vendredi 30 juillet 2010
lundi 26 juillet 2010
Péripétie & anonyme
À matin, j'ai pris ça assez relax. Je regardais des vidéos sur YouTube, et vers 7h55 je n'étais pas encore habillé ni rien. J'avais prévu partir à 8h00 tapantes, alors vous imaginez que je n'étais pas en avance. Je me suis donc dépêché à me brosser les dents, à écrire un e-mail à Patrick, à m'habiller puis à partir.
Tout ça s'est fait très vite. M'enfin. Je prends mon sac à dos, j'ouvre la porte, je barre la poignée, je ferme la porte, je mets mes souliers. Voilà je suis fin prêt à partir. Je me dis, ah je vais mettre mon iPod.
Aussitôt que je me suis dit ça, je n'ai même pas vérifié dans mes poches. Je savais que je n'avais pas mon iPod, parce que je ne l'ai pas mis dans mes poches parce que j'étais pressé.
Tout comme ma passe d'autobus. Comme ma carte d'accès. Comme mon portefeuille, mon cellulaire et mes clés. Tous ces jolis items étaient restés à l'intérieur, sur mon bureau, et j'ai barré la poignée avant de fermer la porte.
Je me suis tâté un peu, et je pouvais confirmer: je n'avais rien dans mes poches. Ç'a l'air de rien, mais il n'y a pas grand-chose à faire dans ce temps-là. J'ai rapidement pensé: la porte patio est ouverte mais c'est trop haut. La porte d'en arrière est barrée. Ça se résume à ça les amis.
J'ai commencé à faire comme si de rien n'était, en me rendant vers le métro. Comme le temps n'arrange pas les choses, je pensais tout de suite aux options qui s'offraient à moi. Je pouvais achaler quelqu'un pour de l'argent (pour appeler), demander le cellulaire de quelqu'un, aller dans un magasin pour téléphoner, et marcher jusqu'au centre-ville (ce qui m'aurait pris 2h30 ou 3h00 allant avec ma motivation). Le problème aussi c'est que je ne savais pas vraiment quoi faire ("qui appeler ?"). J'en suis venu à la conclusion que je pouvais faire 3 choses:
Comme les deux premières options font référence essentiellement à la même chose ("appeler mon père") et que la troisième chose était déjà faite et sur le point d'être accomplie avec brio, j'ai décidé d'essayer d'appeler mon père. Je ne voulais pas demander ni d'argent ni de cellulaire à qui que ce soit, alors je me suis dit que j'allais pogner des magasins et quémander de la générosité d'âme.
Ce n'est pas ce que j'ai pogné au Jean Coutu. Chose que l'on doit savoir et que je ne savais pas, c'est que le Jean Coutu n'ouvre pas avant 9h00. Quand on rentre dans un Jean Coutu qui est fermé, apparemment on se le fait dire ("euhhhh... ?? On n'ouvre pas avant 9h00"). Oh oui, j'aurais pu dire "non mais c'est que [...]", mais franchement j'avais pas envie. Ce fut un réel succès.
Destination 2: Place Versailles. À la Place Versailles, je me suis dit qu'avec tous les restaurants qu'il y a et tout ça, il doit y avoir des magasins d'ouverts à cette heure-là. Comme de fait, j'ai vu des 110-génaires sortir du Maxi. Je suis donc allé là en analysant chaque rangée. Il y avait deux types de personnes: des chandails bleu pâle et des chandails bleu foncé. Comme il y avait moins de chandails bleu pâle que de bleu foncé et qu'ils semblaient tous au-dessus de leurs affaires, j'ai rapidement compris que c'était à quelqu'un en bleu pâle que je devais m'adresser.
J'ai spotté ma victime et l'ai suivie. Après plusieurs répétitions de phrases monosyllabiques, il m'entendit enfin.
Bonjour monsieur, j'ai un problème, je me suis embarré dehors. Je n'ai pas de clé, pas de portefeuille, pas de cartes, rien...
Je suis anonyme.
Auriez-vous un téléphone s'il vous plaît ?
Après m'avoir dévisagé pendant un quart de seconde, il a demandé au gars avec qui il était de m'accompagner "dans le bureau" pour que je puisse téléphoner. J'ai eu le bonheur de me retrouver dans le confort d'une situation sociale unique et plaisante le temps d'une composition d'un numéro qui s'est évidemment soldée par un échec. Et c'est là que je me suis réveillé: je ne m'étais même pas dit que ça se pouvait qu'on ne me réponde pas.
Je repartis bredouille, le gars m'a souhaité une bonne journée quand même -- inquiète-toi pas mon homme je vais survivre mais merci toi aussi -- et je... repartis bredouille... en tout cas.
Nouveau plan vite fait: me rendre au centre-ville sans les pouvoirs magiques de mon père. Deux solutions envisagées:
En cas de meurtre, ma famille a plus de chances de se faire payer une importante somme si je me fais assassiner par un employé de la ville plutôt que par un n'importe-qui. Direction cellule de prison.
Arrivé devant le gars ("M. Sympathie"), je commence à expliquer mon problème.
Bonjour monsieur, j'ai un problème. Je me suis embarré dehors. Je n'ai absolument rien, pas de cartes, pas de téléphone, pas de portefeuille.
Je suis un fantôme.
- "Ça commence ben!" me dit-il.
Ouais bon... écoutez. J'ai besoin d'un billet gratuit, vous savez que j'ai besoin d'un billet gratuit, et je sais que vous savez que j'ai besoin d'un billet gratuit. Je suppose que vous ne savez pas que je sais que vous savez que j'ai besoin d'un billet gratuit, alors je vais être gentil avec vous et vous dire la chose suivante: "j'aimerais me rendre au centre-ville où je travaille et où j'aurais accès à Internet et à un téléphone. Pensez-vous que vous pourriez me laisser passer gratuitement ?"
M. Sympathie m'a posé quelques questions, comme "as-tu ta passe d'habitude" et des choses comme ça. Il a fini par m'imprimer un billet "de courtoisie", merci monsieur, et j'étais en route direction nulle part. Il faut garder ces billets-là comme preuve de passage. Pas moi. Je l'ai gardé comme on garde un trophée.
Arrivé à la job - rien de fantastique dans le métro, je prends mon humilité à deux mains, la jette par la fenêtre et cogne maladroitement sur la porte qui est barrée et qui doit être ouverte par une carte d'accès.
T'as oublié ta car--HAHA oui pas le temps.
J'arrive à mon bureau mode panique. Je réessaie d'appeler mes parents. Je laisse un message en disant rappelez-moi s'il vous plaît voici le numéro. Après j'ai vérifié sur Canada 411 pour voir le numéro du père de l'ex à Patrick, et selon Google Maps je suis tombé drette dessus. Aucune réponse évidemment.
J'ai écrit un e-mail à Patrick pour lui dire que j'avais besoin du numéro.
J'ai regardé sur Canada 411 le nom de mon propriétaire. 384 entrées. Good. Passons.
J'ai cherché dans mes e-mails pour voir si je l'avais à quelque part ce foutu numéro. Nope, nulle part.
*DRING DRING* OH LE TÉLÉPHONE SONNE.
- "Allô.
- Salut Philippe."
J'étais très content d'entendre Christianne (... ma belle-mère...). Je commence déjà à déblatérer mon histoire très rapidement. Rendu au moment où j'ai commencé à lui dire que j'avais besoin du numéro de Valérie, après lui avoir dit que je m'étais embarré dehors et que j'avais tout laissé sur mon bureau, on m'a dit...
"Sais-tu à qui tu parles ?"
Ah mais quelle douche froide.
"Hmmmm... Chris-tian-ne... :\... ?
- Non.
- Okay... à qui je parle ?
- Stéphanie de [telle équipe]"
Ah excellent. Juste excellent. En tout cas, après j'étais plus calme. :\
Personne de rejoignable, personne ne me rappelle. Du monde a commencé à me suggérer de demander à mes voisins pour le numéro de téléphone du propriétaire. Oui c'est ça je vais aller cogner chez mon voisin qui fait pousser du pot. Big up.
Mais finalement j'ai décidé de faire ça. Il y a les voisins en bas avec qui "on" (je...) parle toujours. C'est à eux qu'appartient Sam. J'ai emprunté 20$ à quelqu'un "pour la journée", je suis allé manger mon lunch vers midi, et à midi et vingt j'étais parti.
Quand je suis arrivé, GOOD, les voisines étaient sur le balcon. J'ai demandé le numéro du propriétaire, mais j'ai reçu la bonne nouvelle qu'il était en vacances. Ah excellent, les chats vont vraiment mourir.
Mais non, c'est correct mon ti-gars. Tu peux passer par en arrière. T'as juste à lever les fenêtres en poussant dessus, elles glissent tout seul. Tu peux rentrer par les fenêtres, je le fais tout le temps.
Ah.... o-kay... bonne nouvelle. Ça marche très bien en passant. Il y a un bâton dans la fenêtre pour empêcher de faire ça, mais juste en brassant un peu j'ai réussi à le faire tomber sans problème. Bref, après 1001 acrobaties pour passer par la fenêtre, j'ai appelé mon boss, me suis entendu avec pour dire que j'allais travailler de chez moi, et j'ai passé le restant de la journée plus normalement.
Je vais le coller ce bâton-là, parce qu'à l'heure qu'il est Locasse aurait dû avoir mangé Cannelle, aurait dû être mort noyé dans la toilette en essayant de boire, et j'aurais dû être en train de faire la rue Sainte-Catherine à quêter de l'argent en attendant le retour de vacances de mon propriétaire.
Maudit bâton.
Tout ça s'est fait très vite. M'enfin. Je prends mon sac à dos, j'ouvre la porte, je barre la poignée, je ferme la porte, je mets mes souliers. Voilà je suis fin prêt à partir. Je me dis, ah je vais mettre mon iPod.
Aussitôt que je me suis dit ça, je n'ai même pas vérifié dans mes poches. Je savais que je n'avais pas mon iPod, parce que je ne l'ai pas mis dans mes poches parce que j'étais pressé.
Tout comme ma passe d'autobus. Comme ma carte d'accès. Comme mon portefeuille, mon cellulaire et mes clés. Tous ces jolis items étaient restés à l'intérieur, sur mon bureau, et j'ai barré la poignée avant de fermer la porte.
Je me suis tâté un peu, et je pouvais confirmer: je n'avais rien dans mes poches. Ç'a l'air de rien, mais il n'y a pas grand-chose à faire dans ce temps-là. J'ai rapidement pensé: la porte patio est ouverte mais c'est trop haut. La porte d'en arrière est barrée. Ça se résume à ça les amis.
J'ai commencé à faire comme si de rien n'était, en me rendant vers le métro. Comme le temps n'arrange pas les choses, je pensais tout de suite aux options qui s'offraient à moi. Je pouvais achaler quelqu'un pour de l'argent (pour appeler), demander le cellulaire de quelqu'un, aller dans un magasin pour téléphoner, et marcher jusqu'au centre-ville (ce qui m'aurait pris 2h30 ou 3h00 allant avec ma motivation). Le problème aussi c'est que je ne savais pas vraiment quoi faire ("qui appeler ?"). J'en suis venu à la conclusion que je pouvais faire 3 choses:
- Appeler mes parents pour qu'ils viennent me mener au centre-ville d'où j'aurais accès à Internet et à un téléphone, pour ensuite essayer de me procurer le numéro de téléphone du propriétaire. Comme je l'avais donné récemment à Patrick, j'avais espoir qu'il l'ait. (Évidemment, je l'ai aussi, mais chez nous...).
- Appeler mes parents pour qu'ils me donnent le numéro de l'ex à Patrick pour lui demander si elle a encore la clé que Patrick lui avait donnée
- Paniquer
Comme les deux premières options font référence essentiellement à la même chose ("appeler mon père") et que la troisième chose était déjà faite et sur le point d'être accomplie avec brio, j'ai décidé d'essayer d'appeler mon père. Je ne voulais pas demander ni d'argent ni de cellulaire à qui que ce soit, alors je me suis dit que j'allais pogner des magasins et quémander de la générosité d'âme.
Ce n'est pas ce que j'ai pogné au Jean Coutu. Chose que l'on doit savoir et que je ne savais pas, c'est que le Jean Coutu n'ouvre pas avant 9h00. Quand on rentre dans un Jean Coutu qui est fermé, apparemment on se le fait dire ("euhhhh... ?? On n'ouvre pas avant 9h00"). Oh oui, j'aurais pu dire "non mais c'est que [...]", mais franchement j'avais pas envie. Ce fut un réel succès.
Destination 2: Place Versailles. À la Place Versailles, je me suis dit qu'avec tous les restaurants qu'il y a et tout ça, il doit y avoir des magasins d'ouverts à cette heure-là. Comme de fait, j'ai vu des 110-génaires sortir du Maxi. Je suis donc allé là en analysant chaque rangée. Il y avait deux types de personnes: des chandails bleu pâle et des chandails bleu foncé. Comme il y avait moins de chandails bleu pâle que de bleu foncé et qu'ils semblaient tous au-dessus de leurs affaires, j'ai rapidement compris que c'était à quelqu'un en bleu pâle que je devais m'adresser.
J'ai spotté ma victime et l'ai suivie. Après plusieurs répétitions de phrases monosyllabiques, il m'entendit enfin.
Bonjour monsieur, j'ai un problème, je me suis embarré dehors. Je n'ai pas de clé, pas de portefeuille, pas de cartes, rien...
Je suis anonyme.
Auriez-vous un téléphone s'il vous plaît ?
Après m'avoir dévisagé pendant un quart de seconde, il a demandé au gars avec qui il était de m'accompagner "dans le bureau" pour que je puisse téléphoner. J'ai eu le bonheur de me retrouver dans le confort d'une situation sociale unique et plaisante le temps d'une composition d'un numéro qui s'est évidemment soldée par un échec. Et c'est là que je me suis réveillé: je ne m'étais même pas dit que ça se pouvait qu'on ne me réponde pas.
Je repartis bredouille, le gars m'a souhaité une bonne journée quand même -- inquiète-toi pas mon homme je vais survivre mais merci toi aussi -- et je... repartis bredouille... en tout cas.
Nouveau plan vite fait: me rendre au centre-ville sans les pouvoirs magiques de mon père. Deux solutions envisagées:
- Quêter un billet au gars dans la cellule de prison du métro
- Quêter de l'argent à plein de monde à l'air libre pour pouvoir acheter un billet au gars dans la cellule de prison du métro
En cas de meurtre, ma famille a plus de chances de se faire payer une importante somme si je me fais assassiner par un employé de la ville plutôt que par un n'importe-qui. Direction cellule de prison.
Arrivé devant le gars ("M. Sympathie"), je commence à expliquer mon problème.
Bonjour monsieur, j'ai un problème. Je me suis embarré dehors. Je n'ai absolument rien, pas de cartes, pas de téléphone, pas de portefeuille.
Je suis un fantôme.
- "Ça commence ben!" me dit-il.
Ouais bon... écoutez. J'ai besoin d'un billet gratuit, vous savez que j'ai besoin d'un billet gratuit, et je sais que vous savez que j'ai besoin d'un billet gratuit. Je suppose que vous ne savez pas que je sais que vous savez que j'ai besoin d'un billet gratuit, alors je vais être gentil avec vous et vous dire la chose suivante: "j'aimerais me rendre au centre-ville où je travaille et où j'aurais accès à Internet et à un téléphone. Pensez-vous que vous pourriez me laisser passer gratuitement ?"
M. Sympathie m'a posé quelques questions, comme "as-tu ta passe d'habitude" et des choses comme ça. Il a fini par m'imprimer un billet "de courtoisie", merci monsieur, et j'étais en route direction nulle part. Il faut garder ces billets-là comme preuve de passage. Pas moi. Je l'ai gardé comme on garde un trophée.
Arrivé à la job - rien de fantastique dans le métro, je prends mon humilité à deux mains, la jette par la fenêtre et cogne maladroitement sur la porte qui est barrée et qui doit être ouverte par une carte d'accès.
T'as oublié ta car--HAHA oui pas le temps.
J'arrive à mon bureau mode panique. Je réessaie d'appeler mes parents. Je laisse un message en disant rappelez-moi s'il vous plaît voici le numéro. Après j'ai vérifié sur Canada 411 pour voir le numéro du père de l'ex à Patrick, et selon Google Maps je suis tombé drette dessus. Aucune réponse évidemment.
J'ai écrit un e-mail à Patrick pour lui dire que j'avais besoin du numéro.
J'ai regardé sur Canada 411 le nom de mon propriétaire. 384 entrées. Good. Passons.
J'ai cherché dans mes e-mails pour voir si je l'avais à quelque part ce foutu numéro. Nope, nulle part.
*DRING DRING* OH LE TÉLÉPHONE SONNE.
- "Allô.
- Salut Philippe."
J'étais très content d'entendre Christianne (... ma belle-mère...). Je commence déjà à déblatérer mon histoire très rapidement. Rendu au moment où j'ai commencé à lui dire que j'avais besoin du numéro de Valérie, après lui avoir dit que je m'étais embarré dehors et que j'avais tout laissé sur mon bureau, on m'a dit...
"Sais-tu à qui tu parles ?"
Ah mais quelle douche froide.
"Hmmmm... Chris-tian-ne... :\... ?
- Non.
- Okay... à qui je parle ?
- Stéphanie de [telle équipe]"
Ah excellent. Juste excellent. En tout cas, après j'étais plus calme. :\
Personne de rejoignable, personne ne me rappelle. Du monde a commencé à me suggérer de demander à mes voisins pour le numéro de téléphone du propriétaire. Oui c'est ça je vais aller cogner chez mon voisin qui fait pousser du pot. Big up.
Mais finalement j'ai décidé de faire ça. Il y a les voisins en bas avec qui "on" (je...) parle toujours. C'est à eux qu'appartient Sam. J'ai emprunté 20$ à quelqu'un "pour la journée", je suis allé manger mon lunch vers midi, et à midi et vingt j'étais parti.
Quand je suis arrivé, GOOD, les voisines étaient sur le balcon. J'ai demandé le numéro du propriétaire, mais j'ai reçu la bonne nouvelle qu'il était en vacances. Ah excellent, les chats vont vraiment mourir.
Mais non, c'est correct mon ti-gars. Tu peux passer par en arrière. T'as juste à lever les fenêtres en poussant dessus, elles glissent tout seul. Tu peux rentrer par les fenêtres, je le fais tout le temps.
Ah.... o-kay... bonne nouvelle. Ça marche très bien en passant. Il y a un bâton dans la fenêtre pour empêcher de faire ça, mais juste en brassant un peu j'ai réussi à le faire tomber sans problème. Bref, après 1001 acrobaties pour passer par la fenêtre, j'ai appelé mon boss, me suis entendu avec pour dire que j'allais travailler de chez moi, et j'ai passé le restant de la journée plus normalement.
Je vais le coller ce bâton-là, parce qu'à l'heure qu'il est Locasse aurait dû avoir mangé Cannelle, aurait dû être mort noyé dans la toilette en essayant de boire, et j'aurais dû être en train de faire la rue Sainte-Catherine à quêter de l'argent en attendant le retour de vacances de mon propriétaire.
Maudit bâton.
jeudi 22 juillet 2010
dimanche 18 juillet 2010
Première fin de semaine sans Patrick
Comme vous le savez peut-être, Patrick est parti vendredi matin direction Amérique profonde. (La dernière fois que je lui ai parlé il me parlait en anglais et il savait juste dire "OH PRAISE LORD"... en tout cas).
Comme j'ai travaillé plusieurs heures en fin de semaine et que le changement est quand même assez récent, je demeure assez ambivalent. D'une part, je n'ai pas eu le temps de m'interroger pour voir comment je me sentais, que ce soit par pur manque de temps ou par récence de la chose (j'opterais pour cette dernière hypothèse si j'étais vous). D'autre part, je n'ai déployé aucun effort pour me poser la question (i.e. même avec plus de temps, pas sûr que j'aurais une impression plus convaincante à l'heure qu'il est).
Quoi qu'il en soit, il demeure que je suis maintenant seul. Dans le but d'oublier complètement Patrick, j'ai déjà commencé à passer au travers de la bouffe qu'il a laissée ici. Je me suis fait au moins 4 hot dogs, j'ai pris de son pain, j'ai fini son lait, j'ai fini ses patates pilées en poudre, *ET* j'ai fait quelque chose de vraiment dégueulasse qui consistait à boire du mélange pour Jell-O (marque générique de Wal-Mart en fait).
Parlons-en de cette chose. J'avais soif, j'avais faim, et je n'avais pas envie d'attendre que le Jell-O soit prêt. J'ai donc pris le sachet, l'ai versé dans un verre, et j'ai rempli le verre d'eau. Tout simplement.
Saviez-vous que ce n'était pas nécessairement long avant que ça cristallise ? J'étais à peine rendu à la moitié de mon verre que déjà je pognais des motons (qui n'étaient pas là au début). Au commencement je me disais wow on dirait du bon jus à l'orange, vraiment bon. Après 3 ou 4 gorgées, l'opinion change un peu. ("OK c'est vraiment sucré pis c'est vraiment dégueulasse avec les motons").
J'ai fini par jeter environ le quart ou le cinquième de mon verre. M'enfin, tout ça pour dire que si vous voulez du Jell-O, pensez-y d'avance, parce que quand vient le temps d'attendre que ce soit prêt, ça se peut que vous vouliez pu attendre, et rendu là tout ce que vous allez faire passera dans les annales de la vie.
Comme j'ai travaillé plusieurs heures en fin de semaine et que le changement est quand même assez récent, je demeure assez ambivalent. D'une part, je n'ai pas eu le temps de m'interroger pour voir comment je me sentais, que ce soit par pur manque de temps ou par récence de la chose (j'opterais pour cette dernière hypothèse si j'étais vous). D'autre part, je n'ai déployé aucun effort pour me poser la question (i.e. même avec plus de temps, pas sûr que j'aurais une impression plus convaincante à l'heure qu'il est).
Quoi qu'il en soit, il demeure que je suis maintenant seul. Dans le but d'oublier complètement Patrick, j'ai déjà commencé à passer au travers de la bouffe qu'il a laissée ici. Je me suis fait au moins 4 hot dogs, j'ai pris de son pain, j'ai fini son lait, j'ai fini ses patates pilées en poudre, *ET* j'ai fait quelque chose de vraiment dégueulasse qui consistait à boire du mélange pour Jell-O (marque générique de Wal-Mart en fait).
Parlons-en de cette chose. J'avais soif, j'avais faim, et je n'avais pas envie d'attendre que le Jell-O soit prêt. J'ai donc pris le sachet, l'ai versé dans un verre, et j'ai rempli le verre d'eau. Tout simplement.
Saviez-vous que ce n'était pas nécessairement long avant que ça cristallise ? J'étais à peine rendu à la moitié de mon verre que déjà je pognais des motons (qui n'étaient pas là au début). Au commencement je me disais wow on dirait du bon jus à l'orange, vraiment bon. Après 3 ou 4 gorgées, l'opinion change un peu. ("OK c'est vraiment sucré pis c'est vraiment dégueulasse avec les motons").
J'ai fini par jeter environ le quart ou le cinquième de mon verre. M'enfin, tout ça pour dire que si vous voulez du Jell-O, pensez-y d'avance, parce que quand vient le temps d'attendre que ce soit prêt, ça se peut que vous vouliez pu attendre, et rendu là tout ce que vous allez faire passera dans les annales de la vie.
mardi 13 juillet 2010
Vieux messages
Bonsoir.
À temps perdu entre deux mains de pokère, j'étais en train de regarder des vieux vidéos sur mon blog (en pesant sur la petite icône à droite... vous savez, cette chose que tout le monde voit tout le temps mais que personne ne clique... elle sert à quelque chose).
Je me suis dit deux choses:
J'essayais de m'expliquer, lentement mais sûrement, comment tout ça s'était produit (pour passer de tout à rien). Ensuite, je me suis rappelé que je n'allais jamais à l'école, que je n'avais absolument aucune préoccupation (parce que je regardais béatement le futur en me disant BAH), et que chaque journée était nouvellement propice à de grandes aventures.
Mais astheur, à part vous parler du fait que je suis parti ce matin et que je suis revenu ce soir, je ne vois pas quoi dire. Oh certes, je pourrais vous faire part de mes divers états d'âme, de mes impressions sur tout le monde et sur n'importe quoi. Mais ça me prendrait 1h par jour, je dirais toujours la même chose et personne ne me lirait de toute façon (Hey!! comme maintenant!).
Patrick s'en va samedi. Je vous rappelle qu'il déménage aux États-Unis pour étudier. Bon débarras et à la revoyure, mais en même temps avec qui je vais écouter des Friends astheur ? C'est vraiment de la marde parce que ni Cannelle ni Locasse écoute ça, et j'ai pas de blonde ni rien. Je ne veux pas me pogner de coloc ("j'ai tellement d'argent que je pourrais en acheter un si je voulais") et je ne cherche pas très activement une blonde. Alors bref, dans beaucoup moins qu'une semaine maintenant, je vais être quelqu'un de seul qui n'a rien à dire, seulement.
Et c'est LÀ que StarCraft II embarque.
À suivre...
À temps perdu entre deux mains de pokère, j'étais en train de regarder des vieux vidéos sur mon blog (en pesant sur la petite icône à droite... vous savez, cette chose que tout le monde voit tout le temps mais que personne ne clique... elle sert à quelque chose).
Je me suis dit deux choses:
- Mais quel talent exceptionnel d'écriture que j'ai en ma possession.
- C'est poche que je ne m'en serve plus ces temps-ci (depuis plusieurs mois maintenant).
J'essayais de m'expliquer, lentement mais sûrement, comment tout ça s'était produit (pour passer de tout à rien). Ensuite, je me suis rappelé que je n'allais jamais à l'école, que je n'avais absolument aucune préoccupation (parce que je regardais béatement le futur en me disant BAH), et que chaque journée était nouvellement propice à de grandes aventures.
Mais astheur, à part vous parler du fait que je suis parti ce matin et que je suis revenu ce soir, je ne vois pas quoi dire. Oh certes, je pourrais vous faire part de mes divers états d'âme, de mes impressions sur tout le monde et sur n'importe quoi. Mais ça me prendrait 1h par jour, je dirais toujours la même chose et personne ne me lirait de toute façon (Hey!! comme maintenant!).
Patrick s'en va samedi. Je vous rappelle qu'il déménage aux États-Unis pour étudier. Bon débarras et à la revoyure, mais en même temps avec qui je vais écouter des Friends astheur ? C'est vraiment de la marde parce que ni Cannelle ni Locasse écoute ça, et j'ai pas de blonde ni rien. Je ne veux pas me pogner de coloc ("j'ai tellement d'argent que je pourrais en acheter un si je voulais") et je ne cherche pas très activement une blonde. Alors bref, dans beaucoup moins qu'une semaine maintenant, je vais être quelqu'un de seul qui n'a rien à dire, seulement.
Et c'est LÀ que StarCraft II embarque.
À suivre...
dimanche 11 juillet 2010
vendredi 9 juillet 2010
jeudi 8 juillet 2010
Big Brother & Chaleur
Big Brother 12 a commencé ce soir! YEAH!
J'avais complètement oublié. C'est mon père qui me l'a rappelé. Je ne sais pas comment j'ai fait pour oublier ça. Chaque année je pogne un petit high quand la saison commence et un gros down quand ça finit.
J'en profite aussi pour toujours tomber amoureux, trois fois par semaine, de quelqu'un là-dedans. Je disais ça l'été passé.
Et comme je disais ça l'été passé, c'est le temps pour un épisode de flashback. J'ai donc relu mes tweets (@seigneur101), et j'aimerais d'abord et avant tout dire que j'adore mon humour narquois.
Deuxièmement, voici quelques citations concernant Big Brother:
Ça s'annonce bien, et je crois que j'aurai encore et toujours 20 millions d'opportunités pour devenir amoureux de genre 2-3 filles facilement. J'aimerais chaleureusement mentionner Monet (essayez de dire ça sans rire) et Britney, qui devraient se livrer une... chaude... compétition.
Et parlant de chaude compétition, euh, je ne sais pas si vous avez vu, mais il fait chaud ?? Je suis sorti de ma chambre ("mon royaume sauvage") pour aller écouter Big Brother, et laissez-moi vous dire que je sais maintenant pourquoi je reste toujours ici. Là Patrick m'a appris la bonne et heureuse nouvelle -- c'était vraiment comme une comptine à mes oreilles -- qu'il annonçait aussi chaud que ça la semaine prochaine.
Ah ben ouais, ok bonne idée.
J'avais complètement oublié. C'est mon père qui me l'a rappelé. Je ne sais pas comment j'ai fait pour oublier ça. Chaque année je pogne un petit high quand la saison commence et un gros down quand ça finit.
J'en profite aussi pour toujours tomber amoureux, trois fois par semaine, de quelqu'un là-dedans. Je disais ça l'été passé.
Et comme je disais ça l'été passé, c'est le temps pour un épisode de flashback. J'ai donc relu mes tweets (@seigneur101), et j'aimerais d'abord et avant tout dire que j'adore mon humour narquois.
Deuxièmement, voici quelques citations concernant Big Brother:
Big Brother commence demain... maudit que j'ai hâte!!11:34 AM Jul 8th, 2009 via web
Big Brother à soir YES! J'ADORE TELLEMENT ÇA, surtout Lydia... ah, Lydia.3:43 PM Jul 16th, 2009 via web
J'aime ça Big brother parce qu'à chaque édition je peux tomber amoureux de quelqu'un d'absolument parfaite et en rêver l'histoire d'un été.12:14 AM Jul 27th, 2009 via web
Ça s'annonce bien, et je crois que j'aurai encore et toujours 20 millions d'opportunités pour devenir amoureux de genre 2-3 filles facilement. J'aimerais chaleureusement mentionner Monet (essayez de dire ça sans rire) et Britney, qui devraient se livrer une... chaude... compétition.
Et parlant de chaude compétition, euh, je ne sais pas si vous avez vu, mais il fait chaud ?? Je suis sorti de ma chambre ("mon royaume sauvage") pour aller écouter Big Brother, et laissez-moi vous dire que je sais maintenant pourquoi je reste toujours ici. Là Patrick m'a appris la bonne et heureuse nouvelle -- c'était vraiment comme une comptine à mes oreilles -- qu'il annonçait aussi chaud que ça la semaine prochaine.
Ah ben ouais, ok bonne idée.
vendredi 2 juillet 2010
Maude
Je me suis fait réveiller à cause de Maude.
Vers 8h30, Cannelle me réveille en essayant frénétiquement d'aller en dessous de ma douillette, et plus spécifiquement en essayant de devenir invisible. Conclusion: quelqu'un cogne à la porte.
Je me lève donc de bonne humeur et souriant et je commence à entendre tout ce grabuge en dehors de l'appartement. Il y a une femme qui crie & chuchotte, "Maude!". (Elle criait comme un chien à qui on a coupé les cordes vocales... vous savez, un cri étouffé sans voix "pour pas réveiller les gens"... ugh).
Donc ma bonne humeur et moi ouvrons la porte. Contrairement à d'habitude, la femme avait pas l'air gelée ni rien. Elle avait l'air normale. Elle avait un papier à la main -- dites-moi pas que c'est une adresse s'il vous plaît. Quand c'est une adresse et que l'adresse qui est écrite est bel et bien l'adresse où les gens sont, ces derniers ont de la difficulté à savoir qui dit vrai. Est-ce le papier écrit à la main sur le coin d'une table, ou bien l'homme avec l'air bête que l'on vient de réveiller qui me dit que je me trompe de place ? Mystère. (Idem pour les numéros de téléphone en passant... c'est pourquoi j'ai toujours preuve de résidence sur moi ainsi qu'un bat de baseball si jamais je perds patience).
Revenons en arrière. J'ouvre la porte, la femme a l'air normale. Elle me demande "Maude in-tu là ?". Elle n'a vraiment pas l'air surprise de me voir ni rien. Et c'est là que tout s'arrête alentour de moi et que je m'aperçois de la triste vérité.
Maude est une nymphomane.
Maude est une nymphomane parce que quand une porte s'ouvre, qu'on s'attend à voir Maude mais qu'on voit un gars avec un air bête qui VISIBLEMENT vient de se faire réveiller, et que tout ça ne nous impressionne pas du tout, alors désolé mais Maude a des partenaires variables.
Elle a beaucoup de kilométrage. Elle a beaucoup d'expérience dans le domaine. C'est une collectionneuse de pénis.
M'enfin bref. Je me suis ensuite mis à penser qu'elle me prenait peut-être pour son proxénète. J'ai commencé à gonfler le torse "juste au cas" où elle me croirait (je n'ai jamais été proxénète mais c'est un rêve d'enfance chez moi).
Terminons. Elle a vraiment l'air de se demander ce qu'il se passe, elle regarde sur son papier magique ("sa boule de crystal"), et elle me donne le numéro du bloc D'À CÔTÉ (bye bye sympathie).
UGH.
Vers 8h30, Cannelle me réveille en essayant frénétiquement d'aller en dessous de ma douillette, et plus spécifiquement en essayant de devenir invisible. Conclusion: quelqu'un cogne à la porte.
Je me lève donc de bonne humeur et souriant et je commence à entendre tout ce grabuge en dehors de l'appartement. Il y a une femme qui crie & chuchotte, "Maude!". (Elle criait comme un chien à qui on a coupé les cordes vocales... vous savez, un cri étouffé sans voix "pour pas réveiller les gens"... ugh).
Donc ma bonne humeur et moi ouvrons la porte. Contrairement à d'habitude, la femme avait pas l'air gelée ni rien. Elle avait l'air normale. Elle avait un papier à la main -- dites-moi pas que c'est une adresse s'il vous plaît. Quand c'est une adresse et que l'adresse qui est écrite est bel et bien l'adresse où les gens sont, ces derniers ont de la difficulté à savoir qui dit vrai. Est-ce le papier écrit à la main sur le coin d'une table, ou bien l'homme avec l'air bête que l'on vient de réveiller qui me dit que je me trompe de place ? Mystère. (Idem pour les numéros de téléphone en passant... c'est pourquoi j'ai toujours preuve de résidence sur moi ainsi qu'un bat de baseball si jamais je perds patience).
Revenons en arrière. J'ouvre la porte, la femme a l'air normale. Elle me demande "Maude in-tu là ?". Elle n'a vraiment pas l'air surprise de me voir ni rien. Et c'est là que tout s'arrête alentour de moi et que je m'aperçois de la triste vérité.
Maude est une nymphomane.
Maude est une nymphomane parce que quand une porte s'ouvre, qu'on s'attend à voir Maude mais qu'on voit un gars avec un air bête qui VISIBLEMENT vient de se faire réveiller, et que tout ça ne nous impressionne pas du tout, alors désolé mais Maude a des partenaires variables.
Elle a beaucoup de kilométrage. Elle a beaucoup d'expérience dans le domaine. C'est une collectionneuse de pénis.
M'enfin bref. Je me suis ensuite mis à penser qu'elle me prenait peut-être pour son proxénète. J'ai commencé à gonfler le torse "juste au cas" où elle me croirait (je n'ai jamais été proxénète mais c'est un rêve d'enfance chez moi).
Terminons. Elle a vraiment l'air de se demander ce qu'il se passe, elle regarde sur son papier magique ("sa boule de crystal"), et elle me donne le numéro du bloc D'À CÔTÉ (bye bye sympathie).
UGH.
jeudi 1 juillet 2010
Congés & Examens de la SOA
Bonjour.
J'ai congé aujourd'hui parce que c'est le 1er juillet. Le premier juillet, c'est la fête du Canada, mais c'est aussi la fête de tous les gens qui sont nés le 1er juillet (même chose pour la Noëlle et le jour de l'an... n'oublions pas les oubliés).
J'ai aussi congé demain, parce que j'ai demandé à avoir congé et on m'a dit, "ok".
Nope, aucun plan. J'ai joué au poker pas mal longtemps aujourd'hui. J'ai aussi fait "un peu" de Java (j'ai surtout cogité). J'ai aussi sorti comme 200 pages de code que je m'étais imprimées dans le temps de Noël passé. Je me lance dans un nouveau projet. :) (Au grand dam de CMS Buddy -- parlant de CMS Buddy, je ne vous ai jamais montré il est devenu quoi... en tout cas, il est rendu pas mal cool, avec un historique et tout ça).
Pour les examens de la SOA, je pense que c'est fait, j'ai choké cette session-ci. Il y avait deux phases pour demander nos livres, la première étant début juin je crois. Comme j'étais dans le jus, je me suis dit BAH, plus tard. Là la date limite pour la deuxième phase c'est lundi prochain, et apparemment ils n'ont même pas les livres que j'ai besoin, et ça a déjà été soulevé, et on n'a pas eu de réponse. Comme je viens tout juste cette semaine d'arrêter de travailler 60 heures par semaine et que je n'ai aucune idée ce que le futur me réserve, je prends un break.
Selon une récente étude de Fox News, Wikipédia sert maintenant à justifier la pédophilie (ou quelque chose comme ça). Ce joyau débute par "EXCLUSIVE" (ouain ben je ne m'attendais pas vraiment à autre chose...).
La plupart des commentaires sont virulents, mais j'ai quand même décidé de citer des parties de l'article.
Aussi, l'article cite des choses pour montrer que tout le monde essaie de se justifier dans Wikipédia. Le seul hic, c'est que les citations données ne semblent pas vraiment étayer l'argument. Par exemple:
J'ai congé aujourd'hui parce que c'est le 1er juillet. Le premier juillet, c'est la fête du Canada, mais c'est aussi la fête de tous les gens qui sont nés le 1er juillet (même chose pour la Noëlle et le jour de l'an... n'oublions pas les oubliés).
J'ai aussi congé demain, parce que j'ai demandé à avoir congé et on m'a dit, "ok".
Nope, aucun plan. J'ai joué au poker pas mal longtemps aujourd'hui. J'ai aussi fait "un peu" de Java (j'ai surtout cogité). J'ai aussi sorti comme 200 pages de code que je m'étais imprimées dans le temps de Noël passé. Je me lance dans un nouveau projet. :) (Au grand dam de CMS Buddy -- parlant de CMS Buddy, je ne vous ai jamais montré il est devenu quoi... en tout cas, il est rendu pas mal cool, avec un historique et tout ça).
Pour les examens de la SOA, je pense que c'est fait, j'ai choké cette session-ci. Il y avait deux phases pour demander nos livres, la première étant début juin je crois. Comme j'étais dans le jus, je me suis dit BAH, plus tard. Là la date limite pour la deuxième phase c'est lundi prochain, et apparemment ils n'ont même pas les livres que j'ai besoin, et ça a déjà été soulevé, et on n'a pas eu de réponse. Comme je viens tout juste cette semaine d'arrêter de travailler 60 heures par semaine et que je n'ai aucune idée ce que le futur me réserve, je prends un break.
Selon une récente étude de Fox News, Wikipédia sert maintenant à justifier la pédophilie (ou quelque chose comme ça). Ce joyau débute par "EXCLUSIVE" (ouain ben je ne m'attendais pas vraiment à autre chose...).
La plupart des commentaires sont virulents, mais j'ai quand même décidé de citer des parties de l'article.
Wikipedia has become home base for a loose worldwide network of pedophiles who are campaigning to spin the popular online encyclopedia in their favor and are trying to lure more people into their world, an investigation by FoxNews.com confirms.
[...] need to be edited to "normalize" pedophile behavior in the public eye and to recruit more pedophiles into their community.
Aussi, l'article cite des choses pour montrer que tout le monde essaie de se justifier dans Wikipédia. Le seul hic, c'est que les citations données ne semblent pas vraiment étayer l'argument. Par exemple:
It is of the utmost importance that pedophiles newly daring to google "pedophile" or "pedophilia," or look them up directly in Wikipedia, in an effort to understand themselves better, are able to get unbiased information …. Many of these men and women are in dire need of support.
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