mercredi 29 décembre 2010

samedi 25 décembre 2010

lundi 20 décembre 2010

Parrot sings Let The Bodies Hit The Floor

Chanson originale:

Perroquet:

dimanche 12 décembre 2010

Freeroll - 5e!

vendredi 10 décembre 2010

Niaisage au Zellers

Minute chiâlage les concombres.

Je revenais de travailler ce soir et je me suis dit que j'allais arrêter au Zellers pour acheter du manger pour chats. Les pauvres... depuis 2 jours, au lieu de leur donner du vrai manger, je leur donne des gâteries parce que c'est tout ce qu'il me restait ici. Cannelle commençait à être écoeurée... j'ai rien entendu de la part de Locasse.

Je prends le plus gros sac qu'il y avait -- 4 kg, les 8 kg étant sold out. J'arrive aux caisses et je vois qu'il y a trois caisses: 2 proches et particulièrement pleines (c'est la paye le jeudi), et une loin pour les gens avec peu d'articles. Il n'y avait que deux personnes dont un monsieur qui achevait.

Personne n'y allait. Mine d'or pour un profiteur comme moi. Je profitai donc.


La femme... ah, la femme. Elle était petite, avait des lunettes, assez vieille (55?), et avait PLEIN d'affaires pour bébé. Du linge, du linge, du linge... ah et du linge. Ah woups du linge aussi. Beaucoup plus que les 5 articles maximums de la rangée, mais c'est correct parce qu'au début elle en laissait plein dans son panier. Probablement pour donner l'impression qu'elle en a moins qu'elle en a réellement.

Vieille chipie.

Mais c'était encore pire. C'était la chose la plus déprimante au monde. Elle faisait passer chaque vêtement un par un pour voir si elle allait avoir assez d'argent (bonjour souvenirs). Elle avait aussi des billets de loterie et un billet de rabais de 10$, et une circulaire.

Vraiment déprimante cette vie-là.

Là le dernier item, elle a passé comme facilement 20 secondes en silence à se demander si elle allait le prendre. Elle a demandé elle était rendue à combien et ça y'était; décision cruciale. Un peu plus et je gueulais CALL THE CLOCK. Mais j'étais ben trop occupé.

Je pensais aux restaurants où je vais genre 20 fois par semaine en dépensant sans compter. Aux bouteilles de Crystal, au caviar, aux complets, aux prostituées, à l'amour.

Un peu plus et je lui payais sa putain d'affaire, mais ça reviendrait à dire que mon temps si précieux vaut 19$. Hein? 19$? C'était pas genre 13$??

Bon, ça recommence...

La caissière a appelé la fille du département des rejetons. Elle va vérifier, on va attendre. La fille rappelle, mini conversation, hihi ok elle vérifie. La fille arrive comme 4h plus tard à la caisse avec un truc différent de ce que la dame avait, vous voyez cette marque-là est en spéciale, pas celle-là.

Il y avait une pancarte qui disait que c'était en spécial.

Pas sur mon présentoir, non.

Oui.

Non.

*POW* Eeeeeeh merde... ma patience vient de foutre le camp.

En plus, à la défense de la client-poubelle, j'aimerais préciser que l'employée du Zellers était particulièrement agressive. Je pense que c'était son style qui était difficile à lire, i.e. je ne pense pas qu'elle ait été agressive, mais tout laissait croire qu'elle l'était.

Entre-temps mon putain de sac de 4 kg commence à me faire chier. Mais c'est beau les filles, continuez, c'est vraiment constructif.

En tout cas, je le prendrai pas à ce prix-là, mais je vais retourner voir et je vais faire respecter la politique d'exactitude des prix si le prix est affiché.

Ah ok ouais, n'importe quoi.

Et ce n'est pas tout. Après il y a eu des affaires pour ses billets de loterie, mais rendu là je trouvais la situation tellement complètement ridicule que j'avais déjà commencé à faire mes plans de vie pour vivre dans le Zellers (je ne pensais pas pouvoir quitter bientôt). Je me disais que la caissière était potable. Un peu trop maigre, mini seins, beaux cheveux, belles lunettes, mauvaises dents. Le type d'achat que tu fais sur un coup de tête et qui n'est clairement pas de la viande triple A.

Je venais de passer genre vingt minutes à une putain de caisse parce qu'une femme sait pas lire qu'il y a une LIMITE DE CINQ ITEMS. RAH!

Là après je viens finalement pour passer que y'a un gars NOWHERE qui arrive qui demande à parler à j'ai-pas-compris. La caissière lui a demandé d'attendre, j'étais genre hey non non ça va, ça changera pu rien j'ai pu de soirée anyway.

Bref elle me passe, ça prend genre 30 maudites secondes, je pars et là j'entends la caissière qui connaît pas le gars que l'homme cherche, il faut qu'elle fasse un appelle pour voir, et j'ai quitté.

Et vous savez ce que je retiens de cette histoire?

La caissière doit avoir passé toute une soirée de marde.

lundi 6 décembre 2010