mercredi 5 décembre 2007

400ième

Eh! oui, c'est vrai.

Le 16 décembre 2006 était l'ouverture officielle du bleugue! Un peu moins d'un an plus tard, on atteint les 400 messages... ! C'est meuh-lade!

On vise les 800 messages pour la deuxième année... ?

mardi 4 décembre 2007

Quiz et examens et quota

On avait un quiz en mathématiques actuarielles II. Pour ceux qui ne se rappellent pas, on en a déjà eu un, dont la moyenne la session passée avait été de 25%. En tout cas, c'est le type de quiz qui est difficile là.

Cette fois-ci, il n'y avait qu'un seul numéro (plutôt que deux), parce que la grève a ralenti le cours et tout le tralala, alors deux choses l'une: on n'avait pas vu beaucoup de matière qui pouvait être donnée dans une sorte de test, et le professeur voulait minimiser le temps d'administration des tests afin de pouvoir se concentrer sur la matière qui reste à voir avant la fin de la session.

Néanmoins, c'était un problème qui allait de a) à j). Je ne sais pas si vous savez, mais de a) à j), ça fait beaucoup de mini-problèmes à résoudre. On devait faire ça en 30 minutes.

Je dirais que ça a été de bien à très bien (si je veux me comparer aux deux copains sur qui j'ai copié mon examen). En tout cas, j'ai été très vite on dirait (je n'ai vraiment pas manqué de temps), et je pense que je n'ai pas trop fait d'erreurs monumentales là. Mais ça vaut juste 5%, alors on s'en fout un peu.

Je me suis rendu compte aujourd'hui que l'examen de mathématiques financières est LA SEMAINE PROCHAINE (jeudi). Ça va vraiment être horrible. Maudit cours de trop laids, ça m'écoeure en sacrament. Le problème avec ce cours-là, c'est que ce n'est pas comme les autres cours... on ne peut pas apprendre ce qu'il faut savoir à l'examen, parce que le professeur a l'air de pensé qu'on a tous une maîtrise en finances et qu'on a travaillé en administration pendant 10 ans avant de commencer le baccalauréat. En tout cas, c'est vraiment laid... aucun moyen au monde de bien réussir à ce maudit cours-là. Alors ça, ça va être ma mort.

Le quota du titre, c'est que ça fait vraiment chier ("en tabarnack"), parce qu'on le dépasse solidement présentement, et que donc Internet est toujours débranché et qu'on ne peut pas y aller autant que d'habitude. Et comme je suis un enfant gâté qui pense que le monde lui doit tout, je trouve ça injuste, bon.

Vous me voyez maussade et d'une humeur noire (je sais pas ce que ça veut dire, mais ça sonnait bien).

lundi 3 décembre 2007

Péripéties

Tellement d'histoires à raconter. Dans l'ordre: neige, klaxon, dodo, Phil et dodo (mais pas le même dodo que tantôt... vous pouvez voir ça un peu comme une image à chaque fois, chacune faisant référence à une histoire différente – c'est mélangeant, mais je pense qu'avec un effort de votre part, on en sortira tous vivants).

Je pense que l'histoire de « neige » est évidente. À matin, c'était écrit qu'il y avait eu une tempête, des choses de même... je me suis dit ça y'est, les maudits communistes ont trouvé le moyen de prendre contrôle des médias dans la province et faire croire que les méchants capitalistes avaient ensevelit les différentes régions du Québec dans une épaisse couche de neige afin de de détruire l'environnement et de prendre contrôle du monde. Sans en faire tout un plat, donc, entre autres parce que je suis capitaliste moi-même, je procédai à la prise de douche quotidienne ainsi qu'au mangeage de toasts (« rôties ») en guise de déjeuner.

Mais c'est en sortant, oh, c'est en sortant... cette mousse qui coulait des cieux et qui tapissait généreusement les sols. Cette ouate, disais-je donc, qui prenait tout l'espace disponible, était bel et bien omniprésente. Naturellement qu'aucune maudite charrue avait passé pour pousser ces larmes opaques en dehors de mon chemin. Je pris donc mon courage à deux mains et affrontai ce que je ne pourrais décrire que d'une seule manière: troisième guerre mondiale. Évidemment, cette randonnée pédestre qui s'étala sur trois bonnes minutes (le temps de sortir de ma rue) se termina sur un coup d'éclat, ou même un coup d'état: aussitôt que je sors de la rue, BANG... la charrue arrive. Dieu est contre moi, mais ça c'est pas nouveau.

Ça c'était la partie de la « neige », qui, rappelle-je, n'avait rien d'étonnant.

Nous entrons maintenant dans la partie « klaxon ». Pour les gens qui se comprennent pas, j'entends par là « cri de bazou » (le bruit que fait une auto quand on lui pèse sur le ventre). J'attendais l'autobus pour aller à l'école (il neige et les anges pleurent, mais je n'arrêterai pas de m'instruire pour autant, non monsieur), et naturellement qu'il n'arrivait pas (réf. première histoire).

Il devait être au moins 10 minutes en retard. Et c'est là que retentit le doux cri d'un autobus, de l'autre bord de la rue. Ne comprenais-je point ce qui se passât (??), je regardai et je vis que le chauffeur me faisait fébrilement signe de venir embarquer dans cet autobus-là. Ce qu'il y a de très appréciable dans ce geste, outre le fait que le chauffeur ait pris la peine de me signifier sa présence, est qu'il n'y a même pas d'arrêt là où il s'est arrêté. Il s'est donc arrêté là expressément pour répondre à mon besoin le plus criant, celui de m'instruire, évidemment. L'histoire d'un moment, j'étais donc le centre du monde.

Et c'est ça qui termine la partie de « klaxon », qui était beaucoup moins intuitive que la première, mais d'un niveau toutefois comparable à ma prochaine histoire (« péripétie ») qui s'appelle « dodo » (le premier, pas le deuxième, le deuxième faisant référence à une autre histoire que vous aurez le bonheur de lire plus tard, si vous la lisez plus tard).

Le trajet en autobus était interminable. Ici, interminable est une manière de parler – en effet, je suis chez moi présentement, et puisque vous savez que j'étais dans l'autobus tout à l'heure, vous devez bien conclure que le trajet (du moins, le mien) s'est terminé un moment ou un autre. Vous n'avez pas d'information, cependant, sur la durée dudit trajet, et c'est là où l'expression « interminable » prend tout son sens. Quoi qu'il en soit, ce trajet était vraiment long, à cause de toute cette douillette sur les routes (réf. première histoire). Et puisque plusieurs autobus avaient de la difficulté à assurer le service habituel, et que j'habite (présentement, mais plus pour longtemps) dans la quatrième plus grande ville de la province (bientôt la première – je vais deviendre Montréallois), l'autobus était congestionné de gens (« il en avait le nez plein »). En tout cas. Éventuellement, le trajet interminable s'est terminé, en bonne et due forme. J'attendai que tous et toutes (toutes et tous pour les féministes) soient sortis avant de commencer à me lever. Il y a toujours quelqu'un qui attend plus longtemps que les autres, qui se dit sûrement « allez-y, moi je ne suis pas pressé, et puis vous voyez bien qu'il y a beaucoup de gens... rien ne sert de courir, il faut partir à point! ». Je suis ce type de personne. Lorsque l'autobus fut (quasiment) vide, je remarquai (je suis très, très observateur) qu'une jeune dame dormait (d'où « dodo ») dans le dernier banc de l'autobus, pas très loin du mien. Ce qui m'outra (j'exagère dans mon choix de mots, mais je suis un romantique qui enlace la langue française), c'est que personne ne l'avait réveillée. Et la pauvre était donc vouée à son sort, c'est-à-dire de rester dans le monde du dodo, et de se faire réveiller plus tard par le chauffeur (peut-être même un autre, si ça se trouve!), et être loin de l'entrée principale, et plein d'inquiétude (qui aurait peut-être mené vers une crise cardiaque, qui sait... je ne lui ai pas demandé si elle avait une déformation cardiaque). J'ai donc décidé, dans un geste euphorique et complètement bon, de la réveiller pour qu'elle puisse quitter l'autobus comme tout le monde, dans un certain ordre naturel (« l'Ordre Naturel des choses »).

Ça, c'était l'histoire du dodo, qui aurait pu s'appeler « réveil » aussi, mais j'ai décidé d'appeler ça dodo parce que c'est ça que j'ai choisi. Entre vous, quand vous parlerez de mes aventures à vos amis ou à votre famille, vous pourrez parler de cette histoire comme étant celle du « réveil », de manière interchangeable avec son appellation actuelle. Je vous en donne le droit (à condition que vous mentionniez que vous avez changé l'histoire pour vous donner de l'importance).

La quatrième histoire, « Phil », vaut vraiment la peine d'être ententée. J'étais assis avec Axel au rez-de-chaussé du pavillon Président-Kennedy de l'Université du Québec à Montréal aujourd'hui, où je suis allé m'instruire comme un grand garçon. En arrière de moi, il y avait une fille. Elle avait l'air normal, pour tout vous dire. Je ne lui ai pas demandé son nom, alors je ne pourrai pas vous le dire. Peut-être qu'elle n'en avait même pas, mais malheureusement, il s'agit de quelque chose qui restera un mystère pour nous tous jusqu'à jamais (jusqu'à ce qu'on l'apprenne, si on l'apprend un jour). Mais dans sa normalité la plus banale, une chose, que dis-je, une horrible chose émanait de son être qui m'apparaissait maintenant comme beaucoup moins normal que tout à l'heure. Il y avait un Phil blanc qui pendouillait sur le capuchon de son chandail. Et c'est fatigant quand ça arrive ça. Si c'est un ami, on lui dit, « hey, tu as un Phil blanc qui pendouille de ton chandail sur ton capuchon », c'est pas un problème. Un peu de gêne, des regards qui s'évitent, des paroles bafouées, mais rien de grave (« ça se fait »). Mais elle... ni Axel, ni moi ne pouvions lui faire part de cette... cette... les mots me manquent. J'essaie de dire « maladie ravageante », mais ça décrit trop mal la manière hideuse que cet être blanc vivait au sein de son hôte, tel un virus. Un ver. En tout cas... au début, c'était endurable, mais plus le temps avançait, et plus ça me démangeait. Un moment donné, elle était relativement près de moi, et je voyais – sentais – l'extraterrestre sur son capuchon. Il était si près. Alors je me dis, « ça y'est, coup de grâce ».

Oh, les amis... Le Phil, le Phil qui pendouillait qui n'avait pas sa place là... avait, tout compte fait, sa place là. Ce n'était pas un Phil nowhere. Il sortait de son capuchon... on ne pouvait pas l'ôter de même, il aurait fallu le couper avec des ciseaux. Mais évidemment, lorsque je tirai de toutes mes forces (dans le but de rendre l'opération la plus subtile et la plus courte qui soit, ironiquement) sur cet engin, je tirai plutôt sur son capuchon (parce qu'il y était accroché, comme sur une bouée en pleine mer). Ah... en tout cas... J'ai été chanceux, parce qu'elle ne s'est aperçue de rien. Mais disons qu'après, j'étais très silencieux et très gentil et que je ne bougeais plus et que je trouvais que le temps se dilatait (encore, oui) vraiment beaucoup. Donc, je pense que si quelque chose doit être retiré de cette histoire – une sorte de leçon – ce serait la chose suivante: Laissez les Phil tranquilles.

Et pour conclure, je dois parler de « dodo », qui se trouve à être la deuxième histoire ayant le même nom, mais qui, étrangement, ne ressemble pas du tout à la première. Ironie du sort ou mauvais titre ? Seul Dieu, cet Être Suprême, saurait le dire.

Vous l'appellerez « l'histoire sans fin ».

dimanche 2 décembre 2007

Internet de Bell

Ah, les amis.

Criss de quota.

Je vais vous dire, si vous pouvez avoir Internet avec un quota, prendez un quota qui a de l'allure. Parce que 2 gigs pour download + upload, c'est juste pas suffisant. Là, il reste grosso modo 17-18 jours à faire pour le quota (sur 30 jours), et on est déjà rendu à 1.1 gig. Je sais pas si vous savez calculer, mais un calcul rapide laisse penser qu'on va dépasser en tabarnack.

MAIS... il y a des bons côtés je suppose. J'ai joué à Chessmaster, j'ai écouté des Friends... j'ai avancé un peu mes leçons (j'ai fini ma leçon 28, et je ne suis plus que 3 leçons en retard!). Et de toute manière, je ne suis plus souvent sur Internet ces temps-ci.

J'ai recommencé à gosser pas mal dans Linux. J'ai commencé à jouer beaucoup dans Maxima et dans OO.o Calc (comme Excel...). Et LaTeX, évidemment, mais ça ça compte pas, c'est parce que je suis plus cool que tout le monde et que personne n'est meilleur que moi (je suis capable de faire une intégrale sans problème... \int_0^\infty \sin x \, \mathrm dx).

Parlant de ça... tantôt, je pensais aux intégrales. Et je me disais que la deuxième partie du théorème fondamental du calcul est vraiment magique. Pour ceux qui ne se rappellent pas: ça dit que si F est une primitive de f, alors l'intégrale de a à b de f est F(b) – F(a). Imaginez-vous si ce n'était pas aussi simple que ça. Je veux dire... on n'y pense jamais, et ça devient vraiment automatique... et c'est vraiment beau de dire que « l'aide sous la courbe c'est l'intégrale », mais ce serait vraiment moins beau si ce n'était pas aussi facile à calculer. Je veux dire, ça n'aurait aucun intérêt de le savoir si on n'était pas capable de le calculer. M'en tout cas.

Donc, pour reviendre à ce que je disais tantôt... je ne suis même pas sur Internet présentement (naturellement). Je suis en train d'écouter Friends en tapant ce fameux petit texte sur OO.o Writer (ouais... je fais du lobbying auprès de Word). Et là je me dis qu'il faudrait que j'essaie de me remettre à Starcraft. J'ai dépensé genre 45$ en septembre ou octobre 2006 pour m'acheter trois méga bons jeux, et gamer comme moi, naturellement que je ne joue jamais. Il faudrait vraiment que je me conditionne à devenir un gamer (j'ai déjà le look anyway... faudrait juste que je sois prêt à rater des cours le matin et à rester debout toute la nuit – chose que je ne suis pas nécessairement prêt).

Olivier pi moi on s'est parti un mini-projet qui dure 3 semaines. Hier, dans mon message, j'ai mis « l'anneau » (c'est l'anneau de Lord of the Rings). Olivier s'est acheté voilà longtemps (ça fait genre 30 ans) les 3 DVD des trois fimmes de Lord of the Rings. Il m'a offert que une fois par semaine, on en écoute un. Vendredi, je suis allé chez lui et on a écouté le premier (en buvant de la bière, évidemment). C'était bien... sauf que lui y'était fatigué, et moi aussi un peu, alors mettons que la fin est floue dans ma tête (surtout que ça devenait de plus en plus long). On dit que la dilatation du temps se fait seulement à une très grande vitesse (~ c), mais fuck off, assis sur un fauteuil à rien crisser peut très facilement dilater le temps de manière importante.

N'oubliez pas d'aller acheter votre passe les copains... parce que demain matin, je vais être celui qui rit dans sa barbe drue au fond du bus quand vous vous ferez jeter en dehors du bus roulant à 200 km/h, ensanglanté. Vous... pas le bus. Quoique, si ça revole... en tout cas, je dis juste que a priori, vous serez ensanglanté, pas le bus.

samedi 1 décembre 2007

Stéphane Dion

Ça va faire un an bêtôt que Stéphane Dion est à la tête du parti Libéral du Canada.

C'est malade, non? J'en reviens juste pas. On s'attendrait pas à ce qu'il survive jusque-là. Je veux dire, on s'entend-tu pour dire que c'est le plus laid des laids, et que s'il n'était pas le chef du parti, le parti se porterait tellement mieux (juste pour l'image). C'est encore à se demander comment il a fait pour gagner ce poste-là en premier lieu, compte tenu que c'était démocratique. M'en tout cas, il me fait penser à Alexandre Gilbert (un laideron du primaire et du secondaire), ou encore à David Duchemin (professeur de mathématiques ultra-pédagogue ("je lui donne la pamme d'or pour le meilleur professeur de mathématiques ultra-pédagogue au monde")).

De toute manière... le gars est un peu stupide. Et le pire, ce qui est vraiment merveilleux, c'est qu'il a un doctorat, et qu'il a enseigné vraiment longtemps la politique à l'université. Et pourtant, c'est le même gars qui a refusé de faire tomber le gouvernement vers le début de la session parlementaire parce que "la population ne veut pas d'autres élections" (tandis que c'était tellement clair qu'il allait perdre s'il faisait tomber le gouvernement à ce moment-là). En tout cas... il a vraiment une face à fesser dedans, peu importe qui il est et ce qu'il fait.

"Tout ce qui a été dit était mon opinion" et tout le tralala qui me protège (comme un firewall!).

Aujourd'hui, ben, hier en fait, j'ai commencé à paniquer, parce qu'on est déjà en décembre, et que ça veut dire que la fin de session approche en batarnack. Avec tous les examens pi toute... ah, et mathématiques financières III... en tout cas, c'est vraiment horrible. J'ai hâte que la session soit finie, et j'espère vraiment minimiser les dégâts quant à ma moyenne. Et deux devoirs à remettre bêtôt... tika :(



On est samedi et Y'A AUCUN BON FIMME À LA TIVI :( Je pense que Dieu (Maître du Monde) m'en veut en tabarnack. Ça doit être un criss de paranoïaque qui pense que je vais essayer de prendre sa place en tant que Maître du Monde, alors il s'assure de ne pas me donner quoi que ce soit pour me rendre heureux. Maudit laid, j'espère qu'il va brûler en enfer au paradis!

Il faudrait que je trouve l'anneau...



Statistiques de novembre 2007

On est en décembre! :D

Donc, voyons voir ce que le passé nous réserve.

* Nombre de visites: 764 (+16,82%)
* Nombre de visiteurs uniques: 252 (+24,14%)
* Nombre moyen de visiteurs: 8,40 (+28,28%)
* Nombre de visiteurs uniques absolus: 88 (+57,14%)

... joli, non? :)