois... c'est donc difficile à expliquer. M'enfin, voici le top 5 des articles les plus visités pour octobre:
Sachez aussi que ma chronique à propos de Liebe ist für alle da a ramassé 42 visiteurs uniques, presque suffisamment pour se faufiler dans le top 5 du mois passé.
Voilà! Je suis très satisfait, même si je trouve que je n'écris pas assez ces temps-ci (et vraiment rien de passionnant...).
Les statistiques du mois d'octobre sont, euh, ... difficiles à expliquer. Il y a eu constamment plusieurs dizaines de visiteurs à chaque jour, et ce malgré l'absence de réels "articles chocs". Tous les records ont été battus, sauf celui du nombre de visites, mais ça on s'en fout un peu de celle-là. Voyez par vous-mêmes...
- Nombre de visites: 1 902 (+12,34%)
- Nombre de visiteurs uniques: 1 275 (+14,86%)
- Nombre moyen de visiteurs: 41,13 (+11,16%)
- Nombre absolu de visiteurs uniques: 968 (+17,62%)
Le plus intéressant est évidemment le nombre moyen de visiteurs par jour, qui est rendu au-delà de 40 (!!). Je m'attendais donc, en regardant les articles les plus visités, à ce qu'il y en ait un qui soit vraiment dans une classe à part... mais non. En fait, croyez-le ou non, l'article le plus visité a été écrit il y a plusieurs mois... c'est donc difficile à expliquer. M'enfin, voici le top 5 des articles les plus visités pour octobre:
- Roger Williamson & David Purley (100)
- Karpov vs. Kasparov (89)
- Psychologie: les types de personnalité (76)
- Présent historique & les Français (63)
- Psychologie: Billy Tipton & les intersexués (43)
Sachez aussi que ma chronique à propos de Liebe ist für alle da a ramassé 42 visiteurs uniques, presque suffisamment pour se faufiler dans le top 5 du mois passé.
Voilà! Je suis très satisfait, même si je trouve que je n'écris pas assez ces temps-ci (et vraiment rien de passionnant...).
Sections:
Statistiques
S'abonner à :
Messages (Atom)